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réactions au dossier Derrière le son d'Olivier Leducq

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Sujet de la discussion Derrière le son d'Olivier Leducq
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Pour ce premier numéro de Derrière le son, nous vous donnons rendez-vous aux studios Ferber, pour un entretien avec l'homme aux multi-casquettes Olivier Leducq, qui du haut de ses 34 ans détient déjà un joli palmarès. Du regretté Christophe à Julien Doré en passant par Big Flo & Oli, cet amoureux du son à participé à l'élaboration de nombreux albums, mais également au développement du label Cosmos Records. Installez-vous confortablement, et partons ensemble Derrière le son d'Olivier Leducq.


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Ah oui d’accord, pardon. Sur iPad j’ai beaucoup de mal à me faire à la mise à jour. ^^
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super article, approche très intéressante !
Attention au coquilles dans le nom de Dominique Blanc-Francard c'est pas très chic ;-)

Underground House is my girlfriend 

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Je ne sais pas si c'est la relecture mais j'aime beaucoup la manière dont il s'exprime ! Merci pour ce partage, j'ai apprécié énormément !

La musique comme un trésor, une soudaine envie de repenser à l'archipel. Je relativise, d’habitudes en mouv sur Mars, j'explore cet univers sonore sans laisser de désordre. Mon Soundcloud Limone16

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Merci, c'est toujours hyper intéressant de voir l'approche artistique (et psychologique) derrière l'aspect technique.
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Citation :
on fait un métier très psychologique, on aide les artistes à accoucher de leurs oeuvres et plus le temps passe, plus on se rend compte que la technique est secondaire. Le goût esthétique et la psychologie sont encore plus importants.

Clairement !
Ce qui prime dans la musique, c'est la musique. Mettre l'artiste en conditions de faire la meilleure musique possible est la base du métier, je trouve. Ensuite, la technique, tout ça, c'est super et c'est important, mais ça reste secondaire par rapport à l'interprétation.

J'enregistre assez souvent de jeunes rappeurs qui n'ont pas d'expérience de studio. J'essaye très vite de voir comment ils se comportent en chantant sans micro. Quand je vois qu'il bougent beaucoup, je préfère leur mettre un micro dynamique en main qu'un statique qui va les figer. Ce que je perds en qualité sonore est bien peu par rapport à ce qui est gagné en interprétation.
C'est encore plus vrai quand on a affaire à des gens qui ont l'expérience de la scène et jouent avec le son du micro. Je préfère souvent leur filer un SM58 qu'ils connaissent par coeur et dont ils jouent littéralement de l'effet de proximité qu'un statique qu'ils ne maitrisent pas.
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J'ai adoré également l'article.
(Enfin les propos du protagoniste interviewé)
Le plaisir de la musique, d'un morceau, du son, restent toujours quelque chose de mystérieux.
On sent que ça kiffe dur, et moi aussi (amateur passionné comme bcp ici) tant que j'aurai ça dans ma vie, je me dirai que j'ai beaucoup de chance de ressentir ce plaisir, cette volupté pour ainsi dire.

Merci pour cet article !
18
Je suis 100% d'accord avec la nécessité d'écouter des instruments acoustiques et des chefs classiques. Merci!
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Compresseur, re-compresseur, convertisseur, re-convertisseur... au vu des artistes qu'il produit, je comprends pourquoi j'aime pas ça, malgré toute la sympathie que suscite le monsieur !
20
Citation de fredolo :
Compresseur, re-compresseur, convertisseur, re-convertisseur... au vu des artistes qu'il produit, je comprends pourquoi j'aime pas ça, malgré toute la sympathie que suscite le monsieur !


Mouai... en même temps je te mets au défi de sortir une prod qui n'ait pas au moins 2 couches de compression sinon plus (une à la prise pour adapter la dynamique à la phase de mix, une en bus de sortie de mix, et souvent une autre au mastering).
Et de même à celui pour sortit une prod qui n'ait pas au moins 2 allers-retour de conversion sinon plus (1 à la prise, 1 éventuellement en mix, 1 au mastering).

"Haterz gonna hate" :noidea:

Bref... sinon super article, mec intéressant et pas péteux. Les commentaires sur l'impréparation à la sortie d'école je crois que ça vaut +1000, faut le dire aux jeunes que ce métier c'est beaucoup une affaire de relationnel, de rencontres, et d'abnégation. Bosser en studio comme assistant c'est ingrat, ça peut durer longtemps, ça peut ne pas découler sur grand chose en plus, mais ya pas d'autres solutions dans un métier qui passe par la constitution d'un carnet de contacts au moins autant (sinon plus) que par la compétence technique (je me souviendrai toujours de ce gars qui me félicitait du placement de micro sur une violoniste, c'était gentil hein, mais je lui ai clairement répondu que j'avais rien fait, c'est elle qui sonnait de fou, tant que je faisais pas complètement n'importe quoi ça aurait fonctionné...). Faut du bol, faut prendre des risques qui paient pas toujours, tomber sur le(s) bon(s) mentor(s), et sauf à avoir le soutien financier derrière faut pas avoir peur de la précarité.

 

The only way to do it is to do it. (Merce Cunningham)

[ Dernière édition du message le 12/04/2021 à 12:12:46 ]