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LeGrosChat
Très basique, mais peut devenir vite utile et malin selon l'usage...
Publié le 12/03/16 à 08:54Bon, en gros, le YAMAHA QX7 est sorti vers 1984-85, c'est uniquement un séquenceur MIDI, donc muet (pas de sorties audio, sauf si... mais on verra ça plus tard) qui n'enregistre et ne lit évidemment que des données MIDI.
Si on se remet dans le contexte de l'époque, les puissantes solutions informatiques n'en étaient encore qu'à leurs débuts avec des tarifs qui les réservaient exclusivement aux plus gros studios. En comparaison, c'était donc une machine professionnelle fiable, compacte et performante, avec un prix qui avoisinait quand même un mois de SMIC
Présentation:
Boitier en plastique noir "desktop" très costaud, non rackable (35x24x5cm), avec des aérations sur les côtés et à...…
Si on se remet dans le contexte de l'époque, les puissantes solutions informatiques n'en étaient encore qu'à leurs débuts avec des tarifs qui les réservaient exclusivement aux plus gros studios. En comparaison, c'était donc une machine professionnelle fiable, compacte et performante, avec un prix qui avoisinait quand même un mois de SMIC
Présentation:
Boitier en plastique noir "desktop" très costaud, non rackable (35x24x5cm), avec des aérations sur les côtés et à...…
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Bon, en gros, le YAMAHA QX7 est sorti vers 1984-85, c'est uniquement un séquenceur MIDI, donc muet (pas de sorties audio, sauf si... mais on verra ça plus tard) qui n'enregistre et ne lit évidemment que des données MIDI.
Si on se remet dans le contexte de l'époque, les puissantes solutions informatiques n'en étaient encore qu'à leurs débuts avec des tarifs qui les réservaient exclusivement aux plus gros studios. En comparaison, c'était donc une machine professionnelle fiable, compacte et performante, avec un prix qui avoisinait quand même un mois de SMIC
Présentation:
Boitier en plastique noir "desktop" très costaud, non rackable (35x24x5cm), avec des aérations sur les côtés et à l'arrière. La façade avant inclinée supporte toutes les commandes (sauf le bouton M/A) et les affichages.
Afficheur LED 2 digits + un petit tableau de 14 leds d'état. 8 petits boutons noirs de fonctions avec témoins led, 3 gros colorés pour les commandes principales (Start - Stop/Continue - Record) avec leds également, et un potard de tempo muni d'un gros bouton assez plat.
Sur le couvercle, un gros sticker en plastique épais sérigraphié rappelle schématiquement les fonctions correspondant aux "jobs"
(...Sympa, ça évite d'avoir à se replonger dans la doc chaque fois ! ).
A l'arrière un trio MIDI en DIN 5 broches, une prise DIN 8 broches pour la sauvegarde sur K7, une prise jack femelle 6.35 pour une pédale Start/Stop, et l'inter secteur M/A.
Caractéristiques:
- capacité 8100 notes ou "évènements" MIDI
- polyphonie 16 notes
- 16 canaux MIDI
- 2 pistes + 1 temporaire (mais, ce nombre devient "illimité" en mode re-recording)
- enregistrement des "évènements" (vélocité, aftertouch, molettes de pitch et de modulation, program-change, etc...)
- enregistrement en direct ou en step-by-step
- quantisation non destructrice, de la blanche à la quadruple croche
- chainage des pistes 1 et 2, répétition de lecture programmable de 1 fois à l'infini
- fonction d'édition de piste, de note ou d'évènement, avec copie "intelligente"
- synchro externe via MIDI, ou par horloge interne
- dispositif spécial d'affichage des états MIDI (?)
- sauvegarde/chargement sur K7 via prise DIN 8 broches au format spécial YAMAHA
- alimentation secteur interne (avec un trèèèès long fil de 3m, non débrochable ! ).
Alors aucun doute, qu'on aime ou pas l'esthétique assez originale de ce boitier, il est remarquablement astucieux, même s'il n'est pas au format standard rack 19'. Sa petite façade inclinée permet de travailler aussi bien assis que debout avec une bonne lisibilité dans les deux cas. Son faible débordement horizontal (9cm) permet de le placer dans un tiroir de rack 2U ou même éventuellement, grâce aux 4 trous traversants de part et d'autre du boitier, de le fixer sous un plan de travail (avec 4 longues vis), ce qui libère autant de place pour d'autres matériels de type "desktop" plus encombrants comme une table de mixage, une BàR ou un clavier-maître, par exemple. D'ailleurs, grâce à sa généreuse ventilation latérale, le QX7 ne chauffe que très peu malgré l'alimentation secteur interne, ce qui est assez rassurant pour la longévité de l'électronique. Et cerise sur le pudding, pour ceux qui auraient un TX7 encapsulé dans le même type de boitier, ces jumeaux s'empilent parfaitement, calés dans les fameux 4 trous, formant un ensemble dont les façades se prolongent avec une ergonomie très réussie.
On est loin du design pseudo-fantastico-torturé des séries YS100 et YS200 : ici c'est d'une élégante efficacité qu'il s'agit, sans la moindre faute de goût !
Une fois allumé, c'est bien du 100% YAMAHA : ceux qui ont déjà un peu tripoté les boites à rythmes de la marque (RX5, RX7, RX11, etc) vont vite retrouver leurs habitudes, y compris par le format et le codage de couleur des switchs. Les fonctions principales se font donc par des "jobs" grâce aux petits boutons dont certains sont à fonctions multiples (pour gagner de la place en façade). Les leds du tableau d'état permettent quand même de s'y retrouver facilement, d'autant que la sérigraphie du couvercle est un bon aide-mémoire. Comme pour les fameuses RX de la marque, aucun problème de fiabilité ni au niveau des switchs ni des affichages. Deux digits en LED seulement pour un séquenceur, c'est vraiment rustique, mais au moins c'est indestructible dans le temps, visible d'assez loin et dans toutes les conditions !
Son "grand frère", le QX5, a d'ailleurs été doté d'un petit écran LCD rétroéclairé nettement plus riche en informations, mais forcément un peu moins robuste...
On peut aussi parler du filtrage de données qui permet de sélectionner les évènements MIDI à enregistrer ou non dans la séquence, comme l'aftertouch ou la vélocité, par exemple. Ça permet évidemment d'économiser de précieux pas de mémoire, et par conséquent de réduire considérablement les temps de chargement/sauvegarde.
Pour se faire simplement plaisir avec une séquence de basse en boucle à la Tangerine Dream, entre le mode de répétition à l'infini, le chainage de séquences entre les pistes 1 & 2, et le filtrage de données, ça fait pas mal de fonctions sympas sur un vieux mulet de 30 ans d'âge, non ?
Son plus gros défaut c'est qu'il n'y a aucun système embarqué de sauvegarde, ni disquette ni carte-mémoire.
Quand on éteint, on efface tout !
La sauvegarde et le chargement des données MIDI du QX7 ne peuvent se faire que par la prise "CASSETTE", avec un signal audio codé en FSK (le crépitement sonore que faisaient les anciens modems analogiques). A l'époque sur magnéto à K7, c'était la galère parce que le moindre pleurage sur la bande pouvait corrompre toutes les données ! ...En revanche maintenant, on peut utiliser l’enregistrement audio digital de nos cartes-son d'ordis, plus fiable qu'une K7, même en MP3 (je l'ai même eu fait encore plus directement sur un MiniDisc). Ensuite, pour stocker une liste de séquences en FSK et les recharger en mémoire, un simple lecteur MP3 (ou un smartphone) suffit, en raccordant sa prise casque à la prise "CASSETTE" du QX7.
Les cordons spéciaux YAMAHA de l'époque sont devenus introuvables, évidemment, mais on peut facilement s'en fabriquer un pour quelques euros... Envoyez-moi un MP si vous voulez en savoir plus.
Certes, comparé à un séquenceur logiciel d'aujourd'hui, c'est du matos dépassé qui n'est même pas capable d'offrir les même prestations que le plus simple des freewares sur PC. Mais par contre ce QX7 est un vrai mulet : stable, robuste et fiable, qui fonctionne en continu pendant des jours et des nuits sans avoir à craindre le moindre bug ni plantage en plein milieu du morceau. Si ça foire quelque part, c'est à cause d'une fausse manoeuvre ou d'un mauvais paramétrage de l'utilisateur.
Personnellement, mon QX7, je l'ai eu gratos il y a quelques années, gentiment offert par le vendeur d'un clavier d'occase quand je suis venu chez lui : donc pour moi c'est un rapport qualité/prix vraiment exceptionnel !
A l'usage, je m'en suis surtout servi pour faire de courtes séquences MIDI en step-by-step sur mes expandeurs (le BeatStep d'Arturia n'existait pas encore), ou d'autres fois en live comme une sorte de looper MIDI, car il y a un mode qui permet facilement de "merger" sur le MIDI OUT du QX7 la séquence en cours de lecture avec les notes envoyées en MIDI IN par le clavier-maître, que ce soit sur le même canal ou sur des canaux différents. Effet de surprise garanti pour s'offrir un lead en impro pendant un boeuf, et encore plus spectaculaire avec un expandeur multitimbral !
Sachant que j'ai aussi dans mon home-studio un Roland MV-30, et que je bosse sur plusieurs ordis, le tout interconnecté via plusieurs patchbays MIDI, on peut comprendre que ce séquenceur plutôt rustique et sans dispositif de sauvegarde intégré ne soit pas mon séquenceur principal de travail... Mais sa grande simplicité d'utilisation et ses performances honorables m'ont rendu quelquefois d'excellents services dans certains cas particuliers, la prise de tête en moins...
Alors, pour finir :
la doc du bestiau pour ceux que ça intéresse...
un article datant de septembre 1985 : essai comparatif du QX7 avec un autre modèle de l'époque...
Quelques infos techniques pour se fabriquer un cordon audio spécial Save/Load Data pour la prise DIN "CASSETTE" à 8 broches des vieilles bécanes Yamaha (QX7, TX7, TX81Z, etc...)
Miaousicalement !
Si on se remet dans le contexte de l'époque, les puissantes solutions informatiques n'en étaient encore qu'à leurs débuts avec des tarifs qui les réservaient exclusivement aux plus gros studios. En comparaison, c'était donc une machine professionnelle fiable, compacte et performante, avec un prix qui avoisinait quand même un mois de SMIC
Présentation:
Boitier en plastique noir "desktop" très costaud, non rackable (35x24x5cm), avec des aérations sur les côtés et à l'arrière. La façade avant inclinée supporte toutes les commandes (sauf le bouton M/A) et les affichages.
Afficheur LED 2 digits + un petit tableau de 14 leds d'état. 8 petits boutons noirs de fonctions avec témoins led, 3 gros colorés pour les commandes principales (Start - Stop/Continue - Record) avec leds également, et un potard de tempo muni d'un gros bouton assez plat.
Sur le couvercle, un gros sticker en plastique épais sérigraphié rappelle schématiquement les fonctions correspondant aux "jobs"
(...Sympa, ça évite d'avoir à se replonger dans la doc chaque fois ! ).
A l'arrière un trio MIDI en DIN 5 broches, une prise DIN 8 broches pour la sauvegarde sur K7, une prise jack femelle 6.35 pour une pédale Start/Stop, et l'inter secteur M/A.
Caractéristiques:
- capacité 8100 notes ou "évènements" MIDI
- polyphonie 16 notes
- 16 canaux MIDI
- 2 pistes + 1 temporaire (mais, ce nombre devient "illimité" en mode re-recording)
- enregistrement des "évènements" (vélocité, aftertouch, molettes de pitch et de modulation, program-change, etc...)
- enregistrement en direct ou en step-by-step
- quantisation non destructrice, de la blanche à la quadruple croche
- chainage des pistes 1 et 2, répétition de lecture programmable de 1 fois à l'infini
- fonction d'édition de piste, de note ou d'évènement, avec copie "intelligente"
- synchro externe via MIDI, ou par horloge interne
- dispositif spécial d'affichage des états MIDI (?)
- sauvegarde/chargement sur K7 via prise DIN 8 broches au format spécial YAMAHA
- alimentation secteur interne (avec un trèèèès long fil de 3m, non débrochable ! ).
Alors aucun doute, qu'on aime ou pas l'esthétique assez originale de ce boitier, il est remarquablement astucieux, même s'il n'est pas au format standard rack 19'. Sa petite façade inclinée permet de travailler aussi bien assis que debout avec une bonne lisibilité dans les deux cas. Son faible débordement horizontal (9cm) permet de le placer dans un tiroir de rack 2U ou même éventuellement, grâce aux 4 trous traversants de part et d'autre du boitier, de le fixer sous un plan de travail (avec 4 longues vis), ce qui libère autant de place pour d'autres matériels de type "desktop" plus encombrants comme une table de mixage, une BàR ou un clavier-maître, par exemple. D'ailleurs, grâce à sa généreuse ventilation latérale, le QX7 ne chauffe que très peu malgré l'alimentation secteur interne, ce qui est assez rassurant pour la longévité de l'électronique. Et cerise sur le pudding, pour ceux qui auraient un TX7 encapsulé dans le même type de boitier, ces jumeaux s'empilent parfaitement, calés dans les fameux 4 trous, formant un ensemble dont les façades se prolongent avec une ergonomie très réussie.
On est loin du design pseudo-fantastico-torturé des séries YS100 et YS200 : ici c'est d'une élégante efficacité qu'il s'agit, sans la moindre faute de goût !
Une fois allumé, c'est bien du 100% YAMAHA : ceux qui ont déjà un peu tripoté les boites à rythmes de la marque (RX5, RX7, RX11, etc) vont vite retrouver leurs habitudes, y compris par le format et le codage de couleur des switchs. Les fonctions principales se font donc par des "jobs" grâce aux petits boutons dont certains sont à fonctions multiples (pour gagner de la place en façade). Les leds du tableau d'état permettent quand même de s'y retrouver facilement, d'autant que la sérigraphie du couvercle est un bon aide-mémoire. Comme pour les fameuses RX de la marque, aucun problème de fiabilité ni au niveau des switchs ni des affichages. Deux digits en LED seulement pour un séquenceur, c'est vraiment rustique, mais au moins c'est indestructible dans le temps, visible d'assez loin et dans toutes les conditions !
Son "grand frère", le QX5, a d'ailleurs été doté d'un petit écran LCD rétroéclairé nettement plus riche en informations, mais forcément un peu moins robuste...
On peut aussi parler du filtrage de données qui permet de sélectionner les évènements MIDI à enregistrer ou non dans la séquence, comme l'aftertouch ou la vélocité, par exemple. Ça permet évidemment d'économiser de précieux pas de mémoire, et par conséquent de réduire considérablement les temps de chargement/sauvegarde.
Pour se faire simplement plaisir avec une séquence de basse en boucle à la Tangerine Dream, entre le mode de répétition à l'infini, le chainage de séquences entre les pistes 1 & 2, et le filtrage de données, ça fait pas mal de fonctions sympas sur un vieux mulet de 30 ans d'âge, non ?
Son plus gros défaut c'est qu'il n'y a aucun système embarqué de sauvegarde, ni disquette ni carte-mémoire.
Quand on éteint, on efface tout !
La sauvegarde et le chargement des données MIDI du QX7 ne peuvent se faire que par la prise "CASSETTE", avec un signal audio codé en FSK (le crépitement sonore que faisaient les anciens modems analogiques). A l'époque sur magnéto à K7, c'était la galère parce que le moindre pleurage sur la bande pouvait corrompre toutes les données ! ...En revanche maintenant, on peut utiliser l’enregistrement audio digital de nos cartes-son d'ordis, plus fiable qu'une K7, même en MP3 (je l'ai même eu fait encore plus directement sur un MiniDisc). Ensuite, pour stocker une liste de séquences en FSK et les recharger en mémoire, un simple lecteur MP3 (ou un smartphone) suffit, en raccordant sa prise casque à la prise "CASSETTE" du QX7.
Les cordons spéciaux YAMAHA de l'époque sont devenus introuvables, évidemment, mais on peut facilement s'en fabriquer un pour quelques euros... Envoyez-moi un MP si vous voulez en savoir plus.
Certes, comparé à un séquenceur logiciel d'aujourd'hui, c'est du matos dépassé qui n'est même pas capable d'offrir les même prestations que le plus simple des freewares sur PC. Mais par contre ce QX7 est un vrai mulet : stable, robuste et fiable, qui fonctionne en continu pendant des jours et des nuits sans avoir à craindre le moindre bug ni plantage en plein milieu du morceau. Si ça foire quelque part, c'est à cause d'une fausse manoeuvre ou d'un mauvais paramétrage de l'utilisateur.
Personnellement, mon QX7, je l'ai eu gratos il y a quelques années, gentiment offert par le vendeur d'un clavier d'occase quand je suis venu chez lui : donc pour moi c'est un rapport qualité/prix vraiment exceptionnel !
A l'usage, je m'en suis surtout servi pour faire de courtes séquences MIDI en step-by-step sur mes expandeurs (le BeatStep d'Arturia n'existait pas encore), ou d'autres fois en live comme une sorte de looper MIDI, car il y a un mode qui permet facilement de "merger" sur le MIDI OUT du QX7 la séquence en cours de lecture avec les notes envoyées en MIDI IN par le clavier-maître, que ce soit sur le même canal ou sur des canaux différents. Effet de surprise garanti pour s'offrir un lead en impro pendant un boeuf, et encore plus spectaculaire avec un expandeur multitimbral !
Sachant que j'ai aussi dans mon home-studio un Roland MV-30, et que je bosse sur plusieurs ordis, le tout interconnecté via plusieurs patchbays MIDI, on peut comprendre que ce séquenceur plutôt rustique et sans dispositif de sauvegarde intégré ne soit pas mon séquenceur principal de travail... Mais sa grande simplicité d'utilisation et ses performances honorables m'ont rendu quelquefois d'excellents services dans certains cas particuliers, la prise de tête en moins...
Alors, pour finir :
la doc du bestiau pour ceux que ça intéresse...
un article datant de septembre 1985 : essai comparatif du QX7 avec un autre modèle de l'époque...
Quelques infos techniques pour se fabriquer un cordon audio spécial Save/Load Data pour la prise DIN "CASSETTE" à 8 broches des vieilles bécanes Yamaha (QX7, TX7, TX81Z, etc...)
Miaousicalement !
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Fiche technique
- Fabricant : Yamaha
- Modèle : QX7
- Catégorie : Séquenceurs hardware
- Fiche créée le : 07/03/2004
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