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ttoine
« Une console analogique dans votre PC. »
Publié le 29/09/17 à 11:05
Rapport qualité/prix :
Excellent
Cible :
Tout public
Ce qui m'a fait acheter le logiciel au début:
- Le côté cross platform, puisque je change de système d'opération en fonction des projets, et ne plus dépendre de Windows ou de Mac ou de Linux est vraiment pratique.
- Le savoir faire et la réputation d'Harrison sur les consoles analogiques et numériques.
- Ca participe au développement des logiciels libres, car c'est basé sur Ardour et ils y contribuent.
Ce qui m'a fait adopter le logiciel en quelques minutes:
- La console de mixage. On ouvre une session, on ajoute des pistes, et pof, on a une interface de mix qui fonctionne comme une console analogique. On peut donc utiliser un workflow proche de l'analogique, avec le bénéfice de l'édition numérique si besoin. On trouve très vite ses repères, pas besoin de tout réapprendre.
- Le son. Mixbus sonne bien (très, très bien), et c'est un plaisir de l'utiliser. L'émulateur de console Harrison est parfait, on sent leur expérience dans le domaine. Pour l'anecdote, on m'a déjà demandé quelle "grosse" console analogique anglaise ou américaine j'ai utilisé, ou si j'ai un enregistreur à bande.
Quelques détails:
Les effets par défaut sur chaque tranche permettent déjà de faire un bon travail: eq, comp, pan, 8 aux/bus, vca, vu-meters, émulateur d'enregistreur à bande sur les bus et le master, etc... Sous Linux, il est livré avec une bonne réverb et un délai. Pour faire un mix rapidement, c'est suffisant. Et puis il est capable d'utiliser vos plugins habituels si ça ne vous suffit pas.
C'est très stable. Par rapport à un DAW classique dont la session de base est sans effet, Mixbus peut paraître lourd: en effet, son émulateur de console consomme en permanence des ressources et on ne peut pas le désactiver. Mais c'est en fait un vrai avantage, car du coup, pas besoin de surcharger les sessions avec des effets, des bus, etc. Au final, pour un même projet, on a besoin de moins de puissance. Un bête core i5 suffit à gérer de larges sessions même à faible latence.
Dans la partie édition, toutes les automations sont possibles. Snapshots, réglages personnalisés des comportements de presque tout, gestion des contrôleurs, tout est possible. Vous pouvez trouver sur le forum des fichiers pour mettre les raccourcis clavier d'autres logiciels si vous avez la flemme d'apprendre ceux de Mixbus.
Niveau midi, il est livré avec un instru de base et une solution pour utiliser les samples. Toutes les automations sont possibles. Et il gère les changements de tempo. Attention, c'est pas Ableton Live, à la base ça sert à enregistrer et éditer de l'audio. Mais vous pouvez donc utiliser vos instruments virtuels comme avec d'autres logiciels.
Le support est très réactifs par email. J'ai toujours rapidement une réponse à mes questions quand je les contacte.
A terme, je testerai la version "32C", car l'équaliseur est plus complet.
- Le côté cross platform, puisque je change de système d'opération en fonction des projets, et ne plus dépendre de Windows ou de Mac ou de Linux est vraiment pratique.
- Le savoir faire et la réputation d'Harrison sur les consoles analogiques et numériques.
- Ca participe au développement des logiciels libres, car c'est basé sur Ardour et ils y contribuent.
Ce qui m'a fait adopter le logiciel en quelques minutes:
- La console de mixage. On ouvre une session, on ajoute des pistes, et pof, on a une interface de mix qui fonctionne comme une console analogique. On peut donc utiliser un workflow proche de l'analogique, avec le bénéfice de l'édition numérique si besoin. On trouve très vite ses repères, pas besoin de tout réapprendre.
- Le son. Mixbus sonne bien (très, très bien), et c'est un plaisir de l'utiliser. L'émulateur de console Harrison est parfait, on sent leur expérience dans le domaine. Pour l'anecdote, on m'a déjà demandé quelle "grosse" console analogique anglaise ou américaine j'ai utilisé, ou si j'ai un enregistreur à bande.
Quelques détails:
Les effets par défaut sur chaque tranche permettent déjà de faire un bon travail: eq, comp, pan, 8 aux/bus, vca, vu-meters, émulateur d'enregistreur à bande sur les bus et le master, etc... Sous Linux, il est livré avec une bonne réverb et un délai. Pour faire un mix rapidement, c'est suffisant. Et puis il est capable d'utiliser vos plugins habituels si ça ne vous suffit pas.
C'est très stable. Par rapport à un DAW classique dont la session de base est sans effet, Mixbus peut paraître lourd: en effet, son émulateur de console consomme en permanence des ressources et on ne peut pas le désactiver. Mais c'est en fait un vrai avantage, car du coup, pas besoin de surcharger les sessions avec des effets, des bus, etc. Au final, pour un même projet, on a besoin de moins de puissance. Un bête core i5 suffit à gérer de larges sessions même à faible latence.
Dans la partie édition, toutes les automations sont possibles. Snapshots, réglages personnalisés des comportements de presque tout, gestion des contrôleurs, tout est possible. Vous pouvez trouver sur le forum des fichiers pour mettre les raccourcis clavier d'autres logiciels si vous avez la flemme d'apprendre ceux de Mixbus.
Niveau midi, il est livré avec un instru de base et une solution pour utiliser les samples. Toutes les automations sont possibles. Et il gère les changements de tempo. Attention, c'est pas Ableton Live, à la base ça sert à enregistrer et éditer de l'audio. Mais vous pouvez donc utiliser vos instruments virtuels comme avec d'autres logiciels.
Le support est très réactifs par email. J'ai toujours rapidement une réponse à mes questions quand je les contacte.
A terme, je testerai la version "32C", car l'équaliseur est plus complet.