Sujet de la discussionPosté le 01/02/2006 à 01:04:01Marie : si vous voulez en causer
Tiens, en écrivant le titre du thread, je m'aperçois qu'on peut penser que j'évoque notre chère Marie-hi-hi-hi
Ce n'est pas le cas et la chanson a été écrite bien avant que je connaisse internettement cette délicieuse farfelue (qui nous manque bien).
Citation : même si entre les couplets/refrains entrainants à souhait et la partie instrumentale de la fin qui sonne à mi-chemin entre le rock expérimental des 70s et le sirtaki (si si, écoutez bien le rythme par moments) on a affaire un grand écart musical qui peut dérouter.
En fait, j'avais plutôt cherché un truc un peu europe de l'est. Sans trop creuser non plus. En parlant de Sirtaki, on est pas si loin géographiquement.
Citation : Justement la deuxième moitié de la chanson m'a un peu fait bizarre, [...]
Du bon boulot en tous cas mais ça manque un peu de cohérence à mon goût, même si je suppose que c'est voulu
Oui, c'est voulu. En tous cas assumé. La volonté de ne pas se cantonner au format "chanson" style couplet/refrain/couplet/refrain/refrain/fin. L'envie de faire cet instrumental qui, à nos yeux, dit en musique des choses complémentaires au texte avec un mélange de côté nostalgique et joyeux et la déconne finale avec Beethoven qui a signifie : bah, tout ça n'a pas grande importance et n'est que galéjade
Maintenant, c'est peut-être raté, ou peut-être n'était-ce pas une bonne idée. Mais en tous cas, voilà l'explication du format étrange.