"...Je portai à mes lèvres une cuillerée du thé où j’avais laissé s’amollir un morceau de poisson. Mais à l’instant même où la gorgée mêlée des miettes de thon toucha mon palais, je tressaillis, attentif à ce qui se passait d’extraordinaire en moi..."
La langue française, surtout en France, souffre d'un excès de formalisation qui freine son évolution (phénomène visiblement relativement "récent" dont par exemple François Villon n'avait pas eu à souffrir). Particulièrement dans un monde en constante accélération (même mes collègues Londoniens peinent a suivre par moment malgré l'extrême souplesse de l'Anglais )