« Faut pas plus ! »
Publié le 27/10/25 à 15:52
Rapport qualité/prix :
Excellent
Cible :
Les débutants
Je ne suis pas un “Focusrite addict”, mais j’ai voulu réagir face aux nombreuses vidéos et avis qui déconseillent l’achat de cette interface sous prétexte qu’elle ne vaudrait pas son prix.
Pour situer, j’ai déjà utilisé des Tascam, M-Audio (ProjectMix, 1814), Steinberg, Behringer, Akai, Roland… ainsi (mon setup actuel) qu’une Presonus 1810c et une Focusrite 8i6 3rd Gen.
Ici, c’est une Solo 3rd Gen, que j’utilise pour du Teams.
Ce qui m’a bluffé
La sortie casque à très faible impédance (<1 Ω) : rare à ce prix, elle assure un facteur d’amortissement excellent et permet de piloter confortablement des casques de faible impédance, même jusqu’à 32 Ω.
La qualité sonore : claire, précise, détaillée, avec du punch et du mordant. Les graves sont maîtrisés, les aigus aérés, la restitution agréable et naturelle.
Préampli fiable et silencieux : parfait pour des micros à condensateur typiques de home studio (NT1, AT2020…).
Attention toutefois
Micro dynamique exigeant (SM7, RE20, etc.) : le gain disponible est limité. Pour ce type de micro, un préampli externe ou un booster type Cloudlifter sera nécessaire.
Mono seulement sur la Solo : une entrée micro et une entrée instrument, ce qui est suffisant pour un setup simple, mais limite les prises simultanées.
Rapport qualité/prix
Dans cette gamme, la Scarlett Solo 3rd Gen est exceptionnelle. Pour un gain sonore supplémentaire notable, il faut passer sur des interfaces beaucoup plus coûteuses. Mais dans la plupart des home studios, l’investissement sera bien mieux utilisé dans un traitement acoustique ou de meilleures enceintes.
En résumé : si vous cherchez une interface fiable, compacte, sonore et simple, pour un usage voix/instruments acoustiques ou home studio classique, cette Scarlett Solo 3rd Gen est un choix plus que raisonnable. Pas besoin de viser obligatoirement une UAD Apollo si votre studio n’est pas ultra traité et vos écoutes pas haut de gamme. Pour les hifistes, elle restitue également un son net, détaillé et équilibré.
Pour situer, j’ai déjà utilisé des Tascam, M-Audio (ProjectMix, 1814), Steinberg, Behringer, Akai, Roland… ainsi (mon setup actuel) qu’une Presonus 1810c et une Focusrite 8i6 3rd Gen.
Ici, c’est une Solo 3rd Gen, que j’utilise pour du Teams.
Ce qui m’a bluffé
La sortie casque à très faible impédance (<1 Ω) : rare à ce prix, elle assure un facteur d’amortissement excellent et permet de piloter confortablement des casques de faible impédance, même jusqu’à 32 Ω.
La qualité sonore : claire, précise, détaillée, avec du punch et du mordant. Les graves sont maîtrisés, les aigus aérés, la restitution agréable et naturelle.
Préampli fiable et silencieux : parfait pour des micros à condensateur typiques de home studio (NT1, AT2020…).
Attention toutefois
Micro dynamique exigeant (SM7, RE20, etc.) : le gain disponible est limité. Pour ce type de micro, un préampli externe ou un booster type Cloudlifter sera nécessaire.
Mono seulement sur la Solo : une entrée micro et une entrée instrument, ce qui est suffisant pour un setup simple, mais limite les prises simultanées.
Rapport qualité/prix
Dans cette gamme, la Scarlett Solo 3rd Gen est exceptionnelle. Pour un gain sonore supplémentaire notable, il faut passer sur des interfaces beaucoup plus coûteuses. Mais dans la plupart des home studios, l’investissement sera bien mieux utilisé dans un traitement acoustique ou de meilleures enceintes.
En résumé : si vous cherchez une interface fiable, compacte, sonore et simple, pour un usage voix/instruments acoustiques ou home studio classique, cette Scarlett Solo 3rd Gen est un choix plus que raisonnable. Pas besoin de viser obligatoirement une UAD Apollo si votre studio n’est pas ultra traité et vos écoutes pas haut de gamme. Pour les hifistes, elle restitue également un son net, détaillé et équilibré.

