Le Summer NAMM débute jeudi soir. Massive Unity y sera, et compte bien révolutionner le monde de la guitare et de la basse, que ce soit pour l’enregistrement ou les concerts, avec son Dirty Boy.
La machine est en fait un simulateur d’ampli à lampes ultra-compact et fonctionnant à l’aide de la technologie T.A.E. développée par Danny Gomez. Si vous ne connaissez pas Gomez, il s’agit d’un musicien et designer à qui l’on doit bon nombre de produits Vox, Orange (le récent OMEC par exemple), Fender, PRS, ou encore Eventide.
Le préampli Dirty Boy s’inspire d’un ampli conçu par Alex Saraceno et joué par l’artiste Blues Saraceno. Entièrement analogique, la machine simule donc cet ampli et doit être utilisée comme un préampli en amont d’une entrée ligne, à l’intérieur d’une boucle d’effet d’un ampli, ou encore comme une pédale de boost/overdrive.
Le Dirty Boy a été développé par Danny Gomez et Carlo Sorasio, et est fabriqué à la main en Europe par LAA Custom.
L’essentiel :
- Technologie analogique de simulation d’ampli à lampes T.A.E.
- Booster commutable de 20 dB
- Simulation d’un transformateur Variac
- Transformateur True Coil de LAA Custom
- Sortie préampli
- Sortie avec simulation de baffle (Greenback 4×12)
- Impédance en entrée : 1 MOhms
- Impédance en sortie : 6.5 KOhms
- Dimensions et poids : 145 × 105 × 74 mm, 400 gr.
- Tarif : 299 €