Moi je suis triste parce que kapam est parti.
J'ai vendu grâce à lui 700 exemplaires de mon dico kapam-français/français-kapam. J'avais l'argent, la gloire, les femmes, la coke, les limousines.
Maintenant je n'ai que des dettes, et devant moi, un horizon bien morne et bien lointain, seulement balayé par la bise, qui enlève un à un les derniers grains de sable de mes utopies dans le désert de mon quotidien.