Alerte Jean Marc Sylvestre
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Anonyme
Je te laisse l'honneur du baptème.
Laurent Juillet
Laurent Juillet
des amis en train de ranger ma cave....
ensuite un p'tit apéro et scchhhtouunnngg.....
Ah! Ah! Ah! je suis méchant......mais riche!
Laurent.
Laurent Juillet
X 1 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000,00
Moi aussi j'ai compris le sens de la vie!
Laurent.
vandyck
PS : pourrais-tu editer ton post avec tous les papiers de 500 : ca fait une fenetre large comme 10 fois mon ecrans, c'est un peu penible. Merci bien.
EDIT : merci.
Stx4Sound
John Maynard Keynes, l’économiste sans doute le plus célèbre du siècle qui s’achève, est catégorique, les "idées des économistes et des philosophes politiques, qu’elles soient justes ou fausses, sont plus puissantes qu’on ne le croit généralement. A vrai dire, il n’y a pas grand chose d’autre qui gouverne le monde ", et, sans le savoir, les hommes politiques, ajoute-t-il, sont souvent prisonniers des conceptions d’un "économiste défunt".
Doze fait une Pauze
j ai pris une photo sympa mais on dit de lui que c etait une vraie langue de pute contre ses adversaires
.: Odon Quelconque :.
Citation : donc le consommateur, donc nous quoi
Ca existe ça, des gens qui ne sont que des consommateurs?
Si les entrepreneurs, les dirigeants, les comptables qui nous dirigent, les prédateurs et autres "créateurs de richesse" (hum) ne consomment pas, ça sert à quoi qu'ils gagnent tant d'argent alors?
Poumtschak¹, concurremment:
salarié, consommateur, assujetti, internaute, automobiliste, fonctionnaire, usager, client, agent économique, patient, etc...
« What is full of redundancy or formula is predictably boring. What is free of all structure or discipline is randomly boring. In between lies art. » (Wendy Carlos)
2d
Citation : j'essayais de leur faire comprendre que derriere tout ca il y avait des charges, des salaires, des impots
dans le thread sur la pétition aux majors
Zero
Citation : Jean-Pierre Gaillard, la voix de la Bourse, part à la retraite
PARIS (AFP) - Sa voix si familière aux Français va disparaître des ondes fin juin: Jean-Pierre Gaillard, chroniqueur-vedette du Palais Brongniart, qui égrène les cours du CAC 40 et relate les humeurs du marché au fil de 18 émissions radio quotidiennes et de huit télévisées, part à la retraite.
"Je vais enfin pouvoir poser pied à terre, ignorer le réveil-matin qui, tous les jours, sonne à 6 heures, marcher dans la forêt, consacrer du temps à Joëlle, ma femme, et à mes six petits-enfants", explique-t-il à l'AFP.
"Je garderai toutefois un oeil sur la Bourse. Je vais sans doute assurer une chronique hebdomadaire à la télévision. On ne peut pas dételer du jour au lendemain après plus de 40 ans de vie menée à un train d'enfer", ajoute le journaliste, oeil bleu, tempes argentées et fossette rieuse.
Depuis une vingtaine d'années, l'envoyé spécial permanent à la Bourse de France Inter et France Info, et de LCI, a accéléré l'allure au rythme de la dérégulation et de l'informatisation des marchés.
"Dès que j'ouvre l'oeil, je lis sur les écrans d'agence de presse financière les informations de la nuit, avant de filer à mon bureau et mes studios installés dans le Palais de la Bourse. Débute alors une journée de travail d'une douzaine d'heures, ponctuée de 18 émissions radio et de huit chroniques télévisées quotidiennes", raconte M. Gaillard.
Il s'empare du micro à 08H27 et le repose à 18H30, tout en veillant à la bonne marche de la "Cote Bleue" léguée par son père, également journaliste financier. Cette agence fournit à une soixantaine de journaux les pages "Bourse".
"Pourtant, malgré cette course contre la montre, je n'ai pas réduit mon embonpoint", se désole M. Gaillard, qui cache ses kilos sous un costume bleu marine agrémenté de pochettes de couleur. "Jaune si le marché est en baisse, bleue si les cours grimpent", confie-t-il.
Jean-Pierre Gaillard revendique son étiquette de journaliste "grand public". "Pour deux médecins, les propos qu'ils échangent sont évidents, pour le commun des mortels, ils sont incompréhensibles. Il en va de même pour les affaires financières", relève le chroniqueur qui réalise chaque année un millier d'interviews de patrons de sociétés et d'analystes financiers.
En fait, Monsieur Bourse vit sous une double identité. L'état-civil ne connaît que Bernard Tixier, fils de Jean Tixier.
En 1965, pigiste boursier à Europe 1, après un apprentissage de trois ans à la Vie Française, il doit remplacer au pied levé un collègue de Paris-Inter, la station concurrente.
"Je ne voulais pas. Mon confrère m'a suggéré de mettre un mouchoir sur le micro pour déguiser ma voix et prendre un pseudonyme. Jean-Pierre c'est mon second prénom et Gaillard le nom de famille maternel.
"La carrière de Jean-Pierre Gaillard était lancée et ma femme a la chance d'avoir deux hommes à la maison", raconte-t-il, hilare.
Après avoir inauguré en 1987 "les points Bourse" de France-Info, il devient neuf ans plus tard le "Monsieur Bourse" de LCI. Une carrière couronnée à la fin des années 90 par une marionnette aux "Guignols de l'info" de Canal+.
"C'est tout de même flatteur d'incarner aux yeux des téléspectateurs un pan de la finance, même si les propos que l'on me prête ne me font pas toujours plaisir", déclare le futur retraité, passionné de numismatique.
zéro degré | melatonine | MWTE
Chuck Van Damme
Citation : Jean-Pierre Gaillard, la voix de la Bourse, part à la retraite
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