Sujet de la discussionPosté le 12/02/2015 à 00:07:49Pile dans la R8
salut,
ça fait un moment que je n'avais pas sorite ma R8. et je me dit "tiens, si je me souviens bien j'avais composer plusieurs petites rythmique sympathique avant de la ranger il y a un peu plus d'1 an et demi, ça serait cool de m'y remettre !".
Je la déballe, je la branche et là, l'écran affiche aléatoirement des zones noires sur l'écran à cristaux liquide.
j'ai cru que c'était dû au bouton de contraste se trouvant à l'arrière de la machine, mais ça ne fait qu'afficher différente autres zone des l'écran et en plus elle n'a pas l'air de loader le système...
Il y a une pile à l'intérieur, pensez-vous que cela peut venir de ça ?
type de pile : CR2032 - 3volts
évidement je n'ai pas fait de sauvegarde des dernier morceaux...
Pensez=vous que ça supprimera mes données si j'enlève la pile et que je la change ?
(sert elle à garder les données en mémoire RAM)
j'ai vu qu'il y avait aussi une manip' pour la rebooter :
TFisch
Citation :
De mémoire, la manoeuvre de réinitialisation consiste à maintenir enfoncés les boutons PAGE + SELECT pendant la mise sous tension puis à appuyer sur le bouton ENTER.
Bonjour à tous, j'ai rallumé ma Roland R8 après 1,5 ans, toujours bien stocke.
Elle s'est mis à bugger, écran qui s'éteint caractères bizarre sur l'écran.
J'ai fait un reset mais elle plante dès que je met la rom ou que je tente de faire une pattern ou l'utiliser
une explication? Est ce déjà arrivé à quelqu'un? Quelle fut la solution?
D'avance je vous remercie pour votre aide.
J'ai tenté remettre en marche R8 après 25 ans d'extinction... Rayures noires écran, rien. Démonté, changer pile, toujours rien. Acheté une bombe d'air comprimé, balancé un peu partout à l'intérieur... perdu pour perdu... Rallumé, rien, toujours ces rayures noires à l'affichage. G laissé en marche, au bout d'une demi-heure, tout s'est remis en marche. Fonctionne nickel depuis. Donc pour les conseils qui précédaient, merci (pile, bombe air comprimé). On rajoute, laisser en marche longtemps. Et, comme disait le collègue, croiser les doigts.