Sujet de la discussionPosté le 10/05/2020 à 19:08:17répètes après confinement, comment concevez vous la reprise?
Bonjour à tous et merci de m'accueillir chez vous
J'ai cherché sur le forum mais je n'ai pas trouvé de réponses à mes questions. (Peut être ai-je mal chercher?)
Chanteuse dans un groupe, je ne me vois pas reprendre comme avant le confinement pour éviter d'infecter potentiellement.
Je me demandais quelles pourraient être les astuces pour chanter sans envoyer des gouttelettes à tout va.
température avant de venir en répète,
Avoir un masque en permanence,
chanter avec un masque? lequel pourrait être le plus facile?
fabriquer un hygiaphone? si oui, comment pour éviter que nos bourses ne soient pas trop allégées?
Reporter les répètes?
Faire les répètes à distance?
Et autres, si vous avez d'autres questions et/ou des quelques réponses...
Compliqué en effet.
N'ayant plus de groupe, j'aurais aimé en relancer ou en rejoindre un.
Mais quand on finit le boulot vers 16h30/17h et qu'il y a un couvre feu à 18h, c'est impossible.
Du coup, je glande et cogite tout seul comme un con
[ Dernière édition du message le 06/03/2021 à 19:51:35 ]
pulvonium
6782
Je poste, donc je suis
Membre depuis 19 ans
14Posté le 06/03/2021 à 22:56:57
Moi c'est un sentiment bizarre :
Un de mes groupes est en standby. Pas de dates, donc pas de répètes.
L'autre aimerait bien répéter mais entre couvre-feu et confinement du week-end (je suis du 62), ça va d'annulation en annulation.
Au point que pour la première fois depuis très longtemps, j'en perds l'envie de jouer.
Je me réfugie dans le home-studio, je me forme via Youtube. J'essaie de pas perdre mon temps.
Mais je me dis que la reprise en groupe va être difficile.
Ça rassure de trouver des gens qui ont en marre de ne pas pouvoir jouer en public.
De notre côté on est bloqué en Auvergne où on avait eu l’heureuse idée de trouver une petite maison avant de bouger sur la planète.
Depuis un an on a juste joué une fois, à deux, chez des voisins pour une rencontre amicale.
On ne sait pas comment cela va se passer ensuite. Un copain de Grasse, notre ancien bassiste pète les plombs, il n’en peut plus.
Heureusement il répète encore de temps en temps avec deux ou trois groupes locaux mais finit par se demander à quoi ça sert.
Je le rassure : « l’important est de jouer ». Nous on arrive même pas à trouver des musiciens pour remontrer un band dans notre coin
Où est le temps où nous « jamions » avec sur scène : un français, une italienne, un canadien, des indiens, un israélien et plus encore.
C’était juste il y a un an, à Goa.
(ça fait du bien de se plaindre un peu )