Donc, si on lit et qu'on continue de trouver ça pas drôle on est un con ?
Au risque de me répéter, et je ne fais que donner ma vision sans émettre de théorie définitive : on devient un con à partir du moment où on sent le besoin d'exprimer à voix très haute qu'on ne trouve ça pas drôle.
Je suis convaincu que tout le monde s'en branle de savoir si untel ou untel a trouvé ceci ou cela drôle ou pas drôle.
En tous cas, jamais je ne me suis surélevé sur mes petits pieds pour venir expliquer aux gens qui kiffent le jazz, le death, l'opéra que non, ce n'est pas une bonne forme de musique, parce que gnagnagna avec tout plein de gros mots tirés de la musique classique.
Je ferme ma gueule.
Je laisse volontiers autrui(*) aimer Armstrong, Graveworm et Pavarotti pour peu que ces cochons(*) me laissent trankil kiffer les toccatas de Bach.
Citation de Dr :
LSV : toi tu n’es pas fait pour Twitter !
Entre ça et accepter que chacun ait ses goûts, tu te rends compte du décalage tout de même, et de la difficulté que j'ai à composer avec ce monde et cette époque qui me sont si étrangers?
(note: ça là, juste avant, c'est dit avec humour. Non je préfère préciser, y en a, y saisissent pas au premier abord, des fois, et ils réagissent un peu à chaud)
(*) autrui / cochon.
Au cas où y en ait qui voudraient réagir sur ce mot "cochon" qui de prime abord semble si plein de haine.
Effectivement dire "je n'aime pas le jazz" et faire une blague à base de chinetoque / bougnoule / bamboula est 100% comparable et doit être mis sur un pied d'égalité.