Quel bac choisir pour devenir technicien son ?
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Loïc Dos Santos
1
Nouvel·le AFfilié·e
Membre depuis 8 ans
Sujet de la discussion Posté le 06/08/2016 à 19:04:34Quel bac choisir pour devenir technicien son ?
Bonjour ! Je vais passer en 3ème et j'aimerai éviter les bacs généraux ( c'est assez soulant à la longue ). Et j'aimerai faire un bac pro ou un bac technologique. Quel bac me conseiller vous pour pouvoir faire ce métier sainement et sans problème ?
Merci de vos réponses.
Cordialement.
Merci de vos réponses.
Cordialement.
Snooze
91
Posteur·euse AFfranchi·e
Membre depuis 21 ans
2 Posté le 06/08/2016 à 19:28:15
Salut Loïc,
ayant moi-même fait une école de son après un bac pro je pense pouvoir un peu t'orienter.
A mon avis l'idéal serait un bac "electro-technique", ça te donnera de bonnes bases pour le fonctionnement et l'entretien des machines.
Sinon un bac ou il y a une grosse utilisation de l'informatique (moi j'ai fais "industries graphiques", spécialité mise-en-page), tu y prendras de bonnes habitudes et l'ordinateur deviendra vite un 6ème sens.
En tout cas je t'encourage dans cette voie. Les bacs pro ont souvent une image négative, mais ce n'est absolument pas justifié.
Tu y apprendras un vrai métier par des professsionels, et tu n'auras pas de problèmes à trouver un emploi (bien moins qu'un doctorant en langue ou en socio par ex. ...)
En tout cas je pense personellement qu'un bac est INDISPENSABLE ! La plupart des écoles ou des employeurs demandent de l'avoir (mais pour 90% d'entre eux que ce soit un bac S mention TB ou un bac pro coiffure, c'est la même chose.).
En revanche, si tu ne l'as pas, sans vouloir te mettre la pression, tu vas juste galérer jusqu'à la fin de ta vie pour le moindre boulot ; et puis oublis la moindre école derrière...
amicalement.
ayant moi-même fait une école de son après un bac pro je pense pouvoir un peu t'orienter.
A mon avis l'idéal serait un bac "electro-technique", ça te donnera de bonnes bases pour le fonctionnement et l'entretien des machines.
Sinon un bac ou il y a une grosse utilisation de l'informatique (moi j'ai fais "industries graphiques", spécialité mise-en-page), tu y prendras de bonnes habitudes et l'ordinateur deviendra vite un 6ème sens.
En tout cas je t'encourage dans cette voie. Les bacs pro ont souvent une image négative, mais ce n'est absolument pas justifié.
Tu y apprendras un vrai métier par des professsionels, et tu n'auras pas de problèmes à trouver un emploi (bien moins qu'un doctorant en langue ou en socio par ex. ...)
En tout cas je pense personellement qu'un bac est INDISPENSABLE ! La plupart des écoles ou des employeurs demandent de l'avoir (mais pour 90% d'entre eux que ce soit un bac S mention TB ou un bac pro coiffure, c'est la même chose.).
En revanche, si tu ne l'as pas, sans vouloir te mettre la pression, tu vas juste galérer jusqu'à la fin de ta vie pour le moindre boulot ; et puis oublis la moindre école derrière...
amicalement.
EraTom
2282
AFicionado·a
Membre depuis 13 ans
3 Posté le 08/08/2016 à 17:00:14
Citation :
Euh... Non. Sans condescendance, il ne faut quand-même pas pousser.La plupart des écoles ou des employeurs demandent de l'avoir (mais pour 90% d'entre eux que ce soit un bac S mention TB ou un bac pro coiffure, c'est la même chose.).
Pour faire un BTS (ou niveau équivalent) il vaut mieux viser a minima un bac technique. Avec un bac pro ce n'est pas impossible mais il faudra redoubler d'effort pour rattraper les lacunes théoriques en plus de suivre l'enseignement du BTS à proprement parler.
Je ne cherche pas à dénigrer un enseignement, je dis juste que la complexité va croissante et que la marche sera d'autant plus grande : Si tu as peur que la marche soit trop grande à la sortie du collège elle le sera d'autant plus à la sortie du lycée.
Et puis, discours de vieux con, avec les années on regrette rarement d'avoir appris des choses qui ne nous servent pas tout le temps, alors qu'avoir des manques...
joulss781
23
Nouvel·le AFfilié·e
Membre depuis 19 ans
4 Posté le 10/08/2016 à 13:40:04
Citation de Loïc :
Bonjour ! Je vais passer en 3ème et j'aimerai éviter les bacs généraux ( c'est assez soulant à la longue ). Et j'aimerai faire un bac pro ou un bac technologique. Quel bac me conseiller vous pour pouvoir faire ce métier sainement et sans problème ?
Merci de vos réponses.
Cordialement.
Tout dépend de ce que tu veux faire post bac, si tu vises une école genre Louis Lumière, ou bien une école privée comme la SAE... dans le cas de Louis Lumière, Bac S obligatoire + BTS/DUT dans le domaine de la physique, les écoles privées tant que tu craches au bassinet, tu rentreras... quel que soit le bac.
Je ne saurai pas trop te conseiller ayant fait mes études aux US (à l'époque il n'y avait pas d'école type SAE ici, que des BTS audiovisuels), là bas c'est très différent, peu de théorie, tu passes tes journées à utiliser les consoles et Pro Tools... ce que je peux te dire en revanche, c'est que dans le quotidien d'un ingé son (enfin plutôt technicien son pour être précis), le client ne te demandera pas de calculer des logarithmes népériens ou autres joyeusetés migraineuses, on te demandera juste que ça sonne.
C'est un job où on a surtout besoin de feeling et d'une paire d'oreilles en pas trop mauvais état, bien sûr il faut comprendre un minimum comment toutes ces machines fonctionnent, mais il faut surtout savoir s'en servir. Je connais des mecs qui ont fait bac S + école audiovisuelle pendant 5 ans et qui mixent comme des brêles, d'autres qui n'ont fait quasiment aucune étude et qui sont très doués... Je trouve qu'en France on a un système scolaire trop pompeux et trop théorique où on veut inculquer énormément de connaissances abstraites mais peu de pratique - mais bon c'est un autre sujet et je ne vais pas dévier.
Ceci dit si tu ne veux pas de bac général et que tu ne veux pas te fermer trop de portes (le bac pro va t'en fermer beaucoup), mieux vaut partir sur un bac technologique genre STI par exemple.
Bon courage à toi.
globule_655
1941
AFicionado·a
Membre depuis 16 ans
5 Posté le 10/08/2016 à 14:12:06
Citation de joulsscali :
à l'époque il n'y avait pas d'école type SAE ici, que des BTS audiovisuels
Sans vouloir détourner le sujet... la SAE est en France depuis 1994. Tu avais donc autour de 9 ans si on en croit ton profil...
Sinon pour répondre à la question de base, une filière d'étude la plus large possible est à préférer. Pourquoi ? Parce que le secteur audiovisuel est dans une grande période de bouleversement (en crise pour faire court) et rien ne dit qu'il sera toujours pourvoyeur d'emplois stables dans ne serait-ce que les 10 ans à venir (c'est déjà très dur aujourd'hui). De ce fait, viser un bac et des études permettant par la suite de pouvoir se réorienter facilement au cas où est à préférer.
Si la seule alternative après s'être investi X années dans un cul de sac est de faire la caisse au Simply du coin ou vendre des télés à carrefour (ou peu importe le job, je ne cherche pas à dénigrer quoi que ce soit), ça peut être difficile à vivre quand on avait d'autres ambitions.
D'ailleurs comme l'a si bien dit EraTom, on ne regrette jamais d'en avoir trop appris, on ne regrette que son ignorance.
Peace
Glob
L'abeille coule, l'abeille coule, l'abeille coule, l'abeille coule, l'abeille coule, l'abeille coule....
Anonyme
986
6 Posté le 10/08/2016 à 16:15:33
Citation :
à l'époque il n'y avait pas d'école type SAE ici, que des BTS audiovisuels
Bien sur que si!
Même si cela n'existe plus je suis CERIS16, seizième promo "Marc Chevalier", 1988/1990, du Centre D’Étude et de Recherche de l'Image et du Son , Château de Montvillargenne, Gouvieux, la première promo date de 72.
Le BTS d'audiovisuel n’existait pas.
Pour le BAC, le plus général possible.
joulss781
23
Nouvel·le AFfilié·e
Membre depuis 19 ans
7 Posté le 10/08/2016 à 17:14:59
Citation de globule_655 :
Citation de joulsscali :à l'époque il n'y avait pas d'école type SAE ici, que des BTS audiovisuels
Sans vouloir détourner le sujet... la SAE est en France depuis 1994. Tu avais donc autour de 9 ans si on en croit ton profil...
Mais à 9 ans je voulais déjà être ingé son
Plus sérieusement, en étant au lycée je n'avais aucune connaissance de toutes les écoles existantes. On nous parlait que du sacro-saint BTS audiovisuel ou de l'inaccessible Louis Lumière. Et puis de toutes façons je voulais me casser donc bon... mon choix était un peu biaisé on va dire
Mais pour en revenir au sujet initial, mieux vaut en effet un bac le plus général possible en cas d'échappatoire pour refaire autre chose, ceci dit notre ami nous a dit qu'il voulait justement éviter un bac général. Je pense que dans ce cas un bac techno serait préférable à un bac pro qui, pour le coup, lui fermera beaucoup de portes.
Quant à la crise dans le milieu audiovisuel, beaucoup s'en plaignent en effet, en ce qui me concerne je n'ai jamais eu autant de boulot que depuis 4 ans, et ça ne fait qu'augmenter de façon exponentielle... alors qu'on m'avait quand même promis une vie précaire si je décidais de faire ce job... après je bosse à mon compte et dans un secteur spécifique, donc surement que chaque expérience est différente, mais il ne faut pas trop être pessimiste non plus.
EraTom
2282
AFicionado·a
Membre depuis 13 ans
8 Posté le 11/08/2016 à 08:27:55
Citation :
Notre jeune ado sort de la troisième et essaie d'en faire le moins possible.ceci dit notre ami nous a dit qu'il voulait justement éviter un bac général.
De toute manière, quelque soit le chemin qu'il choisit il devra fournir un effort pour arriver au niveau qu'il vise. On n'a rien s'en rien.
Louis Lumière n'est pas inaccessible mais il faut s'enlever le doigt pour y rentrer. Idem pour l'IRCAM.
Il existe bien d'autres alternatives, dont des formations universitaires PUBLIQUES, si l'on souhaite être ingénieur avec un véritable bac+5 (et pas une formation emtubulatoire sauce SAE).
Des BTS audiovisuels proposent la formation en alternance, c'est à dire la plupart du temps immergé dans le milieu de son futur boulot et rémunéré, donc avec une grosse part pour la pratique.
globule_655
1941
AFicionado·a
Membre depuis 16 ans
9 Posté le 11/08/2016 à 10:43:34
Citation de joulsscali :
Quant à la crise dans le milieu audiovisuel, beaucoup s'en plaignent en effet, en ce qui me concerne je n'ai jamais eu autant de boulot que depuis 4 ans, et ça ne fait qu'augmenter de façon exponentielle... alors qu'on m'avait quand même promis une vie précaire si je décidais de faire ce job... après je bosse à mon compte et dans un secteur spécifique, donc surement que chaque expérience est différente, mais il ne faut pas trop être pessimiste non plus.
Il ne s'agit pas d'être pessimiste mais de constater une réalité du secteur dans lequel on évolue.
Le regain d'activité que l'on connaît depuis quelques temps n'est pas signe de meilleure santé du secteur dans le sens où les projets d'aujourd'hui nous font travailler deux fois plus dur, prennent deux fois plus de temps, le tout pour deux fois moins d'argent. C'est une tendance qui s'est installée confortablement sur la dernière décénie, voire les deux dernières et ne fait que s'accentuer sans donner de signe pouvant faire espérer un retour en arrière.
Il est donc totalement légitime (et preuve de bon sens) de se préparer à ce que ce secteur d'activité finisse par ne plus être viable à long terme. D'un point de vue personnel, cela fait déjà 3 fois que j'adapte mon business model pour continuer à être rentable (transition au freelancing pour élargir la clientèle, aménagement d'une mix room à la maison pour diminuer les frais de fonctionnement puis diversification de l'activité et des services proposés), comme la plupart des professionnels du secteur d'ailleurs. Déjà ça en soit est signe que la météo n'est pas au beau fixe.
Le truc c'est que quand on a 20 ans, travailler comme un chinois autiste pour des cacahuètes en mangeant des pâtes au beurre tous les jours ça peut passer si on a la passion. Passé un certain âge et qu'on commence à avoir des projets comme acheter un logement, fonder une famille ou même simplement s'assurer un niveau de vie confortable pour l'avenir c'est une toute autre histoire.
Il y a des questions toutes simples à se poser. Par exemple, tu as 31 ans. Comment te vois-tu dans 20 ans professionnellement en se basant sur la situation actuelle ? Comment cela joue(ra)-t-il sur ta vie personnelle (ta famille, ta santé, ta vie sociale...etc) ? Le jour où ta santé ne te permettra plus de continuer, ta situation de permettra-t-elle de t'arrêter sans soucis ou d'assurer une transition en douceur ? etc
Tout ça pour dire que notre ami se demandant quel bac choisir a tout intérêt à ne pas choisir la solution de facilité car non seulement une telle solution n'existe pas mais en plus, il n'y a pas vraiment de place pour la feignantise dans ce secteur.
Peace
Glob
L'abeille coule, l'abeille coule, l'abeille coule, l'abeille coule, l'abeille coule, l'abeille coule....
joulss781
23
Nouvel·le AFfilié·e
Membre depuis 19 ans
10 Posté le 11/08/2016 à 12:56:22
Citation de globule_655 :
Citation de joulsscali :
Quant à la crise dans le milieu audiovisuel, beaucoup s'en plaignent en effet, en ce qui me concerne je n'ai jamais eu autant de boulot que depuis 4 ans, et ça ne fait qu'augmenter de façon exponentielle... alors qu'on m'avait quand même promis une vie précaire si je décidais de faire ce job... après je bosse à mon compte et dans un secteur spécifique, donc surement que chaque expérience est différente, mais il ne faut pas trop être pessimiste non plus.
Il ne s'agit pas d'être pessimiste mais de constater une réalité du secteur dans lequel on évolue.
Le regain d'activité que l'on connaît depuis quelques temps n'est pas signe de meilleure santé du secteur dans le sens où les projets d'aujourd'hui nous font travailler deux fois plus dur, prennent deux fois plus de temps, le tout pour deux fois moins d'argent. C'est une tendance qui s'est installée confortablement sur la dernière décénie, voire les deux dernières et ne fait que s'accentuer sans donner de signe pouvant faire espérer un retour en arrière.
Il est donc totalement légitime (et preuve de bon sens) de se préparer à ce que ce secteur d'activité finisse par ne plus être viable à long terme. D'un point de vue personnel, cela fait déjà 3 fois que j'adapte mon business model pour continuer à être rentable (transition au freelancing pour élargir la clientèle, aménagement d'une mix room à la maison pour diminuer les frais de fonctionnement puis diversification de l'activité et des services proposés), comme la plupart des professionnels du secteur d'ailleurs. Déjà ça en soit est signe que la météo n'est pas au beau fixe.
Le truc c'est que quand on a 20 ans, travailler comme un chinois autiste pour des cacahuètes en mangeant des pâtes au beurre tous les jours ça peut passer si on a la passion. Passé un certain âge et qu'on commence à avoir des projets comme acheter un logement, fonder une famille ou même simplement s'assurer un niveau de vie confortable pour l'avenir c'est une toute autre histoire.
Il y a des questions toutes simples à se poser. Par exemple, tu as 31 ans. Comment te vois-tu dans 20 ans professionnellement en se basant sur la situation actuelle ? Comment cela joue(ra)-t-il sur ta vie personnelle (ta famille, ta santé, ta vie sociale...etc) ? Le jour où ta santé ne te permettra plus de continuer, ta situation de permettra-t-elle de t'arrêter sans soucis ou d'assurer une transition en douceur ? etc
Tout ça pour dire que notre ami se demandant quel bac choisir a tout intérêt à ne pas choisir la solution de facilité car non seulement une telle solution n'existe pas mais en plus, il n'y a pas vraiment de place pour la feignantise dans ce secteur.
Peace
Glob
A l'heure actuelle c'est un peu ça dans tous les domaines, pas seulement le son. Dans beaucoup d'activités il faut s'adapter sans cesse aux demandes qui évoluent. On nous parle par exemple beaucoup de "l'uberisation". Je pense qu'on est dans une époque de transition où le marché est en train de changer profondément (et encore une fois, pas que dans le son). Quand t'écoutes les différents acteurs de bon nombre d'activités, il y a un peu les gagnants et les perdants, les nouveau venus opportunistes qui profitent de la nouvelle tendance et les vieux de la vieille qui ne veulent / peuvent pas s'adapter et bossent à perte.
Comme toi j'ai adapté mon business model plusieurs fois. Au début j'avais un studio où je faisais de l'enregistrement, je recevais des clients, etc... maintenant je bosse exclusivement en ligne. C'est aussi un choix, une tranquillité, pour éviter d'avoir n'importe qui au studio et éviter les problèmes. C'est beaucoup plus rentable de cette manière, car moins de charges. Je gagne beaucoup mieux ma vie maintenant qu'il y a 10 ans, pas seulement grâce à ce nouveau business model, mais grâce aussi à l'augmentation du nombre de clients de jours en jours depuis quelques années. Ca ne veut pas dire que la qualité en pâtit, loin de là, je pense faire un meilleur travail qu'il y a 10 ans. Mais je me suis adapté car les demandes des clients évoluent. Beaucoup d'artistes maintenant n'ont plus besoin d'aller en studio pour enregistrer, et n'ont plus les mêmes besoins. Pour nous ingés, on peut voir ça comme une précarisation, perso je ne vois pas ça comme un signe de mauvaise santé du secteur, ni d'une régression, mais plutôt comme une évolution, même si forcément là encore il y a des gagnants et des perdants. Un peu comme Uber par rapport aux taxis. En plus avec le développement d'internet et des réseaux sociaux, beaucoup plus d'artistes se lancent et du coup la demande augmente (même si à l'heure actuelle le succès est très éphémère mais c'est un autre sujet).
Pour répondre à ta question, dans 20 ans si je suis toujours là et que j'ai toujours mes oreilles, et que notre métier existe toujours, je compte continuer ce que je fais, même si d'ici là j'aurais surement eu besoin de m'adapter. Maintenant si c'est pas possible, je me reconvertirai dans autre chose. Aujourd'hui il faut savoir rebondir, on ne peut plus se dire qu'on fait telles études pour faire le même job toute sa vie. Et toi à 111 ans, as-tu pensé à la retraite ?
[ Dernière édition du message le 11/08/2016 à 13:02:01 ]
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