La marque travaille depuis un certain temps sur ces V2. Le format a été optimisé pour pedalboard. Les fiches d’entrée et sortie ainsi que l’alimentation sont désormais placées sur le dessus de la pédale. Le format des pédales a été modifié pour occuper le moins de place possible.
Conçu autour d’un circuit imprimé mais offrant, selon le fabricant, les mêmes caractéristiques sonores, ces pédales sont avant tout moins chères que les premières versions. Elles sont d’ailleurs toujours construites une à la fois à la main.
Les châssis sont gravés aux UV ce qui permet un gain de temps et des illustrations plus fines.
La Tevatron est disponible en deux versions ; la première avec un transistor au silicone et la seconde avec un transistor NOS (new old stock) au germanium. La première version est proposée à $180 et la version germanium à $190.
La KE/64 overdrive est conçue pour réagir et sonner comme un ampli Vox poussé dans ses retranchements. Le fabricant nous assure que notre son de base gardera toute intégrité, la pédale ajoutera uniquement du gain, du grain et des harmoniques, tout en colorant légèrement. Avec ses réglages de volume et gain, on retrouve la simplicité de l’ampli visé. Elle est proposée à un tarif de $165.
La Tevatron Fuzz est basée, selon le fabricant, sur beaucoup de pédales classiques sans pour autant les copier. Son schéma est construit autour d’un transistor (silicone ou germanium) et d’un ampli op ce qui lui confère une sonorité à la fois vintage et moderne selon la marque.
Avec ses réglages de gain, fuzz et bias, la pédale est très polyvalente et peut développer des sonorités de fuzz très variées, allant de la légère fuzz à la grosse saturation.
La version germanium développe moins de gain et un son plus compressé et une fuzz légèrement plus sombre, moins ouverte. Le circuit équipé du transistor au silicone donne davantage de saturation, un son plus ouvert et des médiums légèrement boostés.
Ces pédales sont disponibles dès maintenant ; plus de détails sur StringTheory.