Se connecter
Se connecter

ou
Créer un compte

ou
< Tous les avis Universal Audio Volt 176
Steelcore Steelcore

« Simple et efficace à condition de ne pas trop lui en demander »

Publié le 17/03/23 à 19:45
Rapport qualité/prix : Excellent
Cible : Tout public
Pas facile de faire son choix dans la jungle des interfaces audio d’entrée de gamme. J’ai opté pour le Volt 176 d’Universal Audio. Je vous en parle en quelques paragraphes alors qu’on pourrait écrire un bouquin sur le sujet. En espérant peut-être vous aider à mieux cibler les outils dont vous avez besoin. Je détaille ici les forces et les défauts d’un produit bien pensé mais qui doit faire des concessions à ce tarif ridiculement bas si on le compare aux standards des studios pros.


Alimentation secteur : Volt, meilleur que tous ses concurrents

J’utilise le Volt 176 pour capturer de la voix off dans DaVinci Resolve. Donc pour du montage vidéo de tutoriels destinés à YouTube. J’ai choisi le176 parce qu’il est mono canal et surtout qu’il n’est pas tributaire de l’USB du PC quant à l’alimentation.
Je le connecte à un chargeur USB 5VDC 2A Tascam acheté chez Thomann. Le câble USB/barrel est fourni avec tous les modèles Volt, mais il est trop court. Donc il faut lui adjoindre une rallonge USB. Le chargeur est uniquement fourni avec le Volt 476. Pour le 176 et le 276, vous trouvez des chargeurs 5V 2A à moins de 20 euros chez Amazon par exemple. Un Samsung ou un Apple fonctionnent, j’ai essayé. Surtout ne le connectez pas à du 9V ou du 12V de nos bonnes vieilles alims de pedalboard hein…

Avant de faire mon choix, j’ai testé un Elgato Wave XLR qui est livré avec un excellent logiciel de virtualisation de pistes audio pour le streaming. Mais qui malheureusement s’éteint automatiquement au bout de 30 secondes sur tous mes PC. Je n’ai même pas le temps de terminer la configuration qu’il faut que je le débranche puis que je le rebranche. J'ai quand même eu le temps, à force d'essayer, de tester les capacités de son préampli pas trop mauvais. Mais j’ai eu beau chercher des problèmes de contrôleurs USB, rien n’y fait. Elgato (filiale de Corsair) a répondu trop tard à mon mail sur le sujet. Retour à Amazon, remboursement, merci Amazon, adieu Elgato. Bref vous avez compris, je dis non à toute solution alimentée uniquement par l’USB.

Il est possible que l’USB ne tienne pas sur mon PC de gamer. Une config solide à base de carte mère Asus Rog avec carte contrôleur USB sur PCIe supplémentaire. Ce PC est dédié au jeu Star Citizen, un MMO qui, à la base, est un simulateur de vol spatial. Ce PC est donc ici forcément chargé en périphériques USB. On y trouve un Tobii Eyetracker, deux joysticks Virpil Constellation Alpha, deux panneaux de contrôles Virpil, un palonnier VKB TRudder MKIV, un clavier Corsair K70 Silent, une souris Logitech G502 Hero et une manette Microsoft Elite 2. Tout est en filaire. Pas de sans fil, donc pas de prise de tête avec des nids à pannes.

Avec Volt, je passe directement par l’alimentation secteur et je dispose d’un switch on/off. Ce qui devrait être monté de base sur tout périphérique audio de ce genre. J’évite donc les TC Helicon GoXLR Mini, Audient iD (qui a de meilleurs convertisseurs que le Volt) et autres Focusrite Scarlett. La GoXLR standard a bien une prise 12V, mais ses fonctionnalités de sampling et d’effets sont de l’ordre du gadget. En gros, vous payez pour des services que vous utiliserez une fois au début avant de les abandonner. Et me voilà donc condamné à utiliser VoiceMeter Banana pour virtualiser les pistes dans Windows si je veux streamer avec OBS Studio. Car Volt ne fait pas exactement le même job que la GoXLR de TC Helicon ou que le Wave XLR d’Elgato.

Outre l'avantage ne pas surcharger l’USB du PC, l’alimentation secteur permet d’utiliser Volt comme un périphérique audio seul. Il s’intègre donc parfaitement à une solution full analog lors d’une répétition par exemple. Bref, à ce stade Universal Audio donne ici une leçon de bon sens à la concurrence.


Le son « liquid », façon Universal Audio

Le preampli de Volt délivre suffisamment de niveau pour mon Shure SM7B, le standard du broadcast connu pour avoir besoin d’un preamp qui envoie du lourd. Le preamp de Volt est d’autant plus intéressant quand on le pousse et qu’on engage le compresseur qui agit ici comme un boost. Le mode « fast » étant suffisant pour assurer un rôle de limiteur et ainsi éviter le clipping. Le mode « vocal » étant celui qui tabasse le moins, et que j’utilise. N’attendez pas des miracles du compresseur. C’est une solution automatique pour le gens qui, comme moi, doivent gagner du temps. Pas de réglages de l’attaque ou du ratio ici. On n’est pas sur un rack TubeTech CL-1B, un véritable Urei 1176 ou encore un vénérable Neve 2254…

Sur le preamp, le mode « vintage » est sensé émuler le fameux 610 de chez Universal Audio qui a fait la gloire de Bill Putnam. Pour ma voix, il fait très bien le boulot. En gros, ça sonne un peu plus chaud, plus agréable. En micro, si j’utilise le Shure SM7B, j’ai néanmoins une accentuation des basses qui me demanderait un post traitement. Ici comme mon workflow n’est pas celui d’un ingé de mixage mais d’un youtuber, je ne veux pas passer une seconde à retravailler le son après la phase de tracking. Non, pas le temps pour ça. Je garde donc mon Shure SM7B pour mes guitares dans mon studio où il est couplé à un preamp en rack BAE 1073MP Steve Stevens edition (avec une sortie summing 50/50), le grand classique.

Ici avec Volt, j’utilise un micro Electrovoice RE20 en version black. Un autre grand standard du broadcast. Et l’équilibre tonal est atteint, pas besoin de filtrer par la suite. Donc niveau son, avec un micro trois fois plus cher, le Volt 176, c’est du plug and play mais avec un seul réglage. Le preamp doit être poussé aux trois quarts pour que le compresseur fonctionne de manière optimale. Si vous ne poussez pas le preamp, si vous n'aimez pas ce son là, alors le compresseur ne va pas entrer en action. En tous cas, c'est ce que j’observe. Autant vous orienter vers la version standard de Volt si vous ne poussez pas le preamp. Mais pour savoir comment combler vos besoins, il faudra avoir testé avec votre source et votre micro.
Ce preamp UA est meilleur que ceux des Elgato Wave XLR, TC Helicon GoXLR et Focusrite Scarlett dont les niveaux délivrés ne sont pas suffisants pour le SM7B. Disons qu'avec ces trois-là ça passe mais que ça va souffler. Volt n'a pas ce problème. On peut néanmoins trouver mieux, mais dans la catégorie au dessus : il vous faudra la Focusrite Clarett qui délivre plus de niveau pour moins de bruit de fond.

Pour de la voix off doublant de la vidéo avec de la musique de jeu et des bruitages en fond sur des séquences de dog-fight (pew pew , explosions à gogo, etc.), le Volt me va très bien. Je n’ai aucun bruit de fond. Avec le Shure SM7B, je captais le ventilateur de mon écran Asus Rog, un 4K IPS en 27 pouces qui chauffe beaucoup. Avec l’Electrovoice RE20, je n’entends que ma voix. Je ne saurais donc trop vous conseiller le RE20 avec Volt si votre environnement sonore est pollué…

Si vous souhaitez utiliser des micros à condensateur de type AKG C-414 ou Audio Technica AT4047 par exemple, l’alimentation fantôme est là, juste à côté de l’entrée XLR. Bon, pour de l’instrument, sur ce type de micro, je préférerais un preamp comme le Summit Audio TPA-200B. C’est avec lui que j’obtiens le meilleur rendement et les détails que peuvent capter ces micros. Un Avalon AD2022 ira aussi très bien pour viser la neutralité et un son qui ne tord pas sans être trop froid tout en grimpant dans les niveaux. Bref, on ne branche pas un micro Telefunken à 20000 balles sur une interface Volt à 200 balles. C’est le principe de la chaîne audio : suivez le signal et vous verrez que le maillon faible de cette chaîne va provoquer un nivellement par le bas. Donc restez ici sur du micro dynamique à quelques centaines d'euros, ce sera plus cohérent et vous optimiserez vos investissements.

Attention si vous utilisez des micros à ruban : le bouton de push pour engager le 48V peut être enclenché accidentellement, surtout au moment de brancher le XLR. J’aurais préféré voir cette entrée sur le panneau arrière. Mais bon, là encore, Volt n’est pas fait pour ça. Dans cette tranche de prix, il est plus généralement couplé à des SM57/58. Je garde mes Royer R121 et autre Shure KSM313 pour mon preamp TubeTech qui monte à 2400 Ohms. Volt n’a pas été pensé pour ça. Mais je le signale parce que je connais des loulous qui utilisent des micros ruban pour leur voix et qui auraient aimé au moins un capot amovible de verrouillage sur ce bouton du 48V dangereusement placé en façade.

Connectique : la base sans plus

Pour ceux qui veulent un monitoring sans latence, on a de quoi brancher un casque en jack 6.35. Ouf, pas de mini jack, quel bonheur ! Et pour deux enceintes, là aussi on a du jack 6.35, un choix que j’apprécie moins. L’ampli fonctionne très bien. Et si vous voulez switcher entre deux ou trois paires d’enceintes, rien n’empêche de patcher Volt pour attaquer une Presonus Central Station ou un Crane Avocet dans votre studio…

Maintenant à plus de 200 euros (je compte le prix du chargeur USB et les câbles non fournis), on ne peut pas non plus demander au Volt 176 d’aller décrocher les étoiles.

La présence du midi pour un contrôleur de type clavier est un plus mais peut-être pas sur un preamp mono. J’aurais réservé ça au Volt 476. En revanche j’aurais préféré des sorties XLR sur toute la gamme pour attaquer directement de petites enceintes de proximité. Dans mon cas je bosse donc au casque, un vieil AKG K-270Pro fermé pour éviter la repisse dans le micro.

Surtout, qu’est ce qui empêchait Universal Audio de placer ici un USB standard plutôt que cette saleté d’USB-C pour se connecter au PC hein ? C’est comme le mini-jack face au jack 6.35, ça n’a d’intérêt que sur un smartphone où la miniaturisation est de mise. Ces connecteurs sont trop fragiles. J’imagine qu’ici Volt a été pensé pour des solutions nomades avec PC mobiles en USB-C… Ben alors pourquoi donc est-ce que le câble fourni (lui aussi trop court) n’est pas USB-C des deux côtés ?

Ergonomie : un bien pour un mal… ou l’inverse selon votre utilisation

La disposition de l’entrée XLR sur le front panel est une plaie en ce qui me concerne (le mal). Pas pour les musiciens qui branchent leur instrument directement en façade (le bien). Je le savais, mais je n’ai pas eu le choix, donc je dois faire avec. Sinon il aurait fallu que j’achète un Apollo, totalement overkill pour mon utilisation dans ce cas bien précis de la voix off.

Il faut donc laisser une bande de 15 cm de profondeur entre vous et le Volt pour ce câble XLR. Ce qui n’est pas du tout ergonomique pour un workflow optimum. Et oui, les fiches mâles XLR coudées ne permettent pas d’orienter le câble sur le côté mais en haut, ce qui est gênant pour opérer la machine évidemment, ou en bas. Si vous posez Volt au bord du plan de votre poste de travail, cette dernière solution vers le bas est viable. Donc faites bien attention à l’orientation des broches quand vous achetez le câble XLR qui n’est pas fourni ici. Il vous faudra au minimum 1,5 m de long si votre micro est sur un bras articulé (un K&M pour ma part) dont la base est à côté de Volt.
Bref, j’aurais aimé un déport de connexion XLR à l’arrière à la place du midi. Résultat, je fixe Volt à un panneau de pupitre que j'ai réalisé sur-mesure et qui est fixé à un système Vesa (pour les écrans) de Roadworx sur un bras articulé de la même marque. Volt est donc presque à la verticale avec le câble orienté vers le bas, dans le vide. Vous avez saisi, j’ai tellement l’habitude des racks, que j’ai « verticalisé » Volt.
Et là vous comprenez pourquoi personne ne propose de support pour orienter Volt à 45 degrés comme un Elgato StreamDeck. Le câble XLR à l'avant ne le permet pas.

Les plugins : un attrape-couillon

Les plugins offerts ici peuvent s’ouvrir dans la console Fairchild de DaVinci Resolve. C’est du VST. Il y a aussi de l’AAX pour ProTools. Et Ableton Lite que je n'aime pas du tout est fourni ici. L’installation des plugins peut s’avérer fastidieuse pour les néophytes à qui s’adresse ce genre de produit simple d’entrée de gamme. Un de mes autres PC est une station de montage audio dédiée à ProTools HDX, j’ai donc déjà un compte iLok et j’ai l’habitude des process de register. Mais même après des décennies, je trouve ça toujours aussi urticant et d’une longueur interminable… Et ça me casse toujours autant la tête. Je pense que l'effort de patience ne vaut pas la peine. Disons que ça va dépanner ceux qui se lancent avec absolument rien d'autre que Volt.

Alors surtout, ne vous emballez pas. Même si vous pourrez utiliser un émulateur de Teletronix LA-2A comme limiteur ou d'un SPL comme subfilter, ça reste des plugins qui ne sonneront jamais comme du outboard gear en rack avec transformateurs surdimensionnés. Les lois de la physique sont insurmontables, sauf si vous êtes suffisamment sourd pour ne pas entendre la différence.

Alors des plugins offerts, c’est bien, surtout pour faire des maquettes, mais à utiliser avec modération sous peine de ruiner votre son. D’autant qu’ici, on n’est pas sur la série Apollo équipée de processeurs audio embarqués. Il en va de même avec les instruments virtuels. Universal Audio ne vous offre pas ici un Superior Drummer 3 avec la Metal Machine (ah la Tama Starclassic que j’adore jouée par John Tempesta et mixée par Andy Sneap)… Donc l’offre de plugins est alléchante pour un débutant qui n'y connaît rien, mais à l’usage vous n’en utiliserez que très peu car vous trouverez très vite leurs limites. Si vous réalisez que ça sonne mieux sans. Si vous attrapez le virus, c’est là que ça devient dangereux pour votre compte en banque.

Conseil à prendre ou à laisser : à quoi bon claquer ensuite des centaines d’euros en plugins pour un Volt à 200 euros ? Ce serait tomber dans le panneau. Les plugins, ça fonctionne bien quand c’est du Waves nourri avec un rack de DSP qui coûte aussi cher que du bon vieux matos analogique qui, lui, ne perdra pas de valeur dans le temps. J’ai toujours mes deux TubeTech MEQ-5 et mes deux TubeTech PA1, de bons vieux cailloux payé 2000 balles pièces il y a fort longtemps. Aujourd’hui, ils sont à 3000 euros pièce. Ce qui me fait du 4000 euros de gain. Écoutez les interviews de Vince Powell qui explique qu’investir dans les standards de l’audio pro vont lui permettre de les revendre avant de prendre sa retraite sans y laisser une plume… Va-t-il pouvoir revendre aussi bien ses plugins ? Vous vous doutez bien de la réponse : ce qui est numérique a une obsolescence que n’ont pas un compresseur SSL ou un EQ GML.

Avec Volt, sachez donc vous contenter de Volt. Ne regardez pas les pubs quotidiennes d’Universal Audio qui tombent dans votre boite mails (et oui ça sert à ça aussi le register…) mais apprenez à bien placer votre micro, à bien traiter acoustiquement l’endroit où vous captez votre source. Alors, vous ne tomberez pas dans le piège des sirènes du numérique.
Bien entendu, si vous êtes de la famille « mixer in da box », alors oui les plugins vous sont indispensables. Mais alors vous n’achèterez pas Volt, plutôt un Apollo avec ses DSP. Pour moi qui utilise ProTools pour l’editing et les convertisseurs en digilink (Avid, Burl), le studio hybride avec summing analogique reste une obligation. Alors oui, le convertisseur de Volt ne vaut pas celui d’un Burl Bomber, c’est certain.

Avec Volt, on a un preamp et un comp analogique qui font le taf si vous les mettez dans de bonnes conditions de fonctionnement. Vous n’aurez pas besoin des plugins. Volt, produit d’entrée de gamme, est un peu un « preamp pour les noobs ». C’est ce côté plug and play qui m’a fait pencher pour Volt. Et il fait exactement ce dont j’ai besoin tout en me faisant gagner du temps.

Conclusion : Volt, au top du plug and rec

Outre des inconvénients inévitables avec un tarif contenu, quand on pose Volt sur la balance, il reste à mes yeux la meilleure solution sur ce segment de l’entrée de gamme. En fait je ne lui connais pas de concurrent, pour l’instant. Reste un détail de taille ! Peut-être que vous préférez un preamp qui balance un son cristallin et froid. Volt n’est pas de cette famille-là. Il colore le son, sans exagération, mais il n’est pas transparent. On ne parle pas alors d’un défaut, plutôt d’un choix artistique qui se pose à chacun d’entre nous quand l’achat d’un préampli s’impose, quelle que soit la gamme de prix.

Il ne me viendrait pas à l’esprit d’enregistrer mes amplis high-gain (Rectifier, Soldano et cie) sur Volt. La basse en DI, peut-être. Mais pour ça j’ai déjà un Millennia TD1 qui ne suffit pas de toute manière à capturer le son de ma tête Ampeg SVT2-Pro de 300 watts. Et un Avalon V5 sera bien meilleur pour un bassiste qu’un Volt 176. Pas le même prix non plus. Si votre budget ne peut aller au-delà, pas d’inquiétude, ce sera sympa quand même avec Volt.

Simplement ne rêvez pas. Avec Volt, vous n’obtiendrez jamais le résultat optimal d’un combo Shure SM57 et Royer R121 sur deux tranches de console Neve. Ce sera smooth, mais pas le buttery sound anglais à un tel niveau de précision et de capacité de traitement. Et vous aurez encore moins le son punchy de Nashville que délivre un 312 de chez API. Comme toujours avec le matos de studio, il va falloir tester et bien évaluer vos besoins pour savoir si Volt vous convient, ou pas. Et c’est bien pour ça que je poste cette review. Il ne servirait à rien que je vous parle de mes preamps BAE, des clones de Neve 1073, ce dernier étant l’étalon référence mondial. Ceux qui les achètent les connaissent déjà et n’ont pas besoin que je leur explique pourquoi ils vont les acheter. Et ceux qui ne les aiment pas savent pourquoi ils vont se tourner vers SSL. Alors que Volt s’adresse en majorité aux néophytes probablement perdu face à une foule de produits.

Ce que vous devez surtout retenir ici, c’est que ça sonne sans se prendre la tête. Facile à utiliser. Est-ce que ce n’est pas cela qu’on demande juste à ce genre de produit ?