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Bien Manger

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Sujet de la discussion Bien Manger
LE PETIT POIS http://ad.doctissimo.fr/5/www.doctissimo.fr/guide-conso/nutrition/exclu/L39/1665141336/Middle/OasDefault/Middle-blanc/Middle-blanc.html/58515244466b726c6477304143364c64?_RM_EMPTY_&


Catégorie Légume


Mieux connaître Les variétés cultivées sont très nombreuses. On les distingue en deux catégories : petits pois lisses ou ridés (différenciation qui ne se fait que sur le grain sec). Ces derniers, plus pauvres en amidon, sont particulièrement appréciés pour leur saveur sucrée. Ce sont également eux qui sont cultivés pour le marché du frais.
Le pois gourmand n'est pas un petit pois cueilli très jeune. S'il appartient à la même espèce que le pois potager, il en diffère par l'absence, dans sa gousse, d'une membrane rigide, le parchemin qui rend celle du petit pois inconsommable. Voici pourquoi on le nomme aussi pois sans parchemin ou pois mangetout. Ils sont bien connus dans les pays anglo-saxons (dès le 16ème siècle) où on les appelle snaps ou sugar snaps. Bien qu'importés toute l'année, les pois gourmands représentent, pour les provençaux qui les cultivent, un symbole de printemps.

Connaissances nutritionnelles Consommé écossé, ou avec sa gousse - en "mange-tout" - le petit pois est par excellence le légume frais du printemps. Apprécié pour la diversité qu'il apporte dans les menus, il l'est aussi pour ses qualités nutritionnelles. Il fournit en effet de nombreux éléments utiles : des fibres abondantes (6 g aux 100 g), une quantité élevée de protéines végétales (6 g) capables de complémenter les protéines des céréales, une très grande variété de vitamines (en particulier beaucoup de vitamines du groupe B, 32 mg de vitamine C, des quantités non négligeables de provitamine A et de vitamine E).
Le petit pois, qui fournit donc tout ce qu'on est en droit d'attendre d'un légume frais, présente l'originalité d'être plus riche en glucides (12,3 g aux 100 g en moyenne), et d'apporter plus d'énergie (80 kcalories aux 100 g) que la plupart des végétaux frais.
A noter que le petit pois permet de satisfaire facilement l'appétit : une portion moyenne de 150 g net suffit largement pour un convive.
L'évolution de la composition :
La composition du petit pois évolue très rapidement dans les jours qui précèdent la récolte. Ainsi, une étude montre qu'en 4 jours seulement, la teneur en amidon passe de 7,2 à
12 %, et celle de l'eau de 78 à 73 %.
Le petit pois "mange-tout" (que l'on consomme avec sa gousse) est particulièrement riche en fibres cellulosiques. Il est récolté jeune, et de ce fait, sa teneur en amidon reste modéré.
L'influence de la cuisson :
Lors de la cuisson, on observe une hydratation et une gélatinisation de l'amidon, une prise en gel des pectines, tandis que les fibres se trouvent attendries. La teneur en eau augmente, pour atteindre à peu près 80 %, tandis que le taux de glucides diminue, et passe de 12 % à environ 10 %.
Le petit pois très jeune peut éventuellement être croqué cru, mais la cuisson est nécessaire dès que le petit pois grossit, car il se charge en amidon peu digeste à l'état cru.
La tolérance du petit pois :
Le petit pois est d'autant mieux toléré par les intestins sensibles qu'il est choisi très jeune et bien tendre, et qu'on le consomme le plus tôt possible après la récolte. Il faut toujours s'assurer qu'il n'a subi aucun début de fermentation durant le stockage.

Comment choisir Choisissez des cosses de petits pois et de pois gourmands bien fraîches, craquantes et d'un vert brillant.
Comptez environ 500 g de cosses pour obtenir 175 g de petits pois et 100 g de ce légume par personne (soit 1,5 kg pour 4 à 5 convives).

Comment Conserver
Pois gourmands et surtout petits pois devraient être dégustés le jour de l'achat sous peine de voir s'amenuiser toute leur saveur (les sucres se transformant en amidon dès la récolte effectuée). Si une consommation rapide n'est pas possible, stockez les cosses dans le bac à légumes du réfrigérateur, 48 heures maximum.

Comment préparer Contraignant l'écossage des petits pois ? Très facile (la cosse entrouverte, un coup de pouce suffit à déloger les grains), il devient souvent un moment très convivial.
Les pois gourmands sont lavés puis égouttés. Il suffit de pincer les deux extrémités des cosses avant de les faire cuire.

Comment Cuire
Les petits pois peuvent connaître différents types de cuisson :
- à l'anglaise : cuisez les pois 15 min à la vapeur (ou 20-25 min dans de l'eau bouillante), égouttez-les. Rafraîchissez-les sous l'eau froide avant de les égoutter à nouveau ; poêlez les petits pois (à sec, pour faire évaporer l'eau), assaisonnez-les (éventuellement ajoutez un peu de sucre) puis servez avec du beurre.
- Braisage : faites revenir, 30 min environ, les petits pois crus avec un peu de beurre et de l'oignon haché. Arrosez avec un peu d'eau si nécessaire et ajoutez 1 morceau de sucre. Avant de servir, nappez de crème fraîche (et ajoutez des petits lardons et de la laitue braisée, si vous souhaitez faire une préparation "à la paysanne")
Les pois gourmands cuisent une dizaine de minutes, à la vapeur.

Trucs et astuces Pour confectionner une salade, cuisez vos pois gourmands et petits pois avec quelques feuilles de menthe qui sublimeront leur saveur.

Suggestions d'utilisation Festival de légumes primeurs : la jardinière
Faites suer, 10 min., dans du beurre (mêlé d'huile) 20 petits oignons blancs et 250 g de carottes primeur coupées en 4 dans le sens de la longueur. Ajoutez 1 laitue coupée en 4, puis, 3 min. plus tard, 500 g de petits pois et 250 g de dés de navets primeurs, salez et sucrez. Ajoutez 1 dl d'eau et laissez mijoter 30 min. Les légumes doivent être cuits mais rester croquants.
En consommés
saveurs marines : préparez un fumet de crustacés en faisant revenir, avec 2 échalotes, les têtes et les pattes de 20 crevettes roses, en les flambant avec du cognac puis en les mouillant avec 75 cl d'eau. Ebouillantez, 5 min., 1 kg de petits pois, égouttez-les puis mixez les avec le fumet. Servir avec les queues de crevettes juste poêlées.
potage printanier : coupez en fines lanières 3 blancs de poireau, 1 romaine (ou 1 laitue), 2 pieds de céleri branche et ajoutez-les, avec 500 g de petits pois écossés à 2 l de bouillon de boeuf (ou de poulet). Rectifiez l'assaisonnement et laissez cuire 10 à 15 min. Juste avant de servir, ramener la soupe à ébullition. Dans un bol, fouettez 6 jaunes d'oeufs et ajoutez, petit à petit, quelques louches de soupe. Hors du feu, ajoutez le mélange d'oeufs au potage et servez avec des croûtons dorés.
En sauce
Jetez 200 g de petits pois dans 1l d'eau bouillante salée et laissez cuire 5-10 min avant de les rafraîchir sous l'eau froide. Portez à ébullition un mélange de 25 cl de crème fleurette, une bonne pincée de sucre et de 5 g de curry. Ajoutez les petits pois et laissez frémir 1 min. avant de mixer le tout avec 30 g de beurre. Assaisonnez et servez avec de la volaille ou des filets de poisson.
Des pois gourmands
en salade : mangetouts cuits à la vapeur, avec des lamelles de poivrons rouges et nappés d'une sauce à l'orange (jus et zeste de 2 oranges réduit puis fouetté avec 80 g de beurre en dés) ; avec du haddock et une vinaigrette citronnée...
iodés : pois gourmands cuits à la vapeur et coquillages (moules, palourdes...) couverts de pommade d'ail et de persil (mélangés à du beurre), enfournés 5 min à 180°C.

Histoire Dès le VIIème millénaire avant notre ère, on trouve des traces de l'existence du pois dans le sud-ouest de l'Asie. Mais d'un pois sans doute plus proche du pois chiche que de nos actuels petits pois ! Depuis le début de notre ère, le pois (toujours destiné à être consommé sous forme séchée) sera cultivé dans tout le bassin méditerranéen. Le "pois vert", ou le "petit pois", tel que nous le connaissons, n'apparaîtra en France qu'au XVIème siècle, en provenance d'Italie. C'est d'abord à la Cour qu'il fera les délices des "Grands". Louis XIV en était très friand et exigera de son jardinier, La Quintinie, des productions de petits pois "en primeur" dans les serres de Versailles.
La culture du petit pois, d'abord cantonnée au sud de la France, se répandra dans les potagers familiaux de tout le pays. Dès le XIXème siècle, la production se développera dans la région parisienne (Clamart était réputée pour la qualité de ses petits pois), puis ensuite dans l'ouest et le nord du pays.


Source
www.10parjour.net

G² aka Gérard Germain, Gaspard Groseille, Gaston Garnier, Günther Gestapo

Vends ampli sono haute puissance ici.

 

 

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J'ai pas lu, mais ça a l'air tres interessant.
Ce post était tres certainement une mauvaise blague
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J'ai lu, mais ça n'a pas l'air intéressant.
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GG, tu nous posterais pas des chouettes photos de petits pois ici, prises avec ton nouveau joujou ?

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Seth gr, si tu as lu, alors tu sais si c'est interessant ou non. Ta phrase est un non sens total, surtout quand bien manger, c'est important.
Ce post était tres certainement une mauvaise blague
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Demain, les fayots. mrgreen
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GG, je me permet:




Le Topinambour


Le topinambour (Helianthus tuberosus L.), aussi appelé artichaut de Jérusalem, truffe du Canada, poire de terre ou soleil vivace, est une plante vivace de la famille des Astéracées, cultivée comme légume pour ses tubercules riches en inuline.

C'est une espèce voisine du tournesol (Helianthus annuus) qui appartient au même genre.

Le nom de « topinambour » résulte de la francisation du nom d'une tribu du Brésil, les Topinamboux (Tupinambas), dont plusieurs membres furent amenés comme curiosité à Paris en 1613, ce qui conduisit Carl von Linné à croire à l'origine brésilienne de la plante, introduite en France à peu près à la même époque.

Sommaire[masquer] 1 Description 2 Origine et distribution 3 Culture 4 Utilisation 5 Références 6 Liens externes // Description [modifier] Le topinambour peut atteindre jusqu'à 2,5 m de haut.

C'est une plante vivace très rustique, résistante au froid, qui peut devenir envahissante à cause de ses rhizomes tubérisés. Elle peut atteindre jusqu'à 2,5 m de haut, avec de fortes tiges, très robustes. Son cycle est annuel.

Ses feuilles, alternes, sont de forme ovale, à pointe aiguë, rudes au toucher.

Ses inflorescences sont des capitules entièrement jaunes groupés en panicule terminal, apparaissant de septembre à octobre. Les variétés cultivées ne fleurissent généralement pas.

Ses tubercules, qui sont des rhizomes tubérisés, ont une forme mamelonnée, très irrégulière, arrondie ou ovale, toujours plus amincie à la base. Sa couleur varie du jaune au rouge.

La substance de réserve n'est pas l'amidon comme pour la pomme de terre, mais un glucide qui en est proche: l'inuline, qui est un polymère du fructose. Ce glucide n'influence pas la glycémie des personnes diabétiques, contrairement à l'amidon.

Origine et distribution [modifier]

Cette espèce est originaire d'Amérique du Nord (États-Unis et Canada). Le topinambour fut observé pour la première fois par Champlain au Canada. La plante était cultivée par les tribus amérindiennes.

Elle fut introduite en Europe au début du XVIIe siècle. Elle s'est répandue ensuite par la culture dans les zones tempérées.

Sa consommation en tant que légume de rationnement lors de la Seconde Guerre mondiale a laissé dans certains pays d'Europe des mauvais souvenirs. En effet le topinambour (et le rutabaga) a vu sa consommation augmenter car il n'était pas, comme la pomme de terre, réquisitionné[réf. nécessaire] au titre des indemnités de guerre versées à l'Allemagne.

Culture [modifier]

C'est une plante rustique, facile à cultiver, même dans les sols les plus pauvres. Elle n'est pas sensible aux maladies, ni aux prédateurs tels que lapins ou chevreuils[1] mais les limaces peuvent décimer les jeunes plants et les tubercules. Les topinambours ne craignent pas le froid tant qu'ils sont en terre.

La multiplication se fait par plantation de tubercules en lignes, en février-mars (selon les régions). Il convient de butter les plants dès qu'ils ont atteint un certain développement.

La récolte peut se faire environ sept mois après la plantation, à partir de septembre et jusqu'en mars (selon les régions) en fonction des besoins. En effet, les tubercules déterrés ne se conservent pas et le tubercule arraché craint le gel. C'est généralement vers la mi-octobre que les producteurs commencent à avoir un rendement convenable, mais plus l'automne avance plus le goût du topinambour s'améliore.

Si on souhaite arrêter la culture, il est important de bien récolter tous les tubercules, car même un petit ou simplement un fragment peut repousser l'année suivante.

Utilisation [modifier] Tubercules de topinambour

Les tubercules se consomment cuits de diverses manières : en salade, chauds en accompagnement, frits, en purée, sautés au beurre, etc. On peut aussi les consommer crus, râpés ou coupés en lamelles, comme des crudités dans de la vinaigrette. Leur saveur, considérée par certains comme très agréable se rapproche de celle des fonds d'artichaut ou des salsifis.

Il contient de nombreuses vitamines (notamment A, C et B3) et des sels minéraux (potassium), et des glucides essentiellement sous forme d'inuline, ce qui en fait un aliment assez pauvre en calories. On recommande son usage aux personnes diabétiques. L'inuline n'étant pas assimilée par l'organisme, elle peut provoquer des flatulences intensifiées par la cuisson à l'eau (sauf si on ajoute à l'eau du bicarbonate de soude ou une branche de céleri).

En alimentation animale, le tubercule peut être donné aux bovins, aux porcins et aux lapins. La plante entière peut faire office de fourrage. Attention cependant, le topinambour étant une plante hyper-énergétique, il faut en éviter l'excès dans les apports aux animaux : le risque de leur provoquer de graves nuisances, peut-être mortelles, est important.

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LA COURGE ET LE POTIRON

 

 

Les espèces

On regroupe sous le nom de courge et de potiron un certain nombre d'espèces du genre cucurbita (famille des cucurbitacés).
Elles sont originaires d'Amérique centrale, du Mexique et d'Amérique du Sud.

Les plantes de cette famille donnent des fruits de tailles, de formes, de couleurs et de poids très différents.
L'écorce est généralement dure, lisse, côtelée, la chair ferme contenant de nombreuses graines.

Les courges et potirons de l'espèce curcubita se répartissent en trois espèces principales :
Curcubita moschata : courge musquée
Curcubita pepo : courgette, pâtisson, courge spaghetti
Curcubita maxima : potiron, giraumon, potimarron


Production

Les courges diverses sont disponibles sur le marché entre septembre et mars avec un pic de production en automne.


Comment les choisir

A l'achat, le produit doit être sans blessures, propre, sans trace de terre.


Comment les conserver

Les courges et les potirons se conservent très bien à température ambiante dans un endroit frais et sec pendant plusieurs semaines. En revanche, s'ils sont achetés en tranche, ils doivent être conservés au réfrigérateur dans le bac à légumes.


Comment les préparer

Les courges et potirons se consomment cuits, en soupe, en légume sauté, en purée, en gratin, en soufflé, en dessert.
Si la préparation culinaire l' exige, coupez d'abord le fruit en morceaux. Les courges ont une écorce souvent coriace et sont difficiles à trancher : faites-les cuire avant de les couper et de les épépiner.


Quelques suggestions

La soupe au potiron est un classique. Pour créer la surprise, creuser le légume avec beaucoup de précaution et utiliser le comme soupière.
En gratin : écraser le potiron en purée, mélanger avec des oeufs, relever de noix de muscade et gratiner au fromage
A la poêle : couper un pâtisson en dés, faites le sauter à l'huile d'olive avec des tomates et de l'ail.


Valeur nutritionnelle

Les courges ont en commun une faible teneur énergétique (15 à 20 Kcal pour 100 g).
Les espèces les plus colorées sont riches en provitamine A ou carotène. C'est le cas du potiron qui lui doit sa belle couleur orange. Ce pigment jaune orangé est en effet constitué à plus de 80% en cet élément dont les propriétés anti-oxydantes permettent de réduire les altérations des cellules dans l'organisme.
Toutes les courges sont riches en fibres. Leur utilisation culinaire en soupe ou en purée leur assure une meilleure tolérance digestive car elles sont broyées.



Composition pour 100 g

 
pâtisson
potiron
Protéines
1,6 g
0,8 g
Glucides
3 g
4,1 g
Lipides
0, 5 g
0,1 g
Fibres
1 g
1,3 g
Apport énergétique
22 kcal
20 kcal

G² aka Gérard Germain, Gaspard Groseille, Gaston Garnier, Günther Gestapo

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[ Dernière édition du message le 27/10/2009 à 13:05:20 ]

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flagounet

Quand mon verre est vide, j'le plains. Quand mon verre est plein,j'le vide.

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Pas de recette siyouplé, sur ce sujet

Intéressant cet article sur les topinambours.

G² aka Gérard Germain, Gaspard Groseille, Gaston Garnier, Günther Gestapo

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