De Félicie à Béru, San Antonieusement Vôtre
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Non, c'est le propre de la littérature de gare de pouvoir sauter des pages sans perdre le fil.
Et tu oublies Béru, qui goûte à tous les plats, y compris ceux du scatophage... et trouve ça pas mauvais.
Vince_
22790
Vie après AF ?
Membre depuis 20 ans
une fois n'est pas coutume mais j'ai fait éxactement ce que j'ai dis, cad finir mon agatha christie ( super bon, fallait me retenir de ne pas en commencer un autre dans la foulée ) et commencer mon premier San antonio. ( Laissez tomber la fille )
Bon bah au bout de 50 pages, y'a plus de points " Vince_ " que dans toute ma carrière afienne.
C'est un peu l'hôpital tout ça, mais tout comme Will, je ne vois pas du tout de second degré dans le machisme /sexisme / paternalisme du " héros ", c'est un truc de l'époque et y'a eut un tournant ( quant ? ) dans la production narrative qui a mis un stop à ce genre de héros .
( James Bond, Clint Eastwood, plein d'autres c'était pas franchement le bobo féminisé de la classe dominante actuelle, je ne dis pas " c'était mieux avant " mais je crois qu'on peut faire un constat )
Pour l'instant la lecture est agréable, c'est très particulier et j'ai déjà l'impression de voir les fondements de l'univers de l'auteur. ( personnages, ton )
La recherche perpétuelle du bon mot ou formule spé peut tout de même être envahissante, peut être aussi un truc d'époque. Les Audiard aussi sont plein de jargons et d'expressions rarement entendues auparavant.
Ce qui m'amène à dire que jusqu'à présent, c'est Gabin qui me venait en tête plus ou moins inconsciemment pour me faire une représentation visuelle du " héros ".
Une fois de plus, je constate que les voies de la subjectivité sont assez impénétrables dans le sens
où par exemple au vu de la teneur des propos dans le livre, le ton général etc... ça ne m'aurait pas étonné le moins du monde de voir une succession de posts très acides contre cette oeuvre.
Là ils se trouvent que vous aimez bien.
Bon bah au bout de 50 pages, y'a plus de points " Vince_ " que dans toute ma carrière afienne.
C'est un peu l'hôpital tout ça, mais tout comme Will, je ne vois pas du tout de second degré dans le machisme /sexisme / paternalisme du " héros ", c'est un truc de l'époque et y'a eut un tournant ( quant ? ) dans la production narrative qui a mis un stop à ce genre de héros .
( James Bond, Clint Eastwood, plein d'autres c'était pas franchement le bobo féminisé de la classe dominante actuelle, je ne dis pas " c'était mieux avant " mais je crois qu'on peut faire un constat )
Pour l'instant la lecture est agréable, c'est très particulier et j'ai déjà l'impression de voir les fondements de l'univers de l'auteur. ( personnages, ton )
La recherche perpétuelle du bon mot ou formule spé peut tout de même être envahissante, peut être aussi un truc d'époque. Les Audiard aussi sont plein de jargons et d'expressions rarement entendues auparavant.
Ce qui m'amène à dire que jusqu'à présent, c'est Gabin qui me venait en tête plus ou moins inconsciemment pour me faire une représentation visuelle du " héros ".
Une fois de plus, je constate que les voies de la subjectivité sont assez impénétrables dans le sens
où par exemple au vu de la teneur des propos dans le livre, le ton général etc... ça ne m'aurait pas étonné le moins du monde de voir une succession de posts très acides contre cette oeuvre.
Là ils se trouvent que vous aimez bien.
Junichi's remix rap français////////////////Check rap français Vos avis ici
[ Dernière édition du message le 06/05/2018 à 12:05:58 ]
Al1r
2284
AFicionado·a
Membre depuis 17 ans
Ayant hérité les premiers volumes de mon tonton, j'ai continué la collection
C'est aussi la seule chose marrante que j'ai gardé du service militaire...
Comme chauffeur d'état major, dans les longues attentes...je dévorais du Sana
Je crois que c'est la seule littérature "de gare" où l'on peut sauter une page sur deux sans perdre le fil de l'histoire.
C'est aussi la seule chose marrante que j'ai gardé du service militaire...
Comme chauffeur d'état major, dans les longues attentes...je dévorais du Sana
Je crois que c'est la seule littérature "de gare" où l'on peut sauter une page sur deux sans perdre le fil de l'histoire.
AL1
[ Dernière édition du message le 06/05/2018 à 12:07:42 ]
dana12
17910
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 15 ans
Laisser tomber la fille fait partie des premiers San Antonio, et effectivement, c'est assez premier degré. Très bon pour la langue et l'ensemble de l'ambiance très polar noir des années cinquante, mais le commissaire San Antonio est quand même un peu superman au pays des voyous.
On t'a conseillé plein d'autres titres il me semble (dans un thread où on nous as reproché d'être HS, d'ailleurs)
En vrac je t'avais proposé San Antonio chez les Mac, Tango chinetoque, mais Gojats t'avait donné Bérurier au sérail ou les prédictions de Nostrabérus
On t'a conseillé plein d'autres titres il me semble (dans un thread où on nous as reproché d'être HS, d'ailleurs)
En vrac je t'avais proposé San Antonio chez les Mac, Tango chinetoque, mais Gojats t'avait donné Bérurier au sérail ou les prédictions de Nostrabérus
Incrédule sur tout, sceptique sur le reste
[ Dernière édition du message le 06/05/2018 à 11:59:56 ]
dana12
17910
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 15 ans
Citation de Al1r :
Je crois que c'est la seule littérature "de gare" où l'on peut sauter une page sur deux sans perdre le fil de l'histoire.
Non, c'est le propre de la littérature de gare de pouvoir sauter des pages sans perdre le fil.
Incrédule sur tout, sceptique sur le reste
gojats
10304
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 17 ans
Vince_
22790
Vie après AF ?
Membre depuis 20 ans
dana12
17910
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 15 ans
Vince_
22790
Vie après AF ?
Membre depuis 20 ans
lire des histoires du genre ( avec dragage de belles nanas tout ça ) ramène à sa réalité, cad où on en est nous dans notre vie sentimentalo sexuelle.
Et là, j'ai du mal à trancher, faut il s'accommoder de sa douce du moment parcequ'elle est bienveillante attentionnée, qu'elle " fait le boulot " ( dsl ) ou continuer de rêver d'avoir " mieux " et de ne pas arrêter la chasse ( aussi fatigante puisse-t-elle être )
Selon les jours je n'ai pas les même certitudes.
D'un côté je me dis la vie est courte, celle que j'ai est pas mal et facile à vivre, autant s'y faire et se concentrer sur autre chose,
de l'autre c'est impossible de m'empêcher de zieuter les autres demoiselles bave aux lèvres parfois en me disant " c'est dingue ce qui éxiste ".
Où se situe le courage, où se situe la lâcheté ? pas facile d'y voir clair.
En parallèle de ce questionnement, sûrement pas un hasard, mais j'ai un dilemme similaire ( dans la mesure du comparable somme toute très relatif bien qu'éxistant tout de même ) avec ma guitare électro acoustique nylon.
C'est un modèle entrée de gamme et je ne suis pas Django satriani (
) donc quelque part je m'en satisfait, dans la mesure où si je joue un accord de Do, ça sort un accord de Do
j'ai tenté une customisation esthétique DIY et le résultat est à la hauteur de ma compétence cad dire paquerettes desquelles on aurait couper les fleurs...
bref, c'est pire qu'avant mais encore jouable.
Je me dis que ce ne serait pas dingue de cesser temporairement la radinerie et de me payer une moyenne gamme sympathique, pour m'encourager à jouer plus et bénéficier d'une meilleure sensation de jeu, d'un son même un peu plus agréable.
dans un cas comme dans l'autre, j'ai du mal à situer le courage / pragmatisme ( garder celle dont je dispose et m'en satisfaire même si ce n'est pas la panacée ) et la lâcheté ( plus facile de ne rien faire, de ne pas investir dans une nouvelle gratte ou d'aller à la chasse séductionelle, avec les upgrades nécessaires, cad meilleur situation matérialo-professionelle etc.. )
Et là, j'ai du mal à trancher, faut il s'accommoder de sa douce du moment parcequ'elle est bienveillante attentionnée, qu'elle " fait le boulot " ( dsl ) ou continuer de rêver d'avoir " mieux " et de ne pas arrêter la chasse ( aussi fatigante puisse-t-elle être )
Selon les jours je n'ai pas les même certitudes.
D'un côté je me dis la vie est courte, celle que j'ai est pas mal et facile à vivre, autant s'y faire et se concentrer sur autre chose,
de l'autre c'est impossible de m'empêcher de zieuter les autres demoiselles bave aux lèvres parfois en me disant " c'est dingue ce qui éxiste ".
Où se situe le courage, où se situe la lâcheté ? pas facile d'y voir clair.
En parallèle de ce questionnement, sûrement pas un hasard, mais j'ai un dilemme similaire ( dans la mesure du comparable somme toute très relatif bien qu'éxistant tout de même ) avec ma guitare électro acoustique nylon.
C'est un modèle entrée de gamme et je ne suis pas Django satriani (
) donc quelque part je m'en satisfait, dans la mesure où si je joue un accord de Do, ça sort un accord de Doj'ai tenté une customisation esthétique DIY et le résultat est à la hauteur de ma compétence cad dire paquerettes desquelles on aurait couper les fleurs...
bref, c'est pire qu'avant mais encore jouable.
Je me dis que ce ne serait pas dingue de cesser temporairement la radinerie et de me payer une moyenne gamme sympathique, pour m'encourager à jouer plus et bénéficier d'une meilleure sensation de jeu, d'un son même un peu plus agréable.
dans un cas comme dans l'autre, j'ai du mal à situer le courage / pragmatisme ( garder celle dont je dispose et m'en satisfaire même si ce n'est pas la panacée ) et la lâcheté ( plus facile de ne rien faire, de ne pas investir dans une nouvelle gratte ou d'aller à la chasse séductionelle, avec les upgrades nécessaires, cad meilleur situation matérialo-professionelle etc.. )
Junichi's remix rap français////////////////Check rap français Vos avis ici
Anonyme
17824
Les prédictions de Nostrabérus... anthologique. San-A Nobel de littérature, Béru en voyant, la môme Eggkart Tequist 
, la visite du musée de la merde avec le gus qui collectionne ET goûte la merde... Sa plus belle pièce, un pet foireux d'Elizabeth II le jour de son couronnement. Ses chieurs patentés, dont un gastronome français, la merde qui tombe dans des cuvettes transparentes, ses bocaux de merde... Si ça c'est pas de la vraie littérature. 
, la visite du musée de la merde avec le gus qui collectionne ET goûte la merde... Sa plus belle pièce, un pet foireux d'Elizabeth II le jour de son couronnement. Ses chieurs patentés, dont un gastronome français, la merde qui tombe dans des cuvettes transparentes, ses bocaux de merde... Si ça c'est pas de la vraie littérature. dana12
17910
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 15 ans
Et tu oublies Béru, qui goûte à tous les plats, y compris ceux du scatophage... et trouve ça pas mauvais.
Incrédule sur tout, sceptique sur le reste
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