Jamais vu les choses comme ça. Je vois plus un croisement entre un côté destroy (genre Cendrillon qui se pète la gueule après un grosse cuite à la vodka) et la méchanceté de l'enfant qui torture ses poupées, démembre ses idoles.
Mais avec du recul, je comprends l'évocation sexualisée. Mais l'aspect malsain fait en un sens parti de la démarche. Et comme tout ce qui est malsain, c'est aussi sujet à contreverse...