Prouvez votre connerie !
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2d
6063
Je poste, donc je suis
Membre depuis 21 ans
Sujet de la discussion Posté le 16/09/2003 à 14:45:09Prouvez votre connerie !
C'est un signe d'intelligence à ce qu'il paraît...
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- 2
Mini Ours
1847
AFicionado·a
Membre depuis 22 ans
3 Posté le 16/09/2003 à 14:50:44
Arghh le jeu de l'ABC... trop hardcore pour moi
Helios999
1275
AFicionado·a
Membre depuis 22 ans
4 Posté le 16/09/2003 à 14:51:00
Je suis trop fort , j'en ai pas besoin !
2d
6063
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Membre depuis 21 ans
5 Posté le 16/09/2003 à 14:51:49
Citation : Arghh le jeu de l'ABC
Kézako ?
Da Real Flexx
7681
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Membre depuis 22 ans
6 Posté le 16/09/2003 à 15:03:59
I DID NOT MOVE !
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Laurent Juillet
5783
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Membre depuis 21 ans
7 Posté le 16/09/2003 à 15:04:14
La théorie des supercordes (I)
Einstein avait raison de croire qu’une symétrie sous-tendait toutes les forces. Mais dans sa quête d'une théorie unifiée des champs, ainsi que l’on dit plusieurs physiciens, sa tactique n’était pas la bonne. Il essaya d’unir la force de la gravitation avec l’électromagnétisme (la lumière) plutôt qu’avec l'interaction forte. Il est vrai qu’à son époque l’électromagnétisme faisait l’objet d’intenses recherches, alors que la toute jeune physique quantique demeurait très mystérieuse.
Lui-même n’appréciait guère ses conséquences, quand il disait en 1954 : “Je dois ressembler à une autruche, cet oiseau du désert qui sans cesse se cache la tête dans le sable relativiste pour éviter de faire face aux méchants quanta”[1].
Si la symétrie existe en relativité - rappelez-vous l'équation de Dirac par exemple - on peut également dire que les quantités d'espace, de temps, d’impulsion ou de position sont toutes relatives et parfois même confondues, donc inobservables; la symétrie est totale. Inversement dès la brisure de symétrie, l'inobservable devient visible. La théorie de la relativité devient alors un ensemble de règles stipulant qu'elles doivent être les conditions initiales afin d'obtenir ces symétries. Elle devient synonyme de lois de conservations.
Une fois encore la théorie semble précéder les événements. Si nous pouvions revenir à l'époque du Big Bang, l'écho de la Création nous dirait, non pas "Fiat Lux" mais comme le dit le physicien Heinz Pagels[2], directeur exécutif de l’Académie des Sciences de New York, "Que la symétrie soit !"
Laurent.
Einstein avait raison de croire qu’une symétrie sous-tendait toutes les forces. Mais dans sa quête d'une théorie unifiée des champs, ainsi que l’on dit plusieurs physiciens, sa tactique n’était pas la bonne. Il essaya d’unir la force de la gravitation avec l’électromagnétisme (la lumière) plutôt qu’avec l'interaction forte. Il est vrai qu’à son époque l’électromagnétisme faisait l’objet d’intenses recherches, alors que la toute jeune physique quantique demeurait très mystérieuse.
Lui-même n’appréciait guère ses conséquences, quand il disait en 1954 : “Je dois ressembler à une autruche, cet oiseau du désert qui sans cesse se cache la tête dans le sable relativiste pour éviter de faire face aux méchants quanta”[1].
Si la symétrie existe en relativité - rappelez-vous l'équation de Dirac par exemple - on peut également dire que les quantités d'espace, de temps, d’impulsion ou de position sont toutes relatives et parfois même confondues, donc inobservables; la symétrie est totale. Inversement dès la brisure de symétrie, l'inobservable devient visible. La théorie de la relativité devient alors un ensemble de règles stipulant qu'elles doivent être les conditions initiales afin d'obtenir ces symétries. Elle devient synonyme de lois de conservations.
Une fois encore la théorie semble précéder les événements. Si nous pouvions revenir à l'époque du Big Bang, l'écho de la Création nous dirait, non pas "Fiat Lux" mais comme le dit le physicien Heinz Pagels[2], directeur exécutif de l’Académie des Sciences de New York, "Que la symétrie soit !"
Laurent.
Laurent Juillet
5783
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Membre depuis 21 ans
8 Posté le 16/09/2003 à 15:09:01
Une théorie alternative à la physique des particules
L'ordre implicite de David Bohm (I)
Ancien professeur du Birkbeck College de l'Université de Londres, David Bohm fut l'un des plus éminents physiciens théoriciens de notre temps et comptait à son actif plusieurs lois, dont la "diffusion Bohm" (plasma) et l'effet "Bohm-Ahranov"[1] (EDQ). Bien qu'il ait travaillé sur la physique quantique et relativiste, s'intéressant de près aux propriétés de la matière, il s'est surtout passionné par les implications philosophiques de ces théories. Son oeuvre suscite un grand intérêt, tant par les solutions qu'il proposa à propos du statut de la réalité que par les polémiques qu'il souleva dans son non-conformisme à vouloir redéfinir notre façon de penser.
Physicien et philosophe, David Bohm avait trouvé le point d'articulation d'une nouvelle compréhension de l'univers : le holomouvement ou ordre implicite, une théorie alternative à celle des particules élémentaires que nous venons d’étudier. Il nous quitta en 1992.
Auteur d'une bonne dizaine d'ouvrages de vulgarisation, David Bohm parle de "plénitude" de l'univers comme s'il s'agissait d'une oeuvre traitant de la totalité des choses. Ce terme a quasiment une inspiration métaphysique car son idée est incommensurable. Pourtant, après réflexions, sa théorie semble pouvoir modéliser l'univers, mais elle reste controversée. Dans son livre "La Plénitude de l'univers", David Bohm[2] précise qu'" il désire aller vivement contre le courant général prédominant". Et de fait, il se place depuis plus de 30 ans en porte-à-faux des réflexions scientifiques dominantes qui dit-il, "sont divisées de façon inhérentes, déconnexes et "cassées" en d'encore plus petites parties constitutives. [...] Chaque partie est considérée comme étant essentiellement indépendante et existant en elle-même. [...] L'homme ne peut pas sérieusement penser à l'humanité comme à la réalité de base dont les droits sont primordiaux. Même s'il essaie [...] il tend à considérer l'humanité comme séparée de la nature, etc. [...] Je propose que la façon générale que l'homme a de penser à la totalité, " c'est-à-dire sa vue générale du monde, est cruciale pour l'ordre d'ensemble de l'esprit humain lui-même.
Laurent.
L'ordre implicite de David Bohm (I)
Ancien professeur du Birkbeck College de l'Université de Londres, David Bohm fut l'un des plus éminents physiciens théoriciens de notre temps et comptait à son actif plusieurs lois, dont la "diffusion Bohm" (plasma) et l'effet "Bohm-Ahranov"[1] (EDQ). Bien qu'il ait travaillé sur la physique quantique et relativiste, s'intéressant de près aux propriétés de la matière, il s'est surtout passionné par les implications philosophiques de ces théories. Son oeuvre suscite un grand intérêt, tant par les solutions qu'il proposa à propos du statut de la réalité que par les polémiques qu'il souleva dans son non-conformisme à vouloir redéfinir notre façon de penser.
Physicien et philosophe, David Bohm avait trouvé le point d'articulation d'une nouvelle compréhension de l'univers : le holomouvement ou ordre implicite, une théorie alternative à celle des particules élémentaires que nous venons d’étudier. Il nous quitta en 1992.
Auteur d'une bonne dizaine d'ouvrages de vulgarisation, David Bohm parle de "plénitude" de l'univers comme s'il s'agissait d'une oeuvre traitant de la totalité des choses. Ce terme a quasiment une inspiration métaphysique car son idée est incommensurable. Pourtant, après réflexions, sa théorie semble pouvoir modéliser l'univers, mais elle reste controversée. Dans son livre "La Plénitude de l'univers", David Bohm[2] précise qu'" il désire aller vivement contre le courant général prédominant". Et de fait, il se place depuis plus de 30 ans en porte-à-faux des réflexions scientifiques dominantes qui dit-il, "sont divisées de façon inhérentes, déconnexes et "cassées" en d'encore plus petites parties constitutives. [...] Chaque partie est considérée comme étant essentiellement indépendante et existant en elle-même. [...] L'homme ne peut pas sérieusement penser à l'humanité comme à la réalité de base dont les droits sont primordiaux. Même s'il essaie [...] il tend à considérer l'humanité comme séparée de la nature, etc. [...] Je propose que la façon générale que l'homme a de penser à la totalité, " c'est-à-dire sa vue générale du monde, est cruciale pour l'ordre d'ensemble de l'esprit humain lui-même.
Laurent.
Mini Ours
1847
AFicionado·a
Membre depuis 22 ans
9 Posté le 16/09/2003 à 15:10:41
Citation : Arghh le jeu de l'ABC
Kézako ?
Corbier a recu un saut d'eau lors du jeu de l'ABC alors que ses collegues Jacky, et son collegue Patrick Simpson Johns (prononcer Pratik sixsponges Jaune ou Six balles de Ping Pong jaunes, comme on veut) sont secs comme des saucissions...
... bref, j'ai vraiment pas envie d'aller plus loin dans l'explication...
2d
6063
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Membre depuis 21 ans
10 Posté le 16/09/2003 à 15:13:26
Haaaa oui ca me revient
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