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réactions à la news Garbage in, hits out

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Sujet de la discussion Garbage in, hits out
Garbage in, hits out
Même s'il n'a pas suivi de formation académique pour devenir ingé son, le réalisateur artistique et ingénieur Billy Bush a appris les arts de l'enregistrement et du mixage de deux des plus grands spécialistes en la matière : Butch Vig, de Garbage, et le producteur de légende Rick Rubin. Ingé son attitré de Garbage depuis les années 90, Bush peut se vanter d'un CV sur lesquels figurent les noms d'artistes tels que Snow Patrol, Jake Bugg, Dweezil Zappa, The Naked & Famous, Fink, Neon Trees ainsi que The Boxer Rebellion.

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Un super interview de Billy Bush qui prouve une fois de plus que le réseau est super important pour progresser dans le domaine du son !
Avoir Rick Rubin et Butch Vig comme mentor pour un ingé son c'est pas rien , et la partie concernant la genèse de Pro-tool est très instructive aussi !
Du coup je me repasse version 2.0 sur la chaîne Hi-Fi , un bail que je l'avais pas écouté et ça n'a pas pris une ride
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Merci pour cet article très intéressant sur le parcours de Mr Bush.

Pour autant Version 2.0 n'a jamais fait parti de mes albums cultes; loin de là. A l'époque la production m'avait un peu rebuté et à l'exception de Push It, les morceaux n'avaient pas attisé ma curiosité. Après réécoute j'ai toujours la même impression d'un son un peu feutré, peut-être conséquence de juxtaposition de couches empilés à l'excès. A la même époque sont sorties des prod bien plus percutante (The Fat of the Land de Prodigy, Mezzanine de Massive Attack ou même Americana de Offspring). Bien que symptomatique de la loudness war celles-ci arrivaient à lier impression de fort volume et de grande dynamique, là ou les prod de Vig sonnent un peu plates avec de toutes petites batteries. Je n'y ai jamais ressenti de lourdes rythmiques.

En tout cas Vig à de bonne méthode de management: "travailles pour moi gratis et je t'apprends ton métier". Enfin un stagiaire qui ne demande pas à être rémunéré :). En même temps le stagiaire apprenait à son patron comment évoluer dans son métier. Avec le recul je pense qu'ils referaient tout pareil.

Beau parcours motivé par l'innovation.

[ Dernière édition du message le 09/12/2017 à 02:12:33 ]

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Merci pour cette interview, des questions techniques concretes, parfait :bravo:
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Citation de Hakim+K :

Pour moi aussi il a fait l'effet d'une bombe (surtout Push it) en 1998 quand je désespérais du rock et de cette vague grunge à 2 balles. Je ne supportais pas les chansons sur 3 accords de tous les Nirvana et consorts qui tenaient davantage de la posture que de l'art. (Et je ne les supporte toujours pas, désolé si ça heurte les "encore" fans de Curt, Nevermind n'a que la pochette d'intéressante pour moi).


.[/quote]

Les fans de Kurt n'en prennent pas ombrage ;-)
Cobain a repris le flambeau là où Frank Black l'avait laissé (il disait lui-même faire du sous-Pixies)

Pour les "3 accords" j'ose t'inviter à réécouter ne serait-ce que le couplet de Lithium

et j'attends la reprise avec trois accords ! :-D

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Hors sujet :
waw je n'avais jamais entendu parler de ce devonshire mix... la grande claque...
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Hors sujet :
Citation :
Pour les "3 accords" j'ose t'inviter à réécouter ne serait-ce que le couplet de Lithium

3 accords c'est un peu une façon de parler... Néanmoins j'ai ré-écouté Lithium et franchement ça me semble assez simple à jouer, au moins 2x plus basique que mes compos. Et puis la pauvreté des arrangements est navrante par rapport à Garbage. A part guitare/basse/batterie y a rien d'autre. La formule aussi est toujours la même, du son clair souvent arpègé sur une guitare désaccordée sur la strophe puis la purée sur le refrain avec cette fois la voix désaccordée, toutes les chansons se ressemblent et sont jouées sans émotion. Arg désolé je ne ressens toujours rien d'autre que de la posture, même 27 ans après, ça me semble toujours très primaire et ça ne me procure aucune émotion... contrairement à Garbage... mais je suppose que je n'y comprend rien. De mon côté je t'invite à réécouter NIN qui a déboulé à la même période avec que des innovations. Chaque chanson a nouvelle structure, une nouvelle palette sonore, un placement des instruments complètement réinventé. Il a osé tout bouleverser (Trent Reznor) et on est surpris chaque seconde alors qu'avec Nirvana, au bout de 2 chansons on se fait déjà chier.

[ Dernière édition du message le 30/08/2018 à 17:00:13 ]

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Hors sujet :
Après la musique, l’art, c’est heureusement autre chose que de la technique, de la complexité, de la virtuosité, de l’innovation... Du moment que ça parle à quelqu’un c'est vraiment l’essentiel ;)
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Hors sujet :
Bien sûr personne n'a dit le contraire, c'est un peu une lapalissade ça. Chacun parle pour lui-même de ce qui le touche ou pas (ici je disais que Garbage me touche et est arrivé à point nommé face à Nirvana qui ne me touche pas. Après le succès de Nirvana a suffisamment prouvé que ça a touché pas mal de gens mais je ne suis pas obligé d'en être). Les goûts et les couleurs ça se dispute ;)

Amusant sinon ces réactions à des commentaires d'il y a 8 mois, la joie des rediff d'AF...

[ Dernière édition du message le 30/08/2018 à 18:47:11 ]

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@Hakim+K : S'agissait pas de comparer les goûts (non seulement j'ai adoré Garbage mais j'ai eu la chance de rencontrer Shirley, gros frisson, bref :D:)
"trois accords, façon de parler"
Ben oui mais faut faire attention à la façon de parler, sinon personne ne comprend plus personne
En nommant mal les choses...

Peace
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La qualité et l'impact d'une chanson ne dépand pas uniquement de sa complexité, et de son nombre d'accords ou autre considérations techniques. Une chanson comme Paperback writer des Beatles en est une parfaite illustration deux accords et c'est géant. L'inspiration, l'osmose des musiciens entre eux, leur qualité d'interprète, tout ce qui fait qu'une personne est unique, rentre bien plus en compte.