Le Pub, dérive vers un forum de beaufs ?
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Number-6
26460
Vie après AF ?
Membre depuis 22 ans
Sujet de la discussion Posté le 22/02/2004 à 23:36:46Le Pub, dérive vers un forum de beaufs ?
Une sorte d'impression aux vues des participants et des topics...
Wilko-
7552
Je poste, donc je suis
Membre depuis 21 ans
341 Posté le 30/06/2004 à 22:40:21
Les portougèches ont gagné leur match : cha klakchonne chez moiche.
Coka
1205
AFicionado·a
Membre depuis 21 ans
342 Posté le 01/07/2004 à 15:06:12
À 16h00,on va faire la petanque
L'art est la seule chose inacessible au mensoge.J-M
Wilko-
7552
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Membre depuis 21 ans
343 Posté le 01/07/2004 à 15:18:14
Mouaip avec un ptit jaune bien tassé
Wilko-
7552
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Membre depuis 21 ans
344 Posté le 03/07/2004 à 09:44:31
Lebenn
7160
Je poste, donc je suis
Membre depuis 21 ans
346 Posté le 05/07/2004 à 11:20:21
Ben moi j'aime bien la pétanque et le ricard...
Wilko-
7552
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Membre depuis 21 ans
347 Posté le 05/07/2004 à 14:03:03
Tiens en voilà une en flash :
http://www.absoluflash.com/jeux-sport/jeux-gratuit.shtml
http://www.absoluflash.com/jeux-sport/jeux-gratuit.shtml
Wilko-
7552
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Membre depuis 21 ans
348 Posté le 15/07/2004 à 14:34:56
26 ans après la mort d'Ulrike Meinhof, son cerveau refait surface
par Yann OLLIVIER
BERLIN, 13 nov (AFP) - Vingt-six ans après l'enterrement à Berlin de la théoricienne de la Fraction Armée rouge (RAF) Ulrike Meinhof, des médecins réexaminent le destin de la journaliste devenue terroriste à travers son cerveau... qui s'avère avoir été conservé dans du formol toutes ces années.
C'est l'une des deux filles jumelles d'Ulrike Meinhof (1934-1976), Bettina Roehl, qui a révélé en fin de semaine dernière que le cerveau de sa mère n'était pas dans sa tombe à Berlin-Mariendorf, mais dans un bocal à l'Institut de psychiatrie, de psychothérapie et de médecine somatique de Magdebourg (est).
Révélation confirmée mardi par le directeur de l'Institut, le professeur Bernhard Bogerts, qui a reconnu lors d'une conférence de presse posséder l'organe à des fins d'examen depuis 1997, sur demande d'un neurologue de Tuebingen (sud-ouest), Juergen Pfeiffer.
Pfeiffer, âgé de 80 ans, était en possession du cerveau de la terroriste depuis qu'il l'avait examiné en 1976, pour le compte du Parquet de Stuttgart. Meinhof venait alors d'être retrouvée pendue dans sa cellule de la prison de Stammheim.
Trouver l'origine du mal dans un cerveau, un vieux rêve de la criminologie: Bogerts, qui a longuement étudié celui d'un forcené coupable du meurtre de toute sa famille en 1913, affirme dans le cas d'Ulrike Meinhof avoir décelé des "modifications cérébrales pathologiques" qui pourraient expliquer son destin.
En partie tout au moins. Car des éléments biographiques plus complexes ont certainement aussi joué un rôle dans son évolution vers le terrorisme, a souligné Bogerts.
Des conclusions similaires à celles faites en 1976 par Juergen Pfeiffer. Son rapport évoquait des dommages cérébraux "dont l'ampleur et la localisation auraient pu justifier une mise en question de la responsabilité" de l'accusée devant la justice.
Tout remonterait à une opération ratée sur une tumeur cérébrale en 1962. Meinhof est alors une éditorialiste en vogue à la revue de gauche Konkret, mariée à son fondateur, régulièrement invitée à la radio et à la télévision.
En 1968, elle largue les amarres familiales et professionnelles avant de disparaître en 1970 dans l'illégalité, aux côtés d'Andreas Baader et de Gudrun Ensslin. La RAF survivra à leurs arrestations en 1972: elle ne s'autodissoudra qu'en 1998, avec un bilan de 34 morts.
Au cours de ses recherches, le professeur Pfeiffer récolte notamment le témoignage de la femme qui a élevé Ulrike Meinhof, Renate Riemeck. Celle-ci lui confirme avoir remarqué après 1962 "une sorte d'auto-aliénation digne d'un roman de Dostoïevski" chez sa protégée.
Les recherches sont passées inaperçues à l'époque, selon le professeur retraité, en raison du contexte politique. "L'héroïne de la RAF, aux yeux de ses avocats et de la presse de gauche, ne pouvait être malade", estime-t-il mercredi dans les colonnes du quotidien Tageszeitung.
Le sort du cerveau, lui aussi, semble être passé inaperçu pendant toutes ces années. Sa réapparition relance le débat scientifique: "Le mal est plus complexe que la biologie", s'insurge ainsi mercredi le neurobiologue Alexander Kekulé dans une tribune du Tagesspiegel.
Avérée ou pas, la relecture médicale du mythe Meinhof n'aura probablement pas de conséquences sur le casier judiciaire de la défunte.
"En Allemagne, les conditions justifiant une révision de procès sont draconiennes. Il faut que les éléments soient réellement nouveaux", souligne un avocat berlinois spécialiste de la question, Daniel Krause.
Reste le débat éthique. Choquées par les tribulations du cerveau maternel, les deux soeurs Regine et Bettina Roehl réclament son inhumation dans les plus brefs délais. Regine a porté plainte pour "violation du respect des morts".
Le Parquet de Stuttgart vient de lui donner raison, en exigeant mercredi des scientifiques qu'ils rendent l'organe à sa famille.
http://apa.online.free.fr/Allemagne/Doc/Baader%20Sartre.html
par Yann OLLIVIER
BERLIN, 13 nov (AFP) - Vingt-six ans après l'enterrement à Berlin de la théoricienne de la Fraction Armée rouge (RAF) Ulrike Meinhof, des médecins réexaminent le destin de la journaliste devenue terroriste à travers son cerveau... qui s'avère avoir été conservé dans du formol toutes ces années.
C'est l'une des deux filles jumelles d'Ulrike Meinhof (1934-1976), Bettina Roehl, qui a révélé en fin de semaine dernière que le cerveau de sa mère n'était pas dans sa tombe à Berlin-Mariendorf, mais dans un bocal à l'Institut de psychiatrie, de psychothérapie et de médecine somatique de Magdebourg (est).
Révélation confirmée mardi par le directeur de l'Institut, le professeur Bernhard Bogerts, qui a reconnu lors d'une conférence de presse posséder l'organe à des fins d'examen depuis 1997, sur demande d'un neurologue de Tuebingen (sud-ouest), Juergen Pfeiffer.
Pfeiffer, âgé de 80 ans, était en possession du cerveau de la terroriste depuis qu'il l'avait examiné en 1976, pour le compte du Parquet de Stuttgart. Meinhof venait alors d'être retrouvée pendue dans sa cellule de la prison de Stammheim.
Trouver l'origine du mal dans un cerveau, un vieux rêve de la criminologie: Bogerts, qui a longuement étudié celui d'un forcené coupable du meurtre de toute sa famille en 1913, affirme dans le cas d'Ulrike Meinhof avoir décelé des "modifications cérébrales pathologiques" qui pourraient expliquer son destin.
En partie tout au moins. Car des éléments biographiques plus complexes ont certainement aussi joué un rôle dans son évolution vers le terrorisme, a souligné Bogerts.
Des conclusions similaires à celles faites en 1976 par Juergen Pfeiffer. Son rapport évoquait des dommages cérébraux "dont l'ampleur et la localisation auraient pu justifier une mise en question de la responsabilité" de l'accusée devant la justice.
Tout remonterait à une opération ratée sur une tumeur cérébrale en 1962. Meinhof est alors une éditorialiste en vogue à la revue de gauche Konkret, mariée à son fondateur, régulièrement invitée à la radio et à la télévision.
En 1968, elle largue les amarres familiales et professionnelles avant de disparaître en 1970 dans l'illégalité, aux côtés d'Andreas Baader et de Gudrun Ensslin. La RAF survivra à leurs arrestations en 1972: elle ne s'autodissoudra qu'en 1998, avec un bilan de 34 morts.
Au cours de ses recherches, le professeur Pfeiffer récolte notamment le témoignage de la femme qui a élevé Ulrike Meinhof, Renate Riemeck. Celle-ci lui confirme avoir remarqué après 1962 "une sorte d'auto-aliénation digne d'un roman de Dostoïevski" chez sa protégée.
Les recherches sont passées inaperçues à l'époque, selon le professeur retraité, en raison du contexte politique. "L'héroïne de la RAF, aux yeux de ses avocats et de la presse de gauche, ne pouvait être malade", estime-t-il mercredi dans les colonnes du quotidien Tageszeitung.
Le sort du cerveau, lui aussi, semble être passé inaperçu pendant toutes ces années. Sa réapparition relance le débat scientifique: "Le mal est plus complexe que la biologie", s'insurge ainsi mercredi le neurobiologue Alexander Kekulé dans une tribune du Tagesspiegel.
Avérée ou pas, la relecture médicale du mythe Meinhof n'aura probablement pas de conséquences sur le casier judiciaire de la défunte.
"En Allemagne, les conditions justifiant une révision de procès sont draconiennes. Il faut que les éléments soient réellement nouveaux", souligne un avocat berlinois spécialiste de la question, Daniel Krause.
Reste le débat éthique. Choquées par les tribulations du cerveau maternel, les deux soeurs Regine et Bettina Roehl réclament son inhumation dans les plus brefs délais. Regine a porté plainte pour "violation du respect des morts".
Le Parquet de Stuttgart vient de lui donner raison, en exigeant mercredi des scientifiques qu'ils rendent l'organe à sa famille.
http://apa.online.free.fr/Allemagne/Doc/Baader%20Sartre.html
rock.prog
1030
AFicionado·a
Membre depuis 21 ans
349 Posté le 27/07/2004 à 10:38:27
Ah oui je m'étais toujours demandais, où il était, du coup.
Wilko-
7552
Je poste, donc je suis
Membre depuis 21 ans
350 Posté le 27/07/2004 à 14:42:54
Toi aussi ?
Moi ça m'a gâché ma jeunesse.
j'ai pas pu manger d'abats pendant très longtemps , pourtant j'aime cette cuisine hyperlipidique : je revendique mon droit au cholesterol
Moi ça m'a gâché ma jeunesse.
j'ai pas pu manger d'abats pendant très longtemps , pourtant j'aime cette cuisine hyperlipidique : je revendique mon droit au cholesterol
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