Sujet Les fournisseurs !
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Anonyme
521410
un fourniss parodié!
le vrai en live
...me demande s'il a inspiré le mec de SpinalTap ou si c'est l'inverse!
le vrai en live
...me demande s'il a inspiré le mec de SpinalTap ou si c'est l'inverse!
Anonyme
521410
Attends yoyo67, ce n'est pas une parodie, c'est notre maitre à tous, j'ai meme pris des tofs avec lui avec des potes dans ma ville, c'est une légénde ici 
Je lui ai même cassé les couilles au musikmesse l'année dernière
Et je retrouve pas les tofs ou je joue avec LA double guitare
Je lui ai même cassé les couilles au musikmesse l'année dernière
Et je retrouve pas les tofs ou je joue avec LA double guitare
Anonyme
521410
NC>
Et il fait des photos pourrites aussi, le fourniiis
Et il fait des photos pourrites aussi, le fourniiis
Anonyme
521410
Escuse moi si je fais pas encore la diférence entre les fournis et les les vrais maîtres... 
pistonpistache
17978
Modérateur·trice thématique
Membre depuis 21 ans
Citation : Prend n'importe quelle video tu verras un mecs qui fait n'importe quoi, avec une guitare à 4 manches, c'est un peu le roi des fournisssss
Anonyme
521410
Anonyme
521410
Si 
Anonyme
521410
Non seulement il a une gratte à 4 manches, mais il mets en plus tout son set de guitares sur scène! 
le King, quoi
le King, quoiFuyuhiko
26198
Vie après AF ?
Membre depuis 21 ans
L'autre jour je suis parti en reportage photo - avec ma douce - dans une contrée sauvage et inexplorée que je suis le seul à connaître. Là-bas, dans ce bois injustement délaissé, j'avais construit étant petiot une cabane en chêne, ingénieusement coiffée d'un toit de pierre taillée de mes mains.
Je voulais que ma douce découvre ce chef-d'oeuvre de l'architecture bretonne post-renaissance. Elle fut émerveillée.
Sa main crispée sur mon bras, elle m'a sussurré à l'oreille "je suis fière d'être avec toi"
Alors que je levai la tête pour suivre la direction des rayons lumineux à travers les branches (après tout je venais faire des photos) ma douce eut l'imprudence de vouloir pénétrer dans la cabane - grave erreur ! - car le système de défense était resté intact malgré les années.
Ma douce avait changé de couleur, fixa mon regard comme pour chercher de l'aide dans mes yeux ébahis. En voyant ce pieu qui traversait sa cuisse, ce pieu que j'avais taillé de mes propres mains, je sentais une certaine fierté monter en moi. Je poussai alors un soupir comblé en regardant tout ce joyau autour de moi ; et tout en secouant ma tête de satisfaction et non sans émotion, je m'attelai à faire le tour du propriétaire en profitant de la luminosité pour photographier tout ce dispositif.
J'ai changé deux fois de carte mémoire : je n'avais tout simplement pas vu le temps passer. Je revenai alors retrouver ma douce qui avait préféré rester allongée. Mais en bon altruiste, j'allais pouvoir lui faire partager cette merveilleuse visite en lui montrant tout en lui commentant mes 6765 clichés en me réjouissant par avance de son régal certain.
Un peu vexé de la voir presque s'endormir au bout de 5000 photos, je remarquai alors qu'elle s'était fait un garot de fortune avec son soutien gorge, et que sa cheville commençait à nécroser. Bon prince , je laissai tomber ma séance photos exceptionnelle dont elle était l'invitée privilégiée pour tenter de retirer le pieu, mais sans succès.
Magnifique. Cette branche de boileau que j'avais taillée avait résisté à l'épreuve du temps. Non, je ne pouvais pas la détruire, elle ne l'avait pas mérité, bien au contraire. Son destin était autre.
20 km plus loin, alors que je m'éloignais de la cabane pour rentrer chercher ma tronçonneuse, je me demandais où j'avais bien lire cet article sur "l'amputation pour les nuls"... je devais faire appel à mon instinct infaillible, me suis-je dit.
Malheureusement, un chasseur était passé entre-temps et eut la mauvaise idée de casser le pieu pour dégager ma douce. Fichtre !
Ce pieu tuméfié de sang coagulé et qui trône à présent sur ma cheminée.
Je voulais que ma douce découvre ce chef-d'oeuvre de l'architecture bretonne post-renaissance. Elle fut émerveillée.
Sa main crispée sur mon bras, elle m'a sussurré à l'oreille "je suis fière d'être avec toi"
Alors que je levai la tête pour suivre la direction des rayons lumineux à travers les branches (après tout je venais faire des photos) ma douce eut l'imprudence de vouloir pénétrer dans la cabane - grave erreur ! - car le système de défense était resté intact malgré les années.
Ma douce avait changé de couleur, fixa mon regard comme pour chercher de l'aide dans mes yeux ébahis. En voyant ce pieu qui traversait sa cuisse, ce pieu que j'avais taillé de mes propres mains, je sentais une certaine fierté monter en moi. Je poussai alors un soupir comblé en regardant tout ce joyau autour de moi ; et tout en secouant ma tête de satisfaction et non sans émotion, je m'attelai à faire le tour du propriétaire en profitant de la luminosité pour photographier tout ce dispositif.
J'ai changé deux fois de carte mémoire : je n'avais tout simplement pas vu le temps passer. Je revenai alors retrouver ma douce qui avait préféré rester allongée. Mais en bon altruiste, j'allais pouvoir lui faire partager cette merveilleuse visite en lui montrant tout en lui commentant mes 6765 clichés en me réjouissant par avance de son régal certain.
Un peu vexé de la voir presque s'endormir au bout de 5000 photos, je remarquai alors qu'elle s'était fait un garot de fortune avec son soutien gorge, et que sa cheville commençait à nécroser. Bon prince
, je laissai tomber ma séance photos exceptionnelle dont elle était l'invitée privilégiée pour tenter de retirer le pieu, mais sans succès.Magnifique. Cette branche de boileau que j'avais taillée avait résisté à l'épreuve du temps. Non, je ne pouvais pas la détruire, elle ne l'avait pas mérité, bien au contraire. Son destin était autre.
20 km plus loin, alors que je m'éloignais de la cabane pour rentrer chercher ma tronçonneuse, je me demandais où j'avais bien lire cet article sur "l'amputation pour les nuls"... je devais faire appel à mon instinct infaillible, me suis-je dit.
Malheureusement, un chasseur était passé entre-temps et eut la mauvaise idée de casser le pieu pour dégager ma douce. Fichtre !
Ce pieu tuméfié de sang coagulé et qui trône à présent sur ma cheminée.
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