Peaveycroquette
« Un bijou glam rock et blues »
Publié le 19/07/19 à 00:45
Rapport qualité/prix :
Excellent
Cible :
Les utilisateurs avertis
Salut les petits amis. Aujourd'hui, Tonton Peavey va vous parler de la Music Man Albert Lee Electric Shimmer, et en préambule, pour contenter tout le monde à commencer par moi, on va résumer ce nom à rallonge par les quatre lettres "ALES".
Cette guitare, fabriquée à 50 exemplaires, porte en ce qui me concerne le numéro 13, heureusement que je ne suis pas superstitieux, hein. Elle était annoncée sur quelques sites américains à 2500 dollars, mais une fois traversé l'Atlantique, hop-la-zou! elle est montée à 3000 euros sur un site anglais. Bon, j'étais motivé, car allez savoir pourquoi, je la sentais vraiment très bien, cette gratte. Alors ne chipotons pas pour 500 malheureux euros.
Apparté:Je tiens à dire que je ne suis pas spécialement fan d'Albert Lee, par contre j'adore Arthur Lee, mais bon on s'en fout Fin de l'apparté
Elle est arrivée chez moi parfaitement réglée, bien qu'accordée un peu bas, dans un bel étui dur et noir frappé du logo Music Man, un peu carrément à la façon Fender. Normal, vous me direz, mais c'est à peu près le seul point commun que je pourrais trouver avec les guitares de la première marque du grand Léo, moi qui joue sur la même Telecaster depuis 30 ans maintenant.
J'ai d'abord soulevé la boîte, le vieux réflexe du gamin qui secoue son oeuf Kinder pour deviner ce qu'il y a dedans. Et là, je me suis dit: "Arnaque! la boite est vide!" puis j'ai ouvert la dite boite, et en fait non, la gratte était bien dedans, c'est juste qu'elle est hyper légère
Ensuite, j'ai pris la guitare, et je me suis dit à nouveau un truc, du genre "ouah, elle est petiiiiite", car il est vrai que le diapason est court, et moi qui suis habitué, comme vous le savez si vous avez tout bien suivi, à ma Telecaster, j'en ai été d'abord décontenancé. A la prise en main, légèreté et diapason court, on est plutôt dans le champ de sensations donné par une SG.
J'ai immédiatement commencé à gratouiller deux ou trois conneries et là les petits amis, houlala! ce manche!!!! Outre le fait que le bois qui le compose (de l'érable) est de la qualité la plus exquise, et d'une beauté à couper le souffle (pour qui aime les manches de guitare, hein), il est d'une douceur, d'une facilité, d'un suave.... C'est une merveille. Il m'a donné tout de suite l'impression que je jouais bien, c'est dire
Bon, ni une ni deux, j'ai pris le premier ampli que j'avais sous la main, un Tiny Terror Combo.
Bon, alors, pfffffffffff que dire? Je suis sidéré par son sustain. Je me suis demandé si j'avais pas branché par inadvertance une pédale de compression, mais en fait, non. Un sustain de folie, sur toutes les positions de micros.
Les diverses combinaisons de micros sont épatantes, chacune à leur façon. Le micro grave est chauuuuuuuud, on se croirait dans le Mississippi en plein été. Le micro aigu est mordant, puissant, rock, anglais quoi. La position 3 engage les deux humbuckers, et là les copains, c'est gras, très gras.
Les deux positions intermédiaires (2 et 4) splittent les micros, et le bouton tonalité agit différemment j'ai l'impression, comme une sorte de balance entre les deux micros splittés. Et là, on se retrouve dans une évocation du monde Fender, ce qui rend la guitare a priori (je vous rappelle que je n'ai cette gratte que depuis quelques heures) très polyvalente, soulignez le "très" s'il-vous-plait.
Dès sa prise en main, j'ai senti que cet instrument était exceptionnel. Du très haut de gamme, pour moi qui n'ai jamais joué (et je ne m'en plains certainement pas) que sur des guitares de série, que ce soit chez Fender, Gibson, Rickenbacker... Un autre monde, dans lequel je vais me plonger avec délectation.
Cette guitare, fabriquée à 50 exemplaires, porte en ce qui me concerne le numéro 13, heureusement que je ne suis pas superstitieux, hein. Elle était annoncée sur quelques sites américains à 2500 dollars, mais une fois traversé l'Atlantique, hop-la-zou! elle est montée à 3000 euros sur un site anglais. Bon, j'étais motivé, car allez savoir pourquoi, je la sentais vraiment très bien, cette gratte. Alors ne chipotons pas pour 500 malheureux euros.
Apparté:Je tiens à dire que je ne suis pas spécialement fan d'Albert Lee, par contre j'adore Arthur Lee, mais bon on s'en fout Fin de l'apparté
Elle est arrivée chez moi parfaitement réglée, bien qu'accordée un peu bas, dans un bel étui dur et noir frappé du logo Music Man, un peu carrément à la façon Fender. Normal, vous me direz, mais c'est à peu près le seul point commun que je pourrais trouver avec les guitares de la première marque du grand Léo, moi qui joue sur la même Telecaster depuis 30 ans maintenant.
J'ai d'abord soulevé la boîte, le vieux réflexe du gamin qui secoue son oeuf Kinder pour deviner ce qu'il y a dedans. Et là, je me suis dit: "Arnaque! la boite est vide!" puis j'ai ouvert la dite boite, et en fait non, la gratte était bien dedans, c'est juste qu'elle est hyper légère
Ensuite, j'ai pris la guitare, et je me suis dit à nouveau un truc, du genre "ouah, elle est petiiiiite", car il est vrai que le diapason est court, et moi qui suis habitué, comme vous le savez si vous avez tout bien suivi, à ma Telecaster, j'en ai été d'abord décontenancé. A la prise en main, légèreté et diapason court, on est plutôt dans le champ de sensations donné par une SG.
J'ai immédiatement commencé à gratouiller deux ou trois conneries et là les petits amis, houlala! ce manche!!!! Outre le fait que le bois qui le compose (de l'érable) est de la qualité la plus exquise, et d'une beauté à couper le souffle (pour qui aime les manches de guitare, hein), il est d'une douceur, d'une facilité, d'un suave.... C'est une merveille. Il m'a donné tout de suite l'impression que je jouais bien, c'est dire
Bon, ni une ni deux, j'ai pris le premier ampli que j'avais sous la main, un Tiny Terror Combo.
Bon, alors, pfffffffffff que dire? Je suis sidéré par son sustain. Je me suis demandé si j'avais pas branché par inadvertance une pédale de compression, mais en fait, non. Un sustain de folie, sur toutes les positions de micros.
Les diverses combinaisons de micros sont épatantes, chacune à leur façon. Le micro grave est chauuuuuuuud, on se croirait dans le Mississippi en plein été. Le micro aigu est mordant, puissant, rock, anglais quoi. La position 3 engage les deux humbuckers, et là les copains, c'est gras, très gras.
Les deux positions intermédiaires (2 et 4) splittent les micros, et le bouton tonalité agit différemment j'ai l'impression, comme une sorte de balance entre les deux micros splittés. Et là, on se retrouve dans une évocation du monde Fender, ce qui rend la guitare a priori (je vous rappelle que je n'ai cette gratte que depuis quelques heures) très polyvalente, soulignez le "très" s'il-vous-plait.
Dès sa prise en main, j'ai senti que cet instrument était exceptionnel. Du très haut de gamme, pour moi qui n'ai jamais joué (et je ne m'en plains certainement pas) que sur des guitares de série, que ce soit chez Fender, Gibson, Rickenbacker... Un autre monde, dans lequel je vais me plonger avec délectation.