Leçon de Mathématiques contributive : P3x - 231, l'équation impossible?

De l'évolution d'un théorème, ou comment mettre les points sur les X

En fait résoudre l'équation semble impossible ... tout au plus définir une asymptote.
Si l'on admet que B est la constante bassiste, il ne faut pas oublier B' qui est la constante basses. Or on constate que:
- B est fixe et proche de 1 (l'ensemble P3x-231 étant assimilé à une unité homogène)
- B' est fluctant mais à tendance croissante, avec comme facteurs clés l'équation de Lakland-Sandberg qui définit les phases d'attraction, et l'équation de Banquier-Ahène-Péheux (ou BAP) comme facteur très restrictif.

D'autre part, P le nombre de préamplis a subit une forte croissance il y a deux ans, mais est maintenant en phase de décroissance. Fixé actuellement à 1, les conjectures de la grande équation de GAS, sur laquelle nous allons revenir, laissent la possibilité d'une croissance dans un nombre plus ou moins restreint, mais toujours entier.
L'existence d'une fraction de P agissant de façon autonome a été démontré uniquement dans le cas de la constante de Pedhal (elle aussi soumise à l'équation de GAS), à laquelle l'entité P3x est parfois soumise, mais sans excès. Nous considérerons donc en premier approche que le facteur Pedhal reste actuellement fixe, sous réserve de recherches plus approfondies.

Notons que dans le cas du polynôme P3x, la constante WAF, de comportement similaire à BAP, voire parfois beaucoup plus restrictive, ne semble pas se manifester.

Ainsi le polynôme P3x-231 semble essentiellement réduit à l'influence majeure de la grande équation de GAS et borné uniquement par les limites de l'équation de BAP. Le calcul de l'assymptote donne donc :



┌- ¿

| GAS x ( {Lakland-Sandberg} + P (1;x) )

| P3x-231 = ---------------------------------------

| | Banquier-Ahène-Péheux |

|

-┘