Sujet de la discussionPosté le 31/10/2007 à 16:41:07Un piano droit Blüthner (Leipzig) quelqu'un connaît ?
Bonjour tous,
tout est dans le titre
merci
@udric
8
Nouvel·le AFfilié·e
Membre depuis 20 ans
2Posté le 05/11/2007 à 00:15:30
Bonjour Murielle,
Je connais les pianos Blüthner. Ce sont des pianos d'origines Est allemande de belle facture.
Les pianos à queue Blüthner sont assez prisés, pour les droits cela dépend du modèle et de
l'année de fabrication.
Si tu vends ou achètes cet instrument, je te recommande vivement de faire un état des lieux
(expertise) de ton instrument par un professionnel avant de prendre ta décision.
Il n'est pas rare de rencontrer des instruments avec un bel aspect qui réservent en réalité la remise
en état de leur mécanique et/ou de leur structure harmonique (coût de quelques centaines à facilement plusieurs milliers d'euros).
As-tu d'autres infos sur cet instrument ?
Bien amicalement,
je n'ai pas obtenu beaucoup d'information, si ce n'est le fait qu'il a côuté à l'époque 12 000 FRs en 1987, que c'était une occasion de première main et sur les conseils d'un organiste il était intérréssant de l'acheter à ce prix là...
Maintenant, y'a-t-il un numéro de série ou une quelconque info quelque part dans le piano? , parce qu'à l'exterieur je n'ai que ceci : BLUTHNER LEIPZIG
CHAQUE piano possède un numéro personnel ce qui permet d'idendifier son année de FABRICATION.
Il est en général sur le cadre ou le sommier en haut à droite ou à l'intérieur gauche ou droit du meuble pour les pianos droits. Il se peut qu'il est été effacé si le cadre à été redoré...
Avec ce numéro je peux définir l'année mais quant à son état... c'est une autre histoire.
1904
c'est pas mal non ?!
du coup ça peut s'élever à combien de nos jours sachant que d'un point de vue esthetique il est "pas tout neuf" : traces d'usure présente sur les côtés du clavier et que certaines touches auraient besoin d'un "detartrage" pour qu'elles retrouvent leur blancheur.
Si c'est de l'ivoire, démonter les touches et les poncer à l'abrasif à l'eau très fin en veillant à ne pas mettre trop d'eau pour ne pas décoller les feutres de mortaise. Puis lustrer à la ponceuse avec peau de mouton et pâte à lustrer en veillant à ne pas trop chauffer l'ivoire, et surtout les frontons (devant des touches) qui sont eux en os. Ajouter beaucoup de patience et d'huile de coude...