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Sujet de la discussionPosté le 19/02/2011 à 15:20:15Les altérations accidentelles
Hello,
Nous sommes d'accord une altérations accidentelle n'est valable qu'une mesure, par ex. un do# restera # toute la mesure (sauf si bécarre bien sur).
Ma question est :
A quelle periode cette règle à changée ? dans certains morceaux les altérations accidentelles affectent les notes jusqu'à la fin.
Merci
lodeli
596
Posteur·euse AFfolé·e
Membre depuis 20 ans
2Posté le 19/02/2011 à 16:36:53
cette regle est en vigueur depuis les debuts du systeme d'ecriture classique au XVI eme siecle et reste toujours vraie. seule une modulation avec changement de tonalité à la clé peut appoerter une modification permanente.
On écrivait encore à la Renaissance sans barres de mesures; pour faciliter la tâche des choristes actuels, on chante encore de belles œuvres de cette époque, les éditeurs en ont placé mais si c'est plus ou moins bien fait vous aurez pu rencontrer une altération qui n'aurait pas dû dans son effet être interrompue par les barres de mesures à l'origine inexistantes.
On voit souvent des bémols (utilisés avant les dièses) indiquées au-dessus de la note.
En sol mineur au-dessus des "si".
On est dérouté comme quand on lit du français de cette même époque.Les codes habitudes et notations changent.
Approfondir cette question serait plus facile en étudiant u naperçu d'une partition qui vous a étonné.
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[ Dernière édition du message le 01/07/2014 à 23:11:28 ]