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Friday's Freeware : RubberDuck

Le freeware de cette semaine a été réalisé par un pionnier des synthés software, D-lusion, et n'est autre que RubberDuck, une des premières émulations de la fameuse TB-303 à avoir vu le jour avec ReBirth.

Le modèle de synthèse de Rubber­Duck repose sur un oscil­la­teur possé­dant un filtre réso­nant combiné à un séquen­ceur, et permet de retrou­ver le grain qui a fait les belles heures de l’Acid House ou de la Trance Goa. Le programme possède 4 formes d’ondes de base, des filtres temps réels, des enve­loppes de volume et de fréquence, un séquen­ceur de 224 notes et une unité d’ef­fets.

Voici le reste des carac­té­ris­tiques du Rubber­Duck:
  • Synthé­ti­seur Soft­ware Stan­da­lone.
  • 5 oscil­la­teurs stan­dard.
  • Double oscil­la­teur incluant du « morphing ».
  • Filtres réso­nants temps réel.
  • Inter­face graphique avec support de skins.
  • Enve­loppes de fréquences et de volumes.
  • Séquen­ceur de 256 notes.
  • Effets sonores : réver­bé­ra­tion, distor­sion.
  • Qualité 16 bit / 44.1 Khz.
  • Compa­tible MIDI.
  • Rendu en WAV
  • Groove section pour les boucles de batte­ries.
Pour télé­char­ger le soft, rendez-vous sur la page de D-Lusion.
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    Grégoire Nachbauer(Red Led)
    Auteur·rice de l’article

    J'ai commencé à pratiquer la musique avec des cours de piano et de violoncelle à 6 ans, mais la passion n'a vraiment débuté qu'à l'âge de 12 ans, lorsque j'ai commencé à me pencher sérieusement sur la guitare, afin de former mes premiers groupes, écrire mes premières compositions, jouer mes premiers concerts et enregistrer mes premières maquettes. Après des études scientifiques, j'ai intégré l’ISTS, une filière de l’ESRA, puis j’ai enrichi mon expérience en travaillant en studio dans les secteurs de la musique et du son à l’image, ainsi que dans le domaine du spectacle, notamment le théâtre. Ces expériences variées m’ont permis de développer une compréhension approfondie des différents aspects de la production sonore, ce qui m'a préparé idéalement pour assumer d'abord le rôle de rédacteur, puis celui de rédacteur en chef chez Audiofanzine. Je mets à profit ces compétences pour offrir un contenu écrit et vidéo précis et engageant, tout en veillant à ce que nos publications répondent aux attentes de nos lecteurs et spectateurs. Mon rôle implique également de maintenir des relations solides avec les professionnels de la musique et du son, assurant ainsi une communication fluide et efficace.