Sujet de la discussionPosté le 20/06/2006 à 14:34:08Cultivons nous ensemble.
Je vous propose un petit jeu qui pourrait être sympa.
Les règles:
Quelqu'un poste une image d'un lieu, tableau, photo (etc) connu et les autres doivent trouver le nom ou l'auteur etc.
Celui qui trouve gagne le privilege de poster la prochaine image.
[ Dernière édition du message le 01/09/2011 à 17:51:58 ]
empism
2554
Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 14 ans
10248Posté le 01/09/2011 à 17:52:52
Citation :
Lorsque les appuis sont trop distants, ou lorsque le matériau local est tellement compact qu'une extraction s'avère presque impossible, la technique du barrage à contreforts permet de réaliser un barrage à grande économie de matériaux.
Le mur plat ou multivoûtes (Vézins, Migoëlou ou Bissorte) en béton s’appuie sur des contreforts en béton armé encastrés dans la fondation, qui reportent la poussée de l’eau sur les fondations inférieures et sur les rives.
Un des exemples le plus important de ce type est le barrage Daniel-Johnson au Québec, complété en 1968 dans le cadre du projet Manic-Outardes. Haut de 214 m et large de 1 312 m, le barrage, conçu par André Coyne[6], est soutenu par deux contreforts centraux écartés par 160 m à leur base. Les 13 voûtes latérales forment des demi-cylindres inclinés qui ont 76 m d'entraxe. Au-delà des considérations esthétiques, Hydro-Québec a choisi de construire un barrage en voûtes et contreforts pour des raisons économiques. Selon les études de conception, la construction de l'ouvrage a requis un peu plus de 2,2 millions de m³ de béton, soit cinq fois moins qu'un barrage poids[7].