Insatisfait(e) des avis ci-contre ?
Filtres
Nos membres ont également aimé :
5.0/5(2 avis)
100 %
Donner un avis
Avis des utilisateurs
- JHammer
Le top pour avoir une saturation discrète et ajouter un peu de caractère.
Publié le 17/05/23 à 09:31Large palettes de possibilité, de la saturation chirurgicale au gros simu de tube, ça reste toujours gérable.
J'adore en mettre sur des sons trop "propres" ou des pistes qui sonnent trop "numérique".
Je n'aime pas trop dire que ça sonne vintage ou analogique mais ça permet de gommer un peu l'aspect "home-studio" de pistes 100% electro d'instruments virtuels.
Pour les instruments réels, ç'est franchement bien sur des guitares/basses en complément d'une légère compression de la même marque.00 - arnoldorodeo
Tony Frenzel est un magicien !
Publié le 31/10/17 à 22:22J'utilise cette seconde version (SDRR2) avec énormément de plaisir, le CPU ayant été revu à la baisse.
En application, je l'utilise aussi bien pour du mixage de groupes qu'en mastering. Ca ne marche pas toujours sur tout mais quand ça fonctionne c'est un régal. Ce plugin ajoute un côté très vivant aux mixes et aux synthés quand il s'agit de leur redonner du relief. De fait il rappelle l'excellent Inflator (Sonnox) en ajoutant un "je-ne-sais-quoi" au son, ça l'épaissit et lui redonne du liant.
Tony insiste bien sur l'importance de bien régler le gain d'entrée (trim). Ce "gain staging" une fois réglé, est le ticket d'entrée aux 4 modes proposés. C'est alors qu'on peut paramétrer le Dr…Lire la suiteJ'utilise cette seconde version (SDRR2) avec énormément de plaisir, le CPU ayant été revu à la baisse.
En application, je l'utilise aussi bien pour du mixage de groupes qu'en mastering. Ca ne marche pas toujours sur tout mais quand ça fonctionne c'est un régal. Ce plugin ajoute un côté très vivant aux mixes et aux synthés quand il s'agit de leur redonner du relief. De fait il rappelle l'excellent Inflator (Sonnox) en ajoutant un "je-ne-sais-quoi" au son, ça l'épaissit et lui redonne du liant.
Tony insiste bien sur l'importance de bien régler le gain d'entrée (trim). Ce "gain staging" une fois réglé, est le ticket d'entrée aux 4 modes proposés. C'est alors qu'on peut paramétrer le Drive, du plus subtil quasi-inaudible à la distorsion type "tank allemand". Le SDRR est donc un caméléon qui permet toutes les fantaisies; il n'en demeure pas moins un outil de travail hyper efficace en studio, permettant de cibler puis de gommer les lacunes dans un domaine bien précis.
Le SDRR2 est donc un plugin "polymorphe" , sorte de "sonic enhancer" qui génère des harmoniques, compresse et fait également office d'EQ . Et ça ne s'arrête pas là puisque la fonction "Drift" amène une fonction aléatoire qui modifie de la plus belle des façons l'image stéréo en interaction avec le signal entrant ainsi qu'avec le "Drive".
Le mode "HQ ON+" est saisissant sur les aigus qui se font velours... Les basses sont profondes, très propres.
Les 3 modes "Stage" modifient le spectre sonore & permettent de donner une identité particulière aux éléments ou aux mixes, moderne ou bien vintage.
Sur les voix il m'arrive de l'utiliser, bien que je lui préfère le Phoenix 2 Crane Song (pas le même prix ...) ou le VSM-3 qui lui aussi excelle dans la coloration harmonique.
En résumé, le SDRR est une petite merveille et j'ai hâte de voir ce que son inventeur va nous proposer dans les années à venir puisque, jusqu'à présent, tout ce qu'il sort est juste éblouissant ! (mention spéciale au MJUC en passant...)
Lire moins150