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Sujet Alerte Citations

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Sujet de la discussion Alerte Citations
Celle la est si belle que je suis obligé de l'écrire:

Citation : Moi depuis que je paye plus mon loyer, j'ai considérablement augmenté mon pouvoir d'achat

:oo:
Problemes avec votre petite amie / femme ? Vous voulez la larguer sans en avoir l'air ? Vous ne voulez plus la voir ? Demandez a un specialiste. Demandez a Avatar. L' Avatar du Congo (Avec un A majuscule, c'est mon nom propre).
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72401

facepalm

Il y a qui ont pas peur d'écrire des âneries :/

JxB

72402
Peut-être qu'il parlait d'Arpanet...

Pie

72403
Ben moi AdBlock est désactivé sur AF, en haut l'ai la pub pour le SAE institute, mais à gauche j'ai rien :8O:

[ Dernière édition du message le 28/03/2011 à 11:15:27 ]

72404

XB: moi non plus depuis quelques temps, c'est no-script qui bloque chez moi.

La musique adoucit les meurtres...

72405
Ben j'ai rien touché, avant j'avais la Blackstarette, mais depuis, c'est écrit "publicité" et rien en dessous.
72406
Un modo bien tempéré a écrit :
Citation :
si je me contentais de suivre ses instincts, il y aurait la moitié de mes voisins qui seraient décédés de mort violente pour avoir entrepris des travaux un dimanche matin lendemain de concert, j'aurais baisé au moins 20% de mes voisines, avec ou sans leur consentement et je serais mouru vingt fois d'un délire de vitesse au volant ou au guidon, sans compter les connards qui roulent comme des manches que j'aurais poussés dans le fossé.
72407

C'est parcequ'il vient de rentrer de vacance, faut le laisser atterrir redface2

JxB

72408

Citation de Un nioub à Rasko :

Qu il n'est abandonner son mediator,avec la maitrise qu'il en a heureusement!!pour passer au picado a deux doigts et galerer,des années c'est normal  mon petit.

La suite par ici

72409
Citation :
T'inquiète pas, demain ça ira un peu mieux, même si tu ne pourras pas tenir sur des skis. Faudra attendre vendredi.
Vendredi il fera mauvais...
Tu iras quand même, parce que merde, c'est la dernière journée. Sauf que ta femme et ta fille, qui de leur côté en auront bien profité la veille et l'avant-veille, ne viendront pas, vu le temps.

Tu iras seul.
Enfin, ta femme t'amènera, parce que tu t'imagines mêmes pas la laisser seule toute une journée sans la voiture.
Elle va te laisser dans la grisaille et la tourmente avec tes skis, tes godasses, et ton bonnet. Tu vas t'apercevoir que tu as oublié le forfait semaine à l'appart, mais comme ta femme est déjà repartie (tiens? c'est bizarre, le cours de ski est fermé aujourd'hui?) tu te retrouves un peu comme un con.
Seule solution: racheter un forfait journée. A l'autre bout de la station, là bas. En godasses après-skis.
Ce dont tu.
Te voilà fin prêt. Tu attends le télésiège dans la grisaille et la tourmente, et... tu t'emmerdes un peu, faut bien le reconnaître, tout seul sans ta femme ni tes gosses, au chaud. Au chaud! Les bâtards. Un frisson te parcourt fugacement. Putain de gastro de merde. Tiens, en parlant de merde, tu as envie de chier, mais le télésiège arrive juste maintenant. Tant pis. Ca attendra.
Tu embarques dans le télésiège. A gauche, une grosse mégère suante et soufflante en combi rose fuschia. Avec des valoches sous les yeux qui lui tombent sur le pif, le pif qui tombe sur les lèvres, les lèvres à la place du menton, le menton à la place des nichons, les nichons à la place du pubis, et le pubis - malheureusement - à sa place. Un seul regard en biais, et tu débandes pour le reste de la journée. A droite, un bogoss en surf qui pue le Linkin Park à 30 mètres et qui renifle chaque 30 secondes, à grand coups de narines. Rifffffff, riffffff. Le bougre se leste l'estomac à grandes pelletées de morve, pour mieux asseoir le centre de gravité.
Putain de voyage de merde, froid et silencieux. L'envie de chier te taraude.
Ouf, tu arrives à destination, sautes du télésiège, et dégages fissa la place pour laisser à leur place les 35 kilos du jeune snowlinkinparkeur et les 85 kilos de mémère.
Là haut, t'en prends plein la gueule, faut bien le reconnaître, avec ce putain de temps qui te fouette le mourre.
Commence à faire froid.
Un nouveau frisson te parcourt fugacement et conséquemment, c'te putain d'envie de chier te reprend.
Faut poser, là tout de suite, sinon méfi, ça va t'explosarder dans le futal comme une centrale nucléaire japonaise, et dévaler la pente sans même te demander le visa de sortie. Manquerait pu que ça!
Alors tu te retires viteuf derrière un pin, et dans les quatre secondes imparties par les contingences naturelles, t'arrives sans trop de mal à déchausser, baisser le futal, te mettre en position de tir, armer la batterie. Les dégazages commencent déjà, ton trou du cul observe par pure politesse un quart de seconde d'hésitation, et vlaouuuuuuf! te balance le reste de la purée qu'il gardait en réserve depuis hier au soir.
Pile poil au moment où ton cerveau affolé consulte le rapport d'audit qui vient de tomber et qui dit que t'as présentement rien sous la main pour t'essuyer le fion.
Seule solution: l'écorce râpeuse du pin ou les aiguilles du même arbre.
T'es pas dans la merde, vieux, sans vouloir me vanter.
Je suis un gars correct et soucieux de ses lecteurs, je ne tomberai donc pas dans le graveleux facile. J'observe respectueusement dix minutes de silence qui te permettront de te sortir par toi-même du pétrin, parce que tu vas quand même pas rester là toute ta vie, quoi merde. La station ferme à 17h30 le soir, d'abord.
Midi trente.
Déjà deux descentes depuis ce matin, entre le temps perdu à aller acheter le forfait, faire la queue, caguer. Mais c'est bon, on est parti. Sauf que le temps se gâte. A 15h y a pas d'autre alternative que déclarer forfait. On y voit pas à dix mètres, t'as déjà mangé deux Anglais en monoski et un Catalan en patinettes. Bon, autant les deux anglais ne sentaient, mais que légèrement, les chips au vinaigre et aux oignons, autant le Catalan s'est farci à midi une pelletée de bolas de picoulat, et il pue le rance à vingt lieues.
15h donc, les pisteurs ferment la station, very trop dangerous.
2h et demie avant que ta femme revienne te chercher... je peux te dire que tu as le temps de compter les toutes petites lettres sur le forfait, et que tu connais par cœur le nom, l'adresse, le numéro de téléphone et de SIRET de l'imprimeur.

Le pire, le pire, c'est que ce sombre connard de Blanchet, lundi, au boulot, croira malin te t'accueillir par un tonitruant "Alors, tes vacances au ski?" et qu'il va rien, mais alors rien piger du tout, quand il prendra en guise de réponse un gros coup de boule qui lui explosera ses lunettes de pédé.
Mais t'inquiète, nous on sait, et on comprendra.
Nous serons avec toi.
72410

icon_bravo.gif

 

 

Putaing, je vais me sentir con avec cette citation un peu ridicule par rapport à la précédente:

Citation de Farfadet83, en parlant d'Odio :

j'ai entendue des truc audieux !

C'est pas fait exprès. Uhuh.

 

 

[ Dernière édition du message le 30/03/2011 à 15:16:42 ]