Concert de Rock le 10 juillet à Paris.
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gregchat
94
Posteur·euse AFfranchi·e
Membre depuis 22 ans
Bonjour à toutes et à tous, ce message s’adresse aux amateurs de ROCK.
EDEN passera à 20H30 le samedi 10 juillet à « l’Espace Blues », 16 rue Barbanègre 75019 PARIS (01.40.37.30.29).
VIVID assurera la première partie.
Plus de 2 heures de ROCK pour 5€
Pour la première petite histoire, EDEN a fait la première partie d’Aston Villa
Pour la deuxième petite histoire, c’est votre serviteur qui assurera le rôle de guitariste pour le groupe VIVID
Un petit bœuf (entre musiciens des deux groupes bien entendu) est prévu à la fin des 2 sets.
Alors venez nombreux pour nous encourager et nous écouter.
Bises à toutes et à tous.
EDEN passera à 20H30 le samedi 10 juillet à « l’Espace Blues », 16 rue Barbanègre 75019 PARIS (01.40.37.30.29).
VIVID assurera la première partie.
Plus de 2 heures de ROCK pour 5€
Pour la première petite histoire, EDEN a fait la première partie d’Aston Villa
Pour la deuxième petite histoire, c’est votre serviteur qui assurera le rôle de guitariste pour le groupe VIVID
Un petit bœuf (entre musiciens des deux groupes bien entendu) est prévu à la fin des 2 sets.
Alors venez nombreux pour nous encourager et nous écouter.
Bises à toutes et à tous.
gregchat
94
Posteur·euse AFfranchi·e
Membre depuis 22 ans
Réponse d'un parfait inconnu sur le forum des inrocks. Je précise que ce n'est pas truqué du genre : blague d'un ami ou bien écrit par nous.Ca vient du coeur et ca fait plaisir 
« Des bons petits plans bien de chez nous »
écrit par Ricolefou sur le site des inrocks (www.inrocks.com)
dans la rubrique Dialoguer / Forum / Dernier concert : au bar ou dans la fosse).
« Mais que font les labels ? Plutot que de nous sortir des artiste préfabriqués à la télé réalité, ils seraient fort avisés de sortir un peu de leurs bureaux marketing et d'arpenter un peu plus assidument, les salles de concerts de Paris ou d'ailleurs, d'aller sur le terrain, de rencontrer nos forces, en un mot : faire leur métier. Grand fan de musique et n'en pratiquant pas moi meme, j'ai pour cette caste d'individus bcp de respect et de l'admiration. En bon parisien je prends donc Lylo et me fais une petite programmation hebdomadaire, ne me laissant guider que par mon instinct.
Je jette toujours aussi un oeil sur les petits flyers qu'on peut ramasser dans les studios de répétition parisiens. Mes scènes de prédilection étant La Scène ou le Nouveau Casino. Quelques salles de banlieue aussi comme la Clé dans le 78 ou le Plan à Ris-Orangis. Dernière bonne découverte en date après mon article sur Ghetto Life, un petit endroit dans les faubourgs de la Villette, l'Espace Blues. Amateur de Blues, j'y étais passé à la volée pour voire Outsliders, du bon vieux blues bien crasseux et déjà à l'époque Eden en 1ere partie. Exactement les mêmes que ceux que j'avais vu il y a fort longtemps avec Aston Villa à la Clé justement.
La question se pose alors : dans ce laps de temps, personne ne s'est donc décidé à donner la chance à ce petit groupe avec un réel talent latent et une vraie voix sans un gros mix derrière. Entre ces 2 dates, les productions poubelles ou de mauvaise qualité ont pourtant rempli les bacs et plutot que par exemple, nous imposer un deuxième opus des très mauvais (j'en suis témoin) Superbus, dont la Major responsable de l'atrocité n'a sans doute pas su dire non à la fille de Chantal Lauby, on aurait préférer trouver dans ses mêmes bacs un petit LP modeste mais existant d'Eden. Le salut du disc passera par là. La qualité et le développement
Je ne boude donc pas mon plaisir d'aller dans ce petit bar de la rue Barbanègre afin d'entendre, pour la 3e fois déjà (et oui) Eden. Je pense toujours à ces gens qui ont vu au milieu des années 60, les Beatles dans des caves à Liverpool, Londres ou encore en Allemagne pour quelques livres ou quelques marks. Mais en ce soir du 10/07, grosse surprise, en arrivant avec mon Fredo dans la dite rue, une masse de jeunes gens qui déborde largement sur le trottoir. Un banquet ? Non, ils sont bien venus pour Eden . 2e constat, énormément de jeunes femmes et c'est pas pour déplaire à l'assistance. J'emprunte le petit couloir qui mène à la salle et là, moi qui m'appretait à commander une petite consommation, m'asseoir tranquillement et ouvrir mes esgourdes, stupéfaction. La salle est pleine, on ne peut même plus s'asseoir autour d'une table... de bon augure ? le résultat dépasse l'espérance.
Un préambule est déjà en cours, tout simplement, le chanteur d'Eden avec guitare electro-accoustique et un accolyte à la basse électrique. Je suis bluffé par l'attention du public. On reconnaitra au passage des titres de Radiohead ou d'Aston Villa très bien arrangés. L'accolyte en question, je l'apprends quelques minutes plus tard est le bassiste de la 1ere partie Vivid. Vivid justement dont j'essaie de grapiller des infos pendant l'installation des musiciens. J'apprends donc ça et là par diverses charmantes bouches (y'a des moyens plus pénibles d'obtenir des informations, c'est clair!) que c'est un groupe fraichement tombé de la branche et que c'est leur premier Live ce soir. Ne pas être trop exigeant alors, je vais plutôt me concentrer sur l'impression général et ce qu'ils dégagent.
Et re-claque. Ils ne sont que 4 mais alors l'expérience sonore (et sonique) valait largement les 5euros du p.a.f. C'est pas tout à fait dans la même frange qu'Eden puisque ça part sur un petit instru bien lourd mais qui laisse envisager la suite sous les meilleurs hospices. Ensuite pêle-mêle, on a eu du Blur, version bien rock, du redhotchilipeppers de bonne qualité, un passage "boeuf" avec le public. Bref ça navigue et je suis (c'est pas un débutant qui parle) estomaqué tant par la qualité d'execution que par la physionomie du set. Les 4 larrons n'hésitent pas un seul instant à tout débrancher pour claquer un morceau accoustique (reprise de Stone Temple il me semble) de qualité.Et tout le monde sait qu'en accoustique on peut pas tricher avec le son... on maîtrise ou pas
Et là ça marche, ça repart sur l'électro avec du Pearl Jam et l'étendard Alive pour montrer qu'en ces temps difficile, c'est no souci avec nos cousins U.S. Le final est digne d'une première partie : tout y est, une reprise bien vintage de Born 2 be wild et des gens qui sautent partout (ma bière a fini sur mon blouson) et avec le chanteur d'Eden un Fire dont l'éxecution ne m'arrache plus aucun superlatif, il fallait y être et tant pis pour les autres.
Le chanteur d'Eden reste pour le 2e boeuf, un gros riff bien tendu, bien harrangué par les 2 chanteurs, de vivid à la voix rocailleuse à souhait et d'eden plus aigue mais néanmoins puissante. Le guitariste d'eden se joint à eux sur ce titre et c'est une valeur ajoutée. Très efficace. Le set se termine sur le mythique "Communication Breakdown" avec break savamment rajouté et final qui signifie le passage de relais à Eden. Pour un premier concert, ça fait très mal. D'habitude j'évite les premières expériences, ça manque de tout et il y a souvent de gros ratés. Fredo était scotché.
Les ingrédients sont là on le sent... Chanteur avec une vraie voix (et c'est rare), guitariste qui assume sa solitude et ses solos, bassiste un peu plus en retrait mais garant d'une ryhtmique implacable (et impeccable) et batteur qui martèle comme un marechal-ferrand. Le potentiel est énorme. On pourra dire qu'on était là au tout début si d'aventure.... Ensuite Eden. Toujours autant de maitrise et d'identité. ça tourne bien alors on comprend pas pourquoi ça ne décole pas. Batteur précis, lead guitar maitrisant parfaitement son sujet. La rythmique n'est pas en reste même si elle fait la part belle aux échanges chant-lead guitar.
Les textes sont toujours soignés, un brin mélancolique. 2 groupes 2 styles que demande le peuple ? Le set chemine sans accroc, la salle s'est un peu vidée mais la masse est plutot dehors et au bar et on aperçoit les musiciens de Vivid au contact du public, ce qui renforce le positif de la prestation. Avec Fredo, on a un peu de mal à redescendre c'est pourquoi il nous faut qqes titres pour nous replonger dans l'univers Edenesque. Au passage, la petite chansonnette agnostique du démesuré guitariste reprise en choeur par le public.
On en est (mine de rien) à plus de 2 heures de musique, et de la bonne.... on a une petite pensée pour ceux qui, quelques jours plus tôt ont dépensé 45 euros pour aller voir des galipettes et des poirirers sur grand écran au Parc des Princes pour la Star Ac' !!! Et on a raison de rester jusqu'à la fin puisqu'on a le droit, à l'évènement : la fusion d'Eden et Vivid (ils paraissent d'ailleurs se connaitre bien au-delà du rapport, tête d'affiche/1ere partie) Et c'est parti pour "Ici Paris". Ahhh Noir dés, si on me prend par les sentiments
Les musiciens sont mixés et la reprise si on sent bien que c'est du non-travaillé (et c'est tout à leur honneur) est honnête. Batterie carrée et guitariste tj en maitrise. 2e titre et les instrument passe de mains en mains. C'est du Sinclair, je suis moins client mais le public restant participe activement et l'ambiance est là. Bien servi par le bassiste en débardeur Gaultier qui tient le haut du pavé et montre le chemin du dancefloor.
Ca groove en boucle pour le final et on a même décelé quelques envolées rythmiques en drum/bass las encore, bluffantes. Suite à cette soirée, j'ai recherché des infos sur Vivid via excite ou msn et rien. J'ai également essayé de trouver Flyer ou annonce pensant que p-e, Eden et Vivid enchainaient sur une tournée parisienne de quelques dates et rien, ce qui renforce notre sensation, bien agréable d'avoir été de cette expérience. Bravo à Vivid et une fois de + à Eden. Salut au public aussi qui a bien joué son rôle ».
Rico
« Des bons petits plans bien de chez nous »
écrit par Ricolefou sur le site des inrocks (www.inrocks.com)
dans la rubrique Dialoguer / Forum / Dernier concert : au bar ou dans la fosse).
« Mais que font les labels ? Plutot que de nous sortir des artiste préfabriqués à la télé réalité, ils seraient fort avisés de sortir un peu de leurs bureaux marketing et d'arpenter un peu plus assidument, les salles de concerts de Paris ou d'ailleurs, d'aller sur le terrain, de rencontrer nos forces, en un mot : faire leur métier. Grand fan de musique et n'en pratiquant pas moi meme, j'ai pour cette caste d'individus bcp de respect et de l'admiration. En bon parisien je prends donc Lylo et me fais une petite programmation hebdomadaire, ne me laissant guider que par mon instinct.
Je jette toujours aussi un oeil sur les petits flyers qu'on peut ramasser dans les studios de répétition parisiens. Mes scènes de prédilection étant La Scène ou le Nouveau Casino. Quelques salles de banlieue aussi comme la Clé dans le 78 ou le Plan à Ris-Orangis. Dernière bonne découverte en date après mon article sur Ghetto Life, un petit endroit dans les faubourgs de la Villette, l'Espace Blues. Amateur de Blues, j'y étais passé à la volée pour voire Outsliders, du bon vieux blues bien crasseux et déjà à l'époque Eden en 1ere partie. Exactement les mêmes que ceux que j'avais vu il y a fort longtemps avec Aston Villa à la Clé justement.
La question se pose alors : dans ce laps de temps, personne ne s'est donc décidé à donner la chance à ce petit groupe avec un réel talent latent et une vraie voix sans un gros mix derrière. Entre ces 2 dates, les productions poubelles ou de mauvaise qualité ont pourtant rempli les bacs et plutot que par exemple, nous imposer un deuxième opus des très mauvais (j'en suis témoin) Superbus, dont la Major responsable de l'atrocité n'a sans doute pas su dire non à la fille de Chantal Lauby, on aurait préférer trouver dans ses mêmes bacs un petit LP modeste mais existant d'Eden. Le salut du disc passera par là. La qualité et le développement
Je ne boude donc pas mon plaisir d'aller dans ce petit bar de la rue Barbanègre afin d'entendre, pour la 3e fois déjà (et oui) Eden. Je pense toujours à ces gens qui ont vu au milieu des années 60, les Beatles dans des caves à Liverpool, Londres ou encore en Allemagne pour quelques livres ou quelques marks. Mais en ce soir du 10/07, grosse surprise, en arrivant avec mon Fredo dans la dite rue, une masse de jeunes gens qui déborde largement sur le trottoir. Un banquet ? Non, ils sont bien venus pour Eden . 2e constat, énormément de jeunes femmes et c'est pas pour déplaire à l'assistance. J'emprunte le petit couloir qui mène à la salle et là, moi qui m'appretait à commander une petite consommation, m'asseoir tranquillement et ouvrir mes esgourdes, stupéfaction. La salle est pleine, on ne peut même plus s'asseoir autour d'une table... de bon augure ? le résultat dépasse l'espérance.
Un préambule est déjà en cours, tout simplement, le chanteur d'Eden avec guitare electro-accoustique et un accolyte à la basse électrique. Je suis bluffé par l'attention du public. On reconnaitra au passage des titres de Radiohead ou d'Aston Villa très bien arrangés. L'accolyte en question, je l'apprends quelques minutes plus tard est le bassiste de la 1ere partie Vivid. Vivid justement dont j'essaie de grapiller des infos pendant l'installation des musiciens. J'apprends donc ça et là par diverses charmantes bouches (y'a des moyens plus pénibles d'obtenir des informations, c'est clair!) que c'est un groupe fraichement tombé de la branche et que c'est leur premier Live ce soir. Ne pas être trop exigeant alors, je vais plutôt me concentrer sur l'impression général et ce qu'ils dégagent.
Et re-claque. Ils ne sont que 4 mais alors l'expérience sonore (et sonique) valait largement les 5euros du p.a.f. C'est pas tout à fait dans la même frange qu'Eden puisque ça part sur un petit instru bien lourd mais qui laisse envisager la suite sous les meilleurs hospices. Ensuite pêle-mêle, on a eu du Blur, version bien rock, du redhotchilipeppers de bonne qualité, un passage "boeuf" avec le public. Bref ça navigue et je suis (c'est pas un débutant qui parle) estomaqué tant par la qualité d'execution que par la physionomie du set. Les 4 larrons n'hésitent pas un seul instant à tout débrancher pour claquer un morceau accoustique (reprise de Stone Temple il me semble) de qualité.Et tout le monde sait qu'en accoustique on peut pas tricher avec le son... on maîtrise ou pas
Et là ça marche, ça repart sur l'électro avec du Pearl Jam et l'étendard Alive pour montrer qu'en ces temps difficile, c'est no souci avec nos cousins U.S. Le final est digne d'une première partie : tout y est, une reprise bien vintage de Born 2 be wild et des gens qui sautent partout (ma bière a fini sur mon blouson) et avec le chanteur d'Eden un Fire dont l'éxecution ne m'arrache plus aucun superlatif, il fallait y être et tant pis pour les autres.
Le chanteur d'Eden reste pour le 2e boeuf, un gros riff bien tendu, bien harrangué par les 2 chanteurs, de vivid à la voix rocailleuse à souhait et d'eden plus aigue mais néanmoins puissante. Le guitariste d'eden se joint à eux sur ce titre et c'est une valeur ajoutée. Très efficace. Le set se termine sur le mythique "Communication Breakdown" avec break savamment rajouté et final qui signifie le passage de relais à Eden. Pour un premier concert, ça fait très mal. D'habitude j'évite les premières expériences, ça manque de tout et il y a souvent de gros ratés. Fredo était scotché.
Les ingrédients sont là on le sent... Chanteur avec une vraie voix (et c'est rare), guitariste qui assume sa solitude et ses solos, bassiste un peu plus en retrait mais garant d'une ryhtmique implacable (et impeccable) et batteur qui martèle comme un marechal-ferrand. Le potentiel est énorme. On pourra dire qu'on était là au tout début si d'aventure.... Ensuite Eden. Toujours autant de maitrise et d'identité. ça tourne bien alors on comprend pas pourquoi ça ne décole pas. Batteur précis, lead guitar maitrisant parfaitement son sujet. La rythmique n'est pas en reste même si elle fait la part belle aux échanges chant-lead guitar.
Les textes sont toujours soignés, un brin mélancolique. 2 groupes 2 styles que demande le peuple ? Le set chemine sans accroc, la salle s'est un peu vidée mais la masse est plutot dehors et au bar et on aperçoit les musiciens de Vivid au contact du public, ce qui renforce le positif de la prestation. Avec Fredo, on a un peu de mal à redescendre c'est pourquoi il nous faut qqes titres pour nous replonger dans l'univers Edenesque. Au passage, la petite chansonnette agnostique du démesuré guitariste reprise en choeur par le public.
On en est (mine de rien) à plus de 2 heures de musique, et de la bonne.... on a une petite pensée pour ceux qui, quelques jours plus tôt ont dépensé 45 euros pour aller voir des galipettes et des poirirers sur grand écran au Parc des Princes pour la Star Ac' !!! Et on a raison de rester jusqu'à la fin puisqu'on a le droit, à l'évènement : la fusion d'Eden et Vivid (ils paraissent d'ailleurs se connaitre bien au-delà du rapport, tête d'affiche/1ere partie) Et c'est parti pour "Ici Paris". Ahhh Noir dés, si on me prend par les sentiments
Les musiciens sont mixés et la reprise si on sent bien que c'est du non-travaillé (et c'est tout à leur honneur) est honnête. Batterie carrée et guitariste tj en maitrise. 2e titre et les instrument passe de mains en mains. C'est du Sinclair, je suis moins client mais le public restant participe activement et l'ambiance est là. Bien servi par le bassiste en débardeur Gaultier qui tient le haut du pavé et montre le chemin du dancefloor.
Ca groove en boucle pour le final et on a même décelé quelques envolées rythmiques en drum/bass las encore, bluffantes. Suite à cette soirée, j'ai recherché des infos sur Vivid via excite ou msn et rien. J'ai également essayé de trouver Flyer ou annonce pensant que p-e, Eden et Vivid enchainaient sur une tournée parisienne de quelques dates et rien, ce qui renforce notre sensation, bien agréable d'avoir été de cette expérience. Bravo à Vivid et une fois de + à Eden. Salut au public aussi qui a bien joué son rôle ».
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