réactions à la news Saison 55 des ‘Compositions Inspirées’
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"j'ai craqué pour ALBOROSI Dub Station"... 
Il y a effectivement de quoi craquer!... mais j'ignorais que le senior Alborosi s'était aussi retiré dans la Vallée des Ours!!!
C'est une bonne idée... le patronnage et les doigts divins de l'immense KING TUBBY!!!
On peut prévoir une poussée aigüe de freakisme dans le sage Studio de LaGuibole!!!
Tes OKTORACK et autres vont aimer cela!
Prodd
1115
AFicionado·a
Membre depuis 5 ans
Je viens de regarder Speakers d'audiothink 
Mais bon...comment faire un Black Friday avec 50 euros, je viens de m'offrir ma 1ère carte son, j'ai KC la tirelire
Mais bon...comment faire un Black Friday avec 50 euros, je viens de m'offrir ma 1ère carte son, j'ai KC la tirelire
KaeRZed
11965
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 20 ans
Hors sujet :
Perso, je vais peut-être profiter de la black week à rallonge offerte par Steinberg : pour 159€ (auxquels il faut retirer 30%), j'upgrade mon vieux Cubase 5.5 en Cubase Pro 11, avec la future maj vers le 12 offerte... L'offre est jusqu'au 13 décembre... Pratique.
LaGuibole
3058
Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 19 ans
Doc Sticko
1599
AFicionado·a
Membre depuis 9 ans
"j'ai craqué pour ALBOROSI Dub Station"... Il y a effectivement de quoi craquer!... mais j'ignorais que le senior Alborosi s'était aussi retiré dans la Vallée des Ours!!!
C'est une bonne idée... le patronnage et les doigts divins de l'immense KING TUBBY!!!
On peut prévoir une poussée aigüe de freakisme dans le sage Studio de LaGuibole!!!
Tes OKTORACK et autres vont aimer cela!
Les compos inspirées
405
Posteur·euse AFfamé·e
Membre depuis 8 ans
Maxxou32
5430
Je poste, donc je suis
Membre depuis 12 ans
Bravo à tous les participants, faute de temps, je n'ai pas pu finaliser ma proposition. Je préfère la retravailler et finaliser tranquillement car cette image m'a grandement inspirée. Je n'ai que le début et encore pleins d'idées. Pour le fun, je la posterais plus tard.
Bravo à ceux qui ont tenu les délais !
Bravo à ceux qui ont tenu les délais !
Old School et Electronica
patrick_g75
8755
Je poste, donc je suis
Membre depuis 17 ans
prolifere19 : AFCI55
Il arrive que des morceaux me retiennent dans tels de leurs passages, mais non dans tels autres.
Cela m'embarasse... Je sais bien que le musicien, s'il a produit tout un morceau, ce n'est pas pour qu'on vienne le découper... en morceaux ! Alors, il désire, légitimement, qu'on lui prenne tout... ou rien.
Ben là, non, je peux pas. J'ai écouté, là, et je suis aussi touché, vraiment, par ce qui va de 1'52 à 3'12, que je reste tout à fait extérieur à ce qui est avant et à ce qui suit.
Ce qui me touche, je crois, dans cette séquence centrale, c'est la juxtaposition de cette ligne mélodique - pure musique - et de ces 'bruits" d'origine indéterminée, mélange de présence humaine et d'activité mécanique ? C'est fait très subtilement, très réussi, à mon sens.
Il arrive que des morceaux me retiennent dans tels de leurs passages, mais non dans tels autres.
Cela m'embarasse... Je sais bien que le musicien, s'il a produit tout un morceau, ce n'est pas pour qu'on vienne le découper... en morceaux ! Alors, il désire, légitimement, qu'on lui prenne tout... ou rien.
Ben là, non, je peux pas. J'ai écouté, là, et je suis aussi touché, vraiment, par ce qui va de 1'52 à 3'12, que je reste tout à fait extérieur à ce qui est avant et à ce qui suit.
Ce qui me touche, je crois, dans cette séquence centrale, c'est la juxtaposition de cette ligne mélodique - pure musique - et de ces 'bruits" d'origine indéterminée, mélange de présence humaine et d'activité mécanique ? C'est fait très subtilement, très réussi, à mon sens.
"Le jugement est un outil à tous sujets, et se mêle partout... " (Montaigne / Essais I / chap L)
http://patrickg75.blogspot.fr/
https://patrickg.bandcamp.com/
[ Dernière édition du message le 26/11/2021 à 23:14:56 ]
patrick_g75
8755
Je poste, donc je suis
Membre depuis 17 ans
Laetidjey : Dystopia
https://soundcloud.com/user-44245879/dystopia
Je viens de re-réécouter.
C'est que c'est vraiment du "consistant" !
Et puis, il y avait cette histoire de l'intervention de la guitare (de 4'12 à 5 minutes et quelques), que j'avais du mal à intégrer.
En passant, j'ai relu "l'histoire derrière le titre" que nous expose Laetidjey. Et je dois dire que je n'arrive pas à relier cette histoire-là et cette musique-là...
Ceci dit, de mon point de vue, d'ouïe, cela n'a pas vraiment d'importance. Je veux dire : en tant qu'auditeur.
Je comprends très bien le besoin de se 'raconter une histoire' pour orienter le travail de composition, et je ne suis pas le dernier à fonctionner ainsi. Par contre, quand je reçois la musique, l'histoire que s'est racontée le compositeur, elle est... à côté. Ni en plus ni en moins. C'est seulement que c'est comme un truc privé, entre lui et lui, qui ne me concerne pas vraiment.
Mais, bien sûr que, elle, la musique, elle peut me raconter une histoire, à moi ! Mais alors, à moi seul.
Donc, parlons musique musicale.
C'est vraiment un morceau très riche. Avant même cette intervention de la guitare, j'ai compté quatre (ou cinq ?) dispositifs distincts (instrumentaux et/ou harmonico-rythmiques), qui s'enchaînent, se répondent, se croisent de façon toujours intéressante, ou excitante, en se complétant les uns les autres. Un vrai travail de 'composition', à proprement dit.
Et puis, cette séquence de guitare...
Je suis bien persuadé que, pour Laetidjey, elle vient là comme nécessaire, comme elle est et comme elle vient. Mais, dans mon oreille (dans ma tête écouteuse), elle ne trouvera pas sa place.
Ce n'est pas que je sois réticent par principe aux contrastes violents, imprévus, aux juxtapositions baroques, etc. Mais, si à tel moment il y a hétérogénéité, j'attends d'en découvrir la nécessité (pour la cohérence globale) à tel autre moment...
Sans doute, ici (c'est une hypothèse), la cause de rupture tient à la spatialisation ? Le piano est superbement proche, quasi tactile, comme si on avait notre corps collé à la table d'harmonie...
Mais soudain, cette guitare... loin. Oh, très loin. Pas même dans les coulisses. Comme à l'extérieur...
Pourquoi pas.
Ce serait un parti pris... Mais comment l'auditeur le prendra-t-il, ainsi expédié à travers les murs, sans crier gare, en un instant, un instant sans épaisseur organique ?
https://soundcloud.com/user-44245879/dystopia
Je viens de re-réécouter.
C'est que c'est vraiment du "consistant" !
Et puis, il y avait cette histoire de l'intervention de la guitare (de 4'12 à 5 minutes et quelques), que j'avais du mal à intégrer.
En passant, j'ai relu "l'histoire derrière le titre" que nous expose Laetidjey. Et je dois dire que je n'arrive pas à relier cette histoire-là et cette musique-là...
Ceci dit, de mon point de vue, d'ouïe, cela n'a pas vraiment d'importance. Je veux dire : en tant qu'auditeur.
Je comprends très bien le besoin de se 'raconter une histoire' pour orienter le travail de composition, et je ne suis pas le dernier à fonctionner ainsi. Par contre, quand je reçois la musique, l'histoire que s'est racontée le compositeur, elle est... à côté. Ni en plus ni en moins. C'est seulement que c'est comme un truc privé, entre lui et lui, qui ne me concerne pas vraiment.
Mais, bien sûr que, elle, la musique, elle peut me raconter une histoire, à moi ! Mais alors, à moi seul.
Donc, parlons musique musicale.
C'est vraiment un morceau très riche. Avant même cette intervention de la guitare, j'ai compté quatre (ou cinq ?) dispositifs distincts (instrumentaux et/ou harmonico-rythmiques), qui s'enchaînent, se répondent, se croisent de façon toujours intéressante, ou excitante, en se complétant les uns les autres. Un vrai travail de 'composition', à proprement dit.
Et puis, cette séquence de guitare...
Je suis bien persuadé que, pour Laetidjey, elle vient là comme nécessaire, comme elle est et comme elle vient. Mais, dans mon oreille (dans ma tête écouteuse), elle ne trouvera pas sa place.
Ce n'est pas que je sois réticent par principe aux contrastes violents, imprévus, aux juxtapositions baroques, etc. Mais, si à tel moment il y a hétérogénéité, j'attends d'en découvrir la nécessité (pour la cohérence globale) à tel autre moment...
Sans doute, ici (c'est une hypothèse), la cause de rupture tient à la spatialisation ? Le piano est superbement proche, quasi tactile, comme si on avait notre corps collé à la table d'harmonie...
Mais soudain, cette guitare... loin. Oh, très loin. Pas même dans les coulisses. Comme à l'extérieur...
Pourquoi pas.
Ce serait un parti pris... Mais comment l'auditeur le prendra-t-il, ainsi expédié à travers les murs, sans crier gare, en un instant, un instant sans épaisseur organique ?
"Le jugement est un outil à tous sujets, et se mêle partout... " (Montaigne / Essais I / chap L)
http://patrickg75.blogspot.fr/
https://patrickg.bandcamp.com/
[ Dernière édition du message le 27/11/2021 à 17:35:11 ]
LaGuibole
3058
Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 19 ans
LaGuibole
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