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Vos RIP les plus HS

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Sujet de la discussion Vos RIP les plus HS
RIP Rulio Iglesias.
Tu vas nous manquer !

Astala vista old singer fellow !
Long is the road !

Non, on te le promet "on n'a pas chaaanggèèèèèéé ....toujours nos yeux de harengs pas frais ...etc"
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19581
Sur le gong.
19582
Citation de **naPOLEoN** :
Patrick Day. C'était pas son jour.
la St Patrick ?
19583
En même temps quand on vend de la drogue...
19584
Jean-Michel Martial.

Oper-8 Downtempo, ambient | beMYsound Musique à l'image | Fake Luxury Shoegaze, dreampop, synthwave | SeizePads Chillhop, trap, drill

Nord Electro 3 volé | Générateurs de texte

19585
Ptain des bons doubleurs en VF, ni morts ni mourants ni alcooliques, il doit plus en rester un seul.
19586
Pour mourir fut tout un art.
19587
Citation :
Il devient d'abord docteur en chirurgie dentaire, à Paris et en Guyane, avant de fermer son cabinet de Cayenne en 1983 afin de se consacrer au théâtre.

:bave:

"L'Homme est la nature prenant conscience d'elle même." - Elisée Reclus

19588
Citation :
Cayenne

Je me souviens encore de ma première femme
Elle s'appelait Nina, une vraie putain dans l'âme
La reine des morues de la plaine Saint-Denis
Elle faisait le tapin près de la rue de Rivoli...



19589
Ptain par contre en lisant sa bio, jme rends compte que 1. c'est le frère de Bain Marie (putain ce pseudo quand même....Dans les 80's on en avait rien à foutre de rien, j'imagine presque les auteurs de Navarro l'appeler Bamboula:bave:) et que 2. c'est pas lui qui doublait Samuel Jackson, mais donc Bain Marie, aka Jacques Martial. :8O:
19590
Pierre Kalfon. Journaliste au Monde et au Nouvel Obs au moment du coup d'état de Pinochet, diplomate, prof... J'avais déjà eu l'occasion d'évoquer ce monsieur dans le Pub de l'Amérique Latine. Souvenirs de belles rencontres. Un type toujours prêt à faire partager ses connaissances, avec humilité. Il suffisait de l'appeler pour lui demander de participer à un quelconque débat ou projection ayant pour sujet l'Amérique Latine et il venait, gaillard... quant à lui demander à être payé c'était se voir répondre, je le fais par plaisir, ne parlons pas d'argent. En dehors de nos rencontres il me reste de lui une dédicace d'un bouquin de Neruda.

https://www.lemonde.fr/disparitions/article/2019/10/17/pierre-kalfon-ancien-correspondant-du-monde-au-chili-est-mort_6015887_3382.html

Anecdote à propos de Kalfon, je le rencontre une première fois pour la présentation d'un film-docu (Sur les traces du Che me semble t-il) sur et avec Benigno, ancien compagnon historique du Che et de Fidel exilé en France, à un obscur festival du documentaire Latino Américain où mes photos étaient exposées. On parle de Benigno, Castro, le Che, du Chili, de Pinochet incarcéré à Londres depuis quelques jours etc etc... Je lui demande s'il a déjà rencontré Castro, il se marre...
"J'ai beau être un peu gauchiste sur les bords, physiquement je correspond pas aux critères de Castro, pas assez blonde, pas assez de poitrine"...

Le bonhomme pouvait être cinglant. Toujours au moment de l'incarcération de Pinochet à Londres. Je le vois en débat à la tévé en compagnie d'un prof de fac belge ultra-libéral et admirateur de Pinochien. Le prof belge commence à parler du deuxième tour de l'élection présidentielle de 1970 qui voit la victoire d'Allende...
Pierre Kalfon, qui vivait au Chili à ce moment et couvrait l'évènement comme correspondant de presse, se braque...
"Monsieur, je suis désolé mais en 1970 il n'y a pas eu de deuxième tour de l'élection au Chili. Vous êtes sûr que vous savez pourquoi vous avez été invité ici, vous connaissez un peu le Chili ? Ça n'a pas l'air..."
Il a commencé un jeu de massacre contre le Pinochienniste. :bave:
Le prof belge, furibard, se lève et quitte le plateau laminé par Kalfon...
La journaliste gênée s'excuse. Kalfon embraye. Je suis désolé, Madame, mais la prochaine fois invitez quelqu'un qui sait de quoi il parle, qu'il soit pas d'accord avec moi n'est pas un problème mais tant d'ignorance je pouvais pas laisser passer.

Donc voilà... Des 3 personnes rencontrées en France en lien avec l'Amérique Latine plus aucune n'est vivante. Ni Kalfon, ni Benigno, ni mon pote photographe argentin Jorge avec qui je partageais presque autant de dégoût pour Castro-Chavez-Ortega que pour Pinochet-Videla-Banzer-Stroessner.