sextolet
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clemblod
10
Nouvel·le AFfilié·e
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Anonyme
219
bah, déjà, tu joues de quel instrument ? guitare, basse ou batterie ? ou autre chose, mais à mon avis dans un groupe de métal, y'a pas autre chose 
Donc si c'est pour une guitare, je vois trois solutions :
- Jouer les sextolets uniquement en hammer-on et pull-off
- Jouer en tapping
- jouer un peu à la Mark Knopfler, sans médiator : au lieu d'avoir un seul contact avec les cordes (le médiator), tu en auras cinq, et ça te permettra de jouer plus vite.
Si c'est pour un autre instrument, je peux pas te dire, je m'y connais beaucoup moins bien...
Donc si c'est pour une guitare, je vois trois solutions :
- Jouer les sextolets uniquement en hammer-on et pull-off
- Jouer en tapping
- jouer un peu à la Mark Knopfler, sans médiator : au lieu d'avoir un seul contact avec les cordes (le médiator), tu en auras cinq, et ça te permettra de jouer plus vite.
Si c'est pour un autre instrument, je peux pas te dire, je m'y connais beaucoup moins bien...
zub37
701
Posteur·euse AFfolé·e
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clemblod
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Nouvel·le AFfilié·e
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Anonyme
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clemblod
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Nouvel·le AFfilié·e
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Anonyme
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le médiator, j'ai supposé qu'il savait, puisqu'il a dit qu'il jouait du métal, et que c'est un style super exigeant à ce niveau là ! après, oui, c'est vrai, faut bien attaquer avec la pointe, ou alors, prendre le médiator à l'envers et utiliser la partie arrondie ! si, je t'assure, ça rend bien, et vu qu'en death metal, la disto est poussée à fond, t'entendras pas les petits bruits de frottements que ça donne si tu fais ça en clean ! bon, c'est pas à utiliser tout le temps, mais ça peut servir sur certains morceaux !
Anonyme
179
Pat Metheny joue avec le mediator retourné.
après le Stylus pick est utile pour une chose, il oblige a attaquer toujours de la même manière, a être régulier sinon ça bloque!
et pour être régulier, je repose mon pouce sur les cordes ou légèrement sur la table de la guitare.
il y a aussi des mediators qui glissent mieux, le stubby de Dunlop, le jazz III (en carbone) est sympa et j'aime beaucoup les primetone de Dunlop aussi!
après le Stylus pick est utile pour une chose, il oblige a attaquer toujours de la même manière, a être régulier sinon ça bloque!
et pour être régulier, je repose mon pouce sur les cordes ou légèrement sur la table de la guitare.
il y a aussi des mediators qui glissent mieux, le stubby de Dunlop, le jazz III (en carbone) est sympa et j'aime beaucoup les primetone de Dunlop aussi!
Head Minerve
9832
Je poste, donc je suis
Membre depuis 19 ans
Si un guitariste peine à accélérer son mouvement de mediator c'est qu'il commence à mal utiliser son corps, ou qu'il atteint une limite physique.
Dans le 1er cas, il faut travailler la décontraction du bras, de l'épaule et du corps en général. L'avant-bras travaille à peine pour des sextolets à 120. Il réagit davantage à notre contraction des doigts (voire poignet) qu'il n'est la source du mouvement. Pareil pour le bras (biceps-triceps), il va commencer à se contracter quand la vitesse augmente afin de stabiliser les aller-retours du mediator.
Il est aussi important de respirer calmement. Y penser quand on joue permet de constater si notre mouvement est bien focalisé sur les doigts et le poignet ou si on a des contractions parasites. Quand on doit bouger sur scène en jouant à 160bpm, assurer le show et la technique, il faut bien réussir à ne jouer qu'avec sa main (pour 90% du taf). On peut travailler la respiration en parlant pendant qu'on joue, ou en chantant, ou etc...
Un bon exercice que j'utilise est de jouer un nombre précis de notes, puis d'augmenter ce nombre. Pas besoin de métronome, juste le plus vite que je peux sans que je sois contracté au-delà du bras.
Je commence à 3, puis 4, puis 5... jusqu'à 13. Le mouvement finit un coup sur deux sur un aller si je commence toujours par un aller. Pareil si je commence toujours par un retour. Si je continue mon mouvement depuis la position où j'ai arrêté le précédent schéma (ex : je finis le 3 par un retour, je commence donc le 4 par un aller), le mouvemment finira deux fois par un aller, puis deux fois par un retour.
On peut aussi se concentrer sur un seul schéma, par ex. 5, et le faire en boucle. On peut changer de notes, de corde, et s'habituer à la sensation que c'est de jouer 5 sextolets.
Parce-que travailler au métronome sur 2 minutes non-stop, c'est pour l'endurance et la régularité (des deux mains), et ça, ça se travaille sur un tempo sur lequel on est relativement à l'aise.
Dans le 1er cas, il faut travailler la décontraction du bras, de l'épaule et du corps en général. L'avant-bras travaille à peine pour des sextolets à 120. Il réagit davantage à notre contraction des doigts (voire poignet) qu'il n'est la source du mouvement. Pareil pour le bras (biceps-triceps), il va commencer à se contracter quand la vitesse augmente afin de stabiliser les aller-retours du mediator.
Il est aussi important de respirer calmement. Y penser quand on joue permet de constater si notre mouvement est bien focalisé sur les doigts et le poignet ou si on a des contractions parasites. Quand on doit bouger sur scène en jouant à 160bpm, assurer le show et la technique, il faut bien réussir à ne jouer qu'avec sa main (pour 90% du taf). On peut travailler la respiration en parlant pendant qu'on joue, ou en chantant, ou etc...
Un bon exercice que j'utilise est de jouer un nombre précis de notes, puis d'augmenter ce nombre. Pas besoin de métronome, juste le plus vite que je peux sans que je sois contracté au-delà du bras.
Je commence à 3, puis 4, puis 5... jusqu'à 13. Le mouvement finit un coup sur deux sur un aller si je commence toujours par un aller. Pareil si je commence toujours par un retour. Si je continue mon mouvement depuis la position où j'ai arrêté le précédent schéma (ex : je finis le 3 par un retour, je commence donc le 4 par un aller), le mouvemment finira deux fois par un aller, puis deux fois par un retour.
On peut aussi se concentrer sur un seul schéma, par ex. 5, et le faire en boucle. On peut changer de notes, de corde, et s'habituer à la sensation que c'est de jouer 5 sextolets.
Parce-que travailler au métronome sur 2 minutes non-stop, c'est pour l'endurance et la régularité (des deux mains), et ça, ça se travaille sur un tempo sur lequel on est relativement à l'aise.
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