Perte de qualité a l'exportation
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Geff
J'ai fait un petit morceau en utilisant des vsti sur Sonar. Quand je joue ou que jecoute mon enregistrement la qualité y est: les graves ressortent bien et la largeur stéréo y est ( on sent bien le coté abyssal large etc...).
Mais quand je l'exporte la largeur a perdu énormément et les grave de la batterie ne ressortent pu autant que dans le mix originel.
J'ai essayé l'exportation en wave plutot que mp3 mais meme chose. Je ne comprend pas d'ou cela viens, donc si qqn pouvait me donner une solution ou orienté mes recherches ca serait super
Merci d'avance a tous
Anonyme
JM
Geff
Je veux pas faire le boulet mais je débute.
rroland
Par contre,à quelle fréquence travailles-tu (44.1, 48, 88.2, 96 kHz) et dans quelle quantification (16 bit, 24 bit, 32 bit?)
Idéalement, tu dois exporter dans le même format (donc en gardant les fréquences d'échantillonnage et la même quantification).
Geff
Une info que je n'ai pas précisé qui pourrait peut etre avoir son importance je ne sais pas:
Je me sert de la carte son externe guitar rig session pour le son sur sonar. Jai fait sortir le son de la sortie ecouteur du boitier vers l'entrée ligne de ma carte son interne du pc pour faire une boucle. A cette derniere est branché mon 5.1.
Dans windows la carte son par défault est la carte son interne.
Anonyme
tu trouvera sans doute des threads qui concerne le bounce, le format et les fréquences d'échantillonnages
ton problème ici ne concerne pas la technique de son proprement dite mais plutôt l'utilisation de ton matériel
bonne recherche
Geff
Si jamais vous avez d'autre idée pour ce probleme qui pourrait venir de la technique n'hésitez surtouuuuuut pas :p
Je suis également preneur de site ou conseil m'aidant a mixer, car comme je l'ai vusur le forum, on a tendance a vouloir aller trop vite au mastering sans savoir mixer, et donc je voudrais m'assurer de faire du travail propre deja pour mon niveau.
JE comprend que je dois chercher par moi meme, mais dans le cas de mon probleme j'aimerais identifer le probleme pour pouvoir justement comprendre et m'améliorer
Que de demande n'es ce pas? Mais y'a tellement de gens compétent ici
Anonyme
JM
Anonyme
je sais c'est rebutant, c'est long, on comprend pas tout au premier,... mais ca te permettra de t'imprégner de la logique de ta surface de travail
ensuite, tu peux lire l'excellent article de roger roland sur les niveaux et l'audionumérique que je me permet de copier coller ici :
Hors sujet : Quel est le bon niveau pour enregistrer et mixer ?
LES NIVEAUX AUDIO
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Nous recevons régulièrement des titres à mixer ou à masteriser qui ne possèdent pas des niveaux corrects. Il semble nécessaire de rappeler quelques règles simples permettant à chacun d'améliorer sa technique et la qualité de son travail.
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L' ENREGISTREMENT
Pour enregistrer en numérique, on peut résumer de manière simple ce qui est nécessaire : un micro, un préampli et un convertisseur analogique/numérique. Le micro capte la source, le préampli amplifie cette source (souvent de manière importante, de l'ordre de 1 pour 1000) et le convertisseur encode les signal reçu en données numériques. Généralement en 24 bit à l'heure actuelle (oubliez le 16 bit, c'est dépassé).
En analogique, les choses étaient simples : les Vu-mètre du préampli et de l'enregistreur indiquaient la même chose. En numérique, c'est quelque peu différent. Votre station de travail numérique ne possède pas un Vu-mètre, mais un crêtemètre (Peakmeter en anglais). Et celui ci vous donne le « niveau maximum acceptable » pour l'enregistrement numérique, et son échelle n'est pas la même que le Vu-mètre analogique.
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Si vous en avez la possibilité, réalisez le test suivant : envoyez un signal stable dans votre préampli, de manière à ce que son Vu-mètre mentionne « 0 Vu ». Regardez maintenant votre crêtemètre sur votre station de travail (votre logiciel d'enregistrement par exemple). Qu'indique-t-il ? - 14 dBFS (FS voulant dire : « Full Scale »). Cela veut donc dire que lorsque vous enregistrez avec votre crêtemètre indiquant « 0 dBFS » votre préampli analogique est lui à + 14 dB, soit en surcharge. Si les préamplis haut de gamme acceptent de « passer dans le rouge » sans broncher (voire même parfois avec un son intéressant), les préamplis plus « moyen de gamme » comme ceux qu'on trouve habituellement en home studio permettent rarement d'entrer dans le rouge sans dégradation sonore.
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Or, travailler à –14 dBFS en 24 bit ne pose aucun problème. Pourquoi ? Chaque bit représente une dynamique théorique de 6 dB. Donc à –12 dBFS nous sommes en 22 bit, soit encore bien assez pour obtenir une excellente qualité sonore. Le 20 bit étant suffisant pour obtenir une qualité idéale, les 4 bit supplémentaires constituent une réserve. Travailler à –14 dBFS permettra donc surtout de garder un signal exempt de distorsion. Car une erreur multipliée par le nombre de pistes que compte votre enregistrement risque de faire ressembler votre création à quelque chose de peu agréable à écouter, pour le dire gentiment.
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LE MIXAGE
Ici aussi il y a des règles idéales à respecter. Première erreur courante : croire que le master fader peut résoudre tous les problèmes. Imaginons une table de mixage avec le « Master Fader » à « 0 dB » (genre aux ¾ de sa course). Quand on regarde le peakmètre de cette piste, on constate qu'on est au-dessus du 0dBFS et donc que le son est distordu. Le premier réflexe serait de baisser le fader master. Erreur fatale ! En effet, ce qui entre dans votre piste « master » est toujours en surcharge, mais vous avez simplement baissé le niveau de sortie. Alors que la distorsion était présente à l'entrée. La solution dans ce cas aurait été de laisser le fader master sur « 0 dB » et de baisser les pistes individuelles.
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En effet, pour obtenir une lecture fiable de votre peakmètre « master » le fader correspondant doit obligatoirement être placé sur « 0 dB ». Là, vous saurez exactement ce qui entre dans votre piste « master ». Ceci est aussi valable pour les sous groupes : pour contrôler ce qui entre dans votre sous groupe, placez votre fader sur "0 dB".
Et si vous souhaitez effectuer un mastering de votre mixage, vous ne devriez idéalement pas moduler plus haut que –12 dBFS sur votre peakmètre « master ». Moduler de temps à autre jusque – 6 dBFS sera sans conséquence. Donc en gros votre mix peut moduler entre -12 dBFS et - 6dBFS.
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Pourquoi est-il nécessaire de prévoir une telle réserve ? Simplement parce qu'il est possible que le mastering se fasse en tout ou en partie à l'aide d'appareils analogiques (toutes les maisons de mastering sérieuses utilisent encore quotidiennement des machines analogiques genre Manley, GML, Summit Audio, Focusrite, etc.). Dans ce cas si votre mix numérique sonne à « 0 dBFS », vous risquez, comme on l'a vu plus haut de saturer à l'entrée de ces machines.
A supposer que le mastering se fasse entièrement en numérique et que pour telle ou telle bonne raison il soit nécessaire d'amplifier une fréquence de quelques dB. Si votre mix module à 0dBFS, cela ne sera pas possible, sous peine de distorsion numérique ( c'est TRES laid !). Alors que si vous aviez laissé de la marge comme expliqué plus haut, cette opération ne poserait aucun problème.
Bien entendu, il sera possible de baisser le niveau de la piste stéréo que vous avez envoyée. Mais s'il y a moyen de ne pas effectuer cette opération, ce sera encore mieux. Chaque opération numérique engendre un calcul susceptible de dégrader la qualité sonore, la règle « less is more » est d'application. Baisser le niveau pour le monter ensuite n'est sans doute pas l'idéal, vous en conviendrez.
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Au final, le niveau de votre CD masterisé sonnera aussi fort, que vous fournissiez une piste audio à masteriser qui module à –12 dBFS ou à 0 dBFS. Donc autant ne pas prendre de risques et fournir directement la base la plus efficace. En effet, il sera dès lors possible pour le mastering de réaliser un travail de meilleure qualité. Imaginons un mix où chaque piste enregistrée rend un son légèrement dégradé par la faute d'écrêtage du préampli. Lorsqu'on va écouter le mixage, il risque de sonner agressif et peu défini. Le mastering va monter le niveau sonore, et aussi les petits défauts du mix, qui deviendront grands. Il ne sera dès lors sans doute pas possible de faire sonner aussi fort un mix légèrement distordu qu'un enregistrement/mixage correctement réalisé.
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En effet, un mastering est toujours un compromis : on fait sonner plus fort, au prix d'une légère dégradation sonore et dynamique. Plus votre mix sonnera clair et pur, plus il sera possible de faire sonner fort sans dégradation notable. C'est aussi pour cela qu'il vaut mieux fournir un mix aéré et sans compression plutôt qu'un mix surcompressé. Mais ceci est une autre histoire…qui fera sans doute l'objet d'un autre article.
après tout ca, il y'as de très bon site comme ziggysono ou meme les pédago d'audiofazine qui sont très bien fourni
Anonyme
Hors sujet : Concernant (l'excellent) article de Rroland sur les niveaux, ça serait ptet pas mal de le mettre en post it, ça me semble évident que ça servirait à pas mal de monde.
Comme celui qui l'a écrit est aussi modérateur de ce site, ça devrait pas poser de problemes de fond.
Enfin je dis ça je dis rien...
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