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« Une Révélation 😍 »
Publié le 26/08/25 à 20:06
Rapport qualité/prix :
Correct
Cible :
Les utilisateurs avertis
Alors là… grosse claque. Le Sony C38B, c’est un peu le secret bien gardé des studios. On dirait un tank avec une grille : lourd, massif, increvable. Tu sens direct que ce micro a été pensé pour durer plus longtemps que nous.
Fabrication
Pas de fioritures : ça respire le sérieux japonais des années 70. La grille est béton, les switchs de directivité (cardio / omni), pad et coupe-bas tombent sous la main, et franchement, ça inspire confiance. On n’est pas sur un micro gadget : c’est un vrai outil de studio, prêt à tout encaisser.
Le son
Et là… magie. Le C38B ne cherche pas à te flatter avec des aigus qui brillent comme une boule disco. Non, il joue dans une autre cour : douceur, chaleur, naturel. Sur une voix, ça te sort un rendu classe, jamais agressif, qui reste musical même avec un chanteur un peu « ssss » dans les sifflantes. Sur une guitare acoustique ? C’est rond, détaillé, équilibré. Et le mieux : il est super polyvalent. Tu peux le coller devant un ampli guitare, au-dessus d’une batterie, sur des cuivres… et à chaque fois tu te dis : « ok, ça marche ».
Comparaison avec le Neumann U87
On entend souvent dire que le C38B est « l’U87 japonais ». C’est pas totalement faux : même esprit de micro polyvalent, neutre mais avec du caractère. Là où l’U87 met un peu plus en avant les aigus avec un côté très présent, le Sony reste plus sage, plus doux, un peu moins brillant mais plus chaleureux dans le bas-médium. Résultat : l’U87 peut être plus « moderne » et direct, alors que le C38B se pose avec une élégance plus veloutée. Perso, je trouve que c’est une super alternative quand on veut un son moins agressif, surtout sur les voix fragiles ou les sources acoustiques.
Bilan
Le Sony C38B, c’est le micro vintage qui mérite clairement plus d’amour. Pas tape-à-l’œil, mais super fiable et avec une vraie personnalité sonore. Si tu en croises un, ne réfléchis pas trop : prends-le.
J’aime :
La solidité de malade
Le son naturel et classe
Polyvalent, il sait tout faire
Pas d’agressivité dans les aigus
J’aime moins :
Le poids (prévois un pied solide)
Rare, et pas donné en occaz
Fabrication
Pas de fioritures : ça respire le sérieux japonais des années 70. La grille est béton, les switchs de directivité (cardio / omni), pad et coupe-bas tombent sous la main, et franchement, ça inspire confiance. On n’est pas sur un micro gadget : c’est un vrai outil de studio, prêt à tout encaisser.
Le son
Et là… magie. Le C38B ne cherche pas à te flatter avec des aigus qui brillent comme une boule disco. Non, il joue dans une autre cour : douceur, chaleur, naturel. Sur une voix, ça te sort un rendu classe, jamais agressif, qui reste musical même avec un chanteur un peu « ssss » dans les sifflantes. Sur une guitare acoustique ? C’est rond, détaillé, équilibré. Et le mieux : il est super polyvalent. Tu peux le coller devant un ampli guitare, au-dessus d’une batterie, sur des cuivres… et à chaque fois tu te dis : « ok, ça marche ».
Comparaison avec le Neumann U87
On entend souvent dire que le C38B est « l’U87 japonais ». C’est pas totalement faux : même esprit de micro polyvalent, neutre mais avec du caractère. Là où l’U87 met un peu plus en avant les aigus avec un côté très présent, le Sony reste plus sage, plus doux, un peu moins brillant mais plus chaleureux dans le bas-médium. Résultat : l’U87 peut être plus « moderne » et direct, alors que le C38B se pose avec une élégance plus veloutée. Perso, je trouve que c’est une super alternative quand on veut un son moins agressif, surtout sur les voix fragiles ou les sources acoustiques.
Bilan
Le Sony C38B, c’est le micro vintage qui mérite clairement plus d’amour. Pas tape-à-l’œil, mais super fiable et avec une vraie personnalité sonore. Si tu en croises un, ne réfléchis pas trop : prends-le.
J’aime :
La solidité de malade
Le son naturel et classe
Polyvalent, il sait tout faire
Pas d’agressivité dans les aigus
J’aime moins :
Le poids (prévois un pied solide)
Rare, et pas donné en occaz