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Les premiers Bluesmen, quelles sont les influences de Robert Johnson ?

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Sujet de la discussion Les premiers Bluesmen, quelles sont les influences de Robert Johnson ?

Salut !

 

J'etais tombé sur une video, parlant (Entre autre) des influences de Robert Johnson, il était question d'un certain "Brown" il me semble, qui n'avait été que très peu enregistré.

 

Donc après recherche je suis retombé sur Willie Brown mais je ne crois pas que c'était lui... 

Et bien sur j'ai oublié ou est-ce que j'avais entendu ça...  icon_arrow.gif

 

Si vous avez des infos, si ça vous dit quelque chose je prend !

2
Check le hors série Blues de guitar parts en ce moment, il y en a une rétrospective plutôt sympa.

Tu peux aussi regarder ici.

Revêtis ton bottleneck et en avant.

Edit: Au passage, fais péter du Big Bill Broonzy, si t'aimes R.J ça devrait te plaire.

[ Dernière édition du message le 21/06/2013 à 14:02:16 ]

3
Petit up, je lis ça en ce moment:

754925_2880249.jpg

LeRoi Jones fait un parallèle entre l'histoire du noir aux états unis (esclavage etc) et la naissance/le développement, les impacts sociaux, du blues/jazz/ragtime etc. C'est très intéressant (d'autant que cela donne envie de creuser notre propre histoire française) et cela casse certains mythes. Notamment qu'il y a eu un certain nombre de mecs et femmes bien avant Robert Johnson. Normal me direz vous, oui mais qui et comment? Pourquoi? Bref, je recommande! :bravo:

[ Dernière édition du message le 07/11/2013 à 10:35:31 ]

4

Il y a un film qui s'appelle "Crossroad" où il est question de ce willie Brown/Robert Johnson = pacte avec le diable...

Le film est pas mal, le rôle principale est joué par l'acteur de Karaté Kid et il y a une battle de guitariste à la fin qui vaut son pesant de cacaouhètes.

un extrait

y'a pas à tortiller du cul pour chier droit

5
Le mec (à priori) à la base du pacte avec le diable est Tommy Johnson:
"Il revient deux ans plus tard ayant beaucoup progressé dans le chant et le jeu de guitare à force de suivre des musiciens comme Charley Patton et Willie Brown. Cultivant un côté sombre et sinistre pour façonner sa popularité, Tommy Johnson préfère cependant donner une autre explication à ces progrès. Il raconte avoir vendu son âme au Diable en échange de la maîtrise de la guitare. Un soir, alors qu'il s'était perdu à un carrefour, il y aurait rencontré le Diable. C'est ce dernier qui lui aurait appris à chanter et à jouer le blues. Cette même histoire sera reprise et popularisée ensuite par Robert Johnson et par Peetie Wheatstraw, ce qui fait de celle-ci une sorte de légende du blues"