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Sujet House/Techno vos classiques oldschool!

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Sujet de la discussion House/Techno vos classiques oldschool!
Ouaip, je sais pas très original, mais bon il y a matière à papoter!
Pour ma part, voici une petite selection des mes classiques chicago early days:

-Shalor-Im In Love
-Armando-Land Of Confusion
-Jerry Mc Alister-What I Do
-Jungle Wonz-The Jungle
-Joe Smooth-Promised Land
-Franckie Knuckles & Jamie Principle-On & On


:aime: :aime: :aime:

on a bien ri...

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23891
@Lux: ha ba attends, faut etre équipé pour aller en free!

lol

:mdr:
23892
_HouSeTraXx_
23893

Citation : Pqtqin de clqvier q;2ricqin/




:ptdr: :ptdr: :ptdr:

___________________________
https://soundcloud.com/slymooremusic

23894
Pitain cte geuueuuuuulle... y a pas ... à chaque fois ça me fait pareil !!!



:ptdr: :ptdr: :ptdr:

___________________________
https://soundcloud.com/slymooremusic

23895
Ah donc c t pas carl craig le gars qui dit n'imp' sur le djing.... :volatil:
DISCO WILL COME BACK AND SAVE THIS MOTHERFUCKIN' WORLD
23896
23897
Merci faya !

je bookmarque pour chez moi... :bise:

___________________________
https://soundcloud.com/slymooremusic

23898

Hors sujet : Régalez-vous!


Citation : Madame, mademoiselle,

Depuis plus de 30 ans maintenant, la France est en pointe dans cette cause qu’on appelle plus communément « féminisme ». Or, il se trouve que cette « juste cause » n’est en fait qu’une idéologie basée sur le mensonge et dont les principaux ressorts sont le profit et l’avidité.

Vous trouverez dans les lignes qui suivent un aperçu non-exhaustif de la réalité des faits ainsi que des dégâts opérés par cette soi-disant «cause » et non, comme la prose féministe, un recueil d’opinions, de parti-pris et d’interprétations déformées et fallacieuses. Il est d’ailleurs remarquable qu’AUCUNE de celles qui s ‘empressent de qualifier les hommes d’oppresseurs par voie de média interposée ne soit capable d’assurer un vrai débat de fond sur cette thématique. Par ailleurs, l’œuvre de destruction sociale en marche dans les mouvements féministes n’est en rien contrebalancée par des propositions de reconstruction , le seul discours étant « toujours plus » . Doit-on croire béatement que rien ne soit jamais de la faute des femmes ? Toutes les auteures féministes ont des discours infantiles et ne cessent d’expliquer le général par le marginal comme vous le démontreront les lignes qui suivent.

Au cas ou vous contesteriez la véracité de ces faits, je lirai avec plaisir le démenti que vous ne manquerez pas de m’envoyer mais, pour votre gouverne, j’attends encore que se manifeste une féministe courageuse et honnête. Il semblerait que ces qualificatifs ne s’appliquent pas à cette espèce et que lâche, avide ou vaniteuse seraient plus circonstanciés en l’occurrence.

Néanmoins, vous avez l’opportunité de vous regarder en face au travers de votre réponse ou de votre absence de réponse à ce courrier. Si votre cause est JUSTE et si vous êtes quelqu’un d’INTEGRE, nul doute que vous me répondrez et que nous dialoguerons. Dans le cas contraire, je vous laisse seul(e) juge de votre appréciation de vous-même.


Vous allez pouvoir constater uniquement en étudiant vos réactions à la lecture de ce courrier que reconnaître et assumer sont des verbes qui ne se conjuguent pas au féminin.



1)LA SYNTHESE :
L’avis des psycho(-logues et –thérapeutes) : aujourd’hui, 80% des couples sont malheureux (je considère cette opinion comme hautement optimiste).

A l’heure actuelle, 50% des couples divorcent, divorce demandé à 85% par les femmes qui se séparent des hommes qu’ELLES ont choisis et qui leur ont apporté ce qu’ELLES souhaitaient (puisque choisis pour cela). En divorçant, une femme crucifie l’homme qu’ELLE a choisi ainsi que les enfants qu’ELLE a voulus (on est aujourd’hui bien informé des conséquences désastreuses du divorce sur le psychisme des enfants, conséquences irréparables et indélébiles ; pour un enfant, il n’existe aucun divorce réussi, même si certaines femmes ne veulent pas voir la souffrance qu’elles ont infligée).
Aujourd’hui, 50% d’une génération, soit un enfant sur deux est issu d’une famille dite monoparentale. Et les chiffres continuent d’augmenter…
Cela, c’est le legs de 30 ans de féminisme aux générations actuelles et à venir.

Quand, pourrons-nous avoir l’heur d’entendre une reconnaissance à minima de co-responsabilité des femmes (et notamment des féministes) dans cet état de fait ?

2)QUELQUES CARACTERISTIQUES FEMININES NOTOIRES :

A)Le langage :
Les femmes disposent d’un avantage notable sur les hommes en matière de langage et de communication qui leur permet de maîtriser le non-dit, l’induit et le suggestif à leur guise, ce qui explique les présentations partielles, partiales et erronées de toutes les communications et parutions féministes (Un très bon exemple : quand on évoque les souffrances des femmes, on suggère implicitement la responsabilité des hommes même si on ne les cite pas puisqu’il n’y a que deux sexes…).
Quand cette supériorité dans le langage sera-t-elle reconnue comme un élément significatif de pouvoir ?
De plus, les psychologues nous ont indiqué la puissance nuisible du non-dit familial : qui est le plus responsable de ce silence ?

B)La solidarité féminine :
Ce phénomène est aussi fort (voire plus) chez une femme que l’amour maternel d’une mère. De plus, il présente la particularité de ne s’appliquer qu’à un seul endroit : à l’encontre de l’homme. Dans ces conditions, est-ce le signe d’une solidarité d’opprimées comme on voudrait nous le faire croire ou, plutôt, de caste dirigeante ?
A ce sujet, il suffit de constater ce qu’une mère enseigne à son ou ses fils sur les femmes : absolument rien et ce, malgré les capacités supérieures des femmes en matière de communication. Ce qui fait que chaque génération d’hommes démarre dans la vie avec un niveau d’information proche du néant sur la réalité de ce qu’est le sexe opposé. Pourquoi ?

C)Une tendance fortement prononcée à l’auto apitoiement et à l’insatisfaction :
Il est remarquable que dans le septième pays le plus riche du monde et, alors qu’il n’y a que moins de 10% de la population du globe qui dispose de l’aisance matérielle dont nous bénéficions, on n’entende encore et toujours que les lamentations féminines.
Quand les femmes sauront-elles être autre chose qu’insatisfaites ?

D)Le processus de recherche de victimisation :
L’exemple récent de la fausse agression dans le RER nous a bien montré jusqu’où une femme était capable d’aller pour se faire passer pour une victime. Il est patent que dans une part importante des cas de violence conjugale subis par certaines femmes, les hommes violents concernés ont, à de multiples reprises, dit « arrête, arrête » à leur conjointe avant de frapper. Pourtant, celle-ci n’a pas arrêté… et a pu ainsi devenir une victime. Bien entendu, le discours féministe omet sciemment ce genre de procédé. Pourquoi ?

E)L’absence totale de reconnaissance :
Quoi que fasse un homme pour sa femme, celle-ci ne trouve cela que normal ! En vertu de quoi ?
Pour plus d’informations sur ce sujet, je vous conseille une approche sémantique approfondie du terme « re-co-naissance »
Il est clair qu’il existe chez les femmes une totale absence de reconnaissance d’elles-mêmes (pas de ce qu’elles veulent paraître, de ce qu’elles sont réellement), de l’autre ainsi que de la contribution de l’autre à leur parcours de vie.

F)L’amoralité et l’absence de limites :
Pourquoi un tel écart dans les demandes de divorce, pourquoi 85% demandés par les femmes et pas 50/50 puisque nous sommes censés être égaux.
Tout simplement à cause des contraintes morales assumées par les hommes et dont les femmes sont exemptes.
C’est aussi pour cela qu’on dit les hommes bornés, car il faut bien fixer des limites dans ce domaine.
Les déplorables affaires Dutroux et Fourniret sont extrêmement significatives sur ce point quand on étudie de près le rôle des épouses qui, elles, ne sont à priori pas des désaxées ou des perverses.

G)« L’amour » maternel :
Le lien qui relie la mère à l’enfant peut-il être considérer comme de l’amour ? On peut raisonnablement en douter quand on constate l’explosion du nombre de divorces d’une part et les exemples de mères abusives d’autre part. La légende populaire nous dit que les femmes donnent beaucoup et notamment à leurs enfants : à cet égard, il convient de rappeler la notion bouddhiste de « don juste » dans laquelle le don tient compte des attentes et besoins de l’autre et non du plaisir que l’on prend à le faire.

H)La sexualité :
Là encore, il n’existe aucune sorte d’égalité puisqu’une femme n’est disponible qu’environ quinze jours par mois pour les activités sexuelles alors qu’un homme a envie de « tirer son coup » trois à quatre fois par jour (on peut augmenter ou minorer ces chiffres mais l’écart est de cet ordre).
Vous remarquerez que les hommes ont la délicatesse de ne pas se plaindre de cette « inégalité ».
Pourquoi 80% des femmes sont-elles de mauvais « coups » au niveau sexuel ? Ceci n’a rien à voir avec les qualités plus ou moins évoluées de leurs amants ; en fait, le premier facteur qui contribue au plaisir qu’une femme prend dans une activité sexuelle réside dans la relation qu’elle entretient avec son propre corps et comme la plupart des femmes entretiennent avec leur corps des relations « ambiguës »,…
D’ailleurs, un lieu commun fréquemment employé nous dit « qu’un homme donne du plaisir à une femme » ; en fait, rien n’est plus faux, il conviendrait plutôt de dire « qu’une femme prend son plaisir par l’intermédiaire d’un homme », cela serait beaucoup plus représentatif que la flatterie précédente.
La « libération sexuelle » n’est qu’une fantaisie pour faire vendre du papier aux médias. En fait, dans ce domaine, ce pays en est resté à l’âge de pierre.

I)L’écoute :
Soit disant, une des principales qualités féminines : de qui se fout-on ? AUCUNE femme ne sait répondre à la question « pourquoi les hommes font des enfants ? » et on ose prétendre que les femmes savent écouter !
En fait, la manière d’écouter d’une femme est très bien symbolisée par l’exemple suivant :
Je dînais avec un ami et sa femme et celle-ci me dit : « j’avais préparé ceci pour son anniversaire car je savais que cela lui ferait plaisir. » Je lui demandai alors : « comment savais-tu que cela lui ferait plaisir. » Elle me répondit alors : « en fait, c’est très simple, je me suis posé la question. » Et ce, alors même que son mari était à côté d’elle… J’ai volontairement pris un exemple neutre mais significatif des dérives fusionnelles féminines.
En fait, même si elle a l’impression contraire, une femme n’écoute qu’elle-même et ceux qui abondent dans son sens.
J)Autorité et pouvoir :
La confusion entre ces deux termes est extrême en occident : exercer une autorité consiste à mettre au service d’autrui ses connaissances. Utiliser ses connaissance pour se servir d’autrui s’est s’octroyer un pouvoir.
Dans les relations hommes/femmes, le réel pouvoir a toujours été détenu par les femmes, quels que soient les lieux et époques et surtout, quelles que soient les apparences.
Par contre, l’autorité a toujours été exercée par les hommes mais fondée par la parole des femmes. C’est ceci que détruit le féminisme alors même que, dans sa nature comportementale, une femme ne sait que très difficilement assumer cette responsabilité. Toutes les femmes se regardant honnêtement pourront le constater dans leurs rapports à elles-mêmes et à leurs enfants.
Le discours féministe, en séparant sciemment la sphère du social du reste de la vie, est incapable de proposer des solutions de rechange et oblige l’un et l’autre sexe à adopter des schèmes comportementaux contre-nature et cela, uniquement pour satisfaire les ego pathétiques et la soif d’un pouvoir illusoire de certaines dont, je le redis, AUCUNE n’est capable de répondre à ce courrier de manière argumentée.

3)LE COUPLE :

François 1er : « L’homme propose, la femme dispose. »
Caton : « Nous qui gouvernons tous les hommes, ce sont nos femmes qui nous
Gouvernent. »

Au travers des époques et des cultures, rien n’a réellement changé et ces deux citations sont toujours d’actualité. Vous remarquerez que les deux auteurs, au vu de leurs positions sociales respectives, n’avaient rien de particulier à attendre d’une reconnaissance de cet état de fait. Pourtant, à écouter les féministes, les femmes ne disposent d’aucun pouvoir !

Sur quoi est fondé un couple ? Un homme se dirige vers une femme, porté par son désir sexuel (ce que la plupart des femmes savent) et il est choisi (ou pas), idée totalement absente de l’imaginaire masculin. Donc, un couple repose sur le désir de l’homme et les motivations du choix de la femme qui, elles, sont loin d’être sexuelles, sont un peu sensuelles et quasiment jamais amoureuses (sur ce dernier point, si vous contestez, répondez avant toute chose à la question : « c’est quoi, l’Amour ? »). Par contre, l’homme restera TOUJOURS dans l’ignorance de ces motivations. Ce qui fait que les hommes appartiennent à des entités (couples puis familles) dont ils ignorent les réels fondements et ce, malgré les capacités supérieures dont disposent les femmes en matière de communication. L’immense majorité des couples ressemblant à « échange sexe contre sécurité et enfants », on peut envisager que cette « alliance » n’ait pas forcément un côté attractif pour le sexe masculin.

De plus, la femme ne choisit pas réellement un homme ; au mieux, elle choisit l’image qu’elle se fait de lui et , surtout, elle choisit les compétences qu’ELLE lui prête de tenir le rôle qu’elle lui a réservé dans sa vie à ELLE. Et, à priori, cela n’a pas forcément grand-chose à voir avec ce qu’il est…

4)PATERNITE ET MATERNITE :

Dans ces domaines, la sociologie, une filière totalement vouée au féminisme, essaie de nous faire croire que ces notions n’existent plus et a inventé le terme de parentalité, voire de co-parentalité (de la même manière qu’on essaie de nous vendre la notion de « genre social » importé des USA) et ce, alors même que les apports et les rapports de chacun des parents à l’enfant sont extrêmement dissemblables. Là encore, on veut mettre de l’égalité où il n’en existe aucune et où il n’en a jamais existé.
A)La maternité :
De par le traitement médiatique qui lui est réservé, celle-ci est devenue un mythe. Néanmoins, l’observation de la réalité démontre qu’il ne s’agit en fait que d’un acte purement animal : une femme fait des enfants pour satisfaire son ventre et rien d’autre. Le reste n’est que projections de l’imaginaire féminin.
Et ne me dites pas qu’il existe des femmes ne voulant pas d’enfants, ces cas restent extrêmement marginaux (<3%) et sont généralement la conséquence d’un parcours de vie chaotique.
Si vous n’êtes pas d’accord sur ce point, expliquez-moi quelle(s) différence(s) il existe entre une femme et une lapine devant l’acte consistant à mettre des petits au monde .
B)La paternité :
AUCUNE femme ne sait répondre à la question « Pourquoi les hommes font des enfants ? » et ce, de 16 à 72 ans, ayant ou n’ayant pas d’enfant (j’en ai interrogé plus de 3000). Alors que les femmes se plaignent du manque d’écoute des hommes, on peut constater que l’inverse est aussi vrai. Pour votre information, il n’existe et ne peut exister qu’une seule réponse à cette question et cette réponse n’est pas acceptée par 80% des femmes, alors même que c’est la seule réalité possible et envisageable.

L’enfant est le cadeau DU bien-aimé à LA bien-aimée.

En termes moins poétiques et malgré le non-accès des hommes au domaine du langage, on peut le démontrer sans problème et ce, d’autant plus que la limite extrême de connaissance d’un homme n’ayant pas d’enfants, c’est « les femmes veulent des enfants ». Cette phrase représente le maximum de ses capacité cognitives.

Par contre, il est extrêmement signifiant de constater que, bien que ne connaissant pas la réponse à cette question, 80% des femmes vont lutter parfois de manière véhémente pour la nier et vouloir à n’importe quel prix qu’il y ait égalité devant cet acte.

Ceci constitue un acte d’une violence inouïe de négation de l’autre.


Par ailleurs, si les femmes étaient intéressées par la réponse, il y a longtemps qu’elles l’auraient trouvée ; on est, là encore, dans une pratique de non-reconnaissance, voire même de négation de l’autre.

Plus surprenant, il n’existe aucun livre sur ce qu’est la paternité en termes ontologiques. On ne trouve que des ouvrages traitant du rôle du père ou des fonctions du père, bref répondant à la question « un père, ça sert à quoi ? ». En clair, tous ces livres ressemblent à des « manuels d’utilisation d’un homme dans son rôle de père à l’usage d’une femme ».
Par chance, il existe un livre dans lequel on peut trouver la réponse à la question « qu’est-ce que la paternité ? ». Pour le comprendre, il faut faire appel à une collaboration mettant en exergue la complémentarité homme/femme et lire avec un regard masculin (donc une approche globale) ce qu’une femme a écrit avec une sensibilité féminine (donc une approche par le détail). Dans la première partie de ce livre, « La part du père », l’auteur, Geneviève DELAISI DE PARSEVAL, a compilé plusieurs types de paternité existant dans différentes cultures humaines. On s’aperçoit alors que, quelle que soit la forme ou l’apparence qu’elle prend, la paternité a la même essence pour l’ensemble de l’humanité : il s’agit d’un acte social encadrant un fait biologique.

Ceci explique bien des choses et, notamment, la part des hommes dans le champ social. A contrario, la prise de possession de ce même champ social par les femmes ainsi que la non-reconnaissance de ce fait par ces mêmes femmes détruit l’essence même de ce qu’est fondamentalement la paternité.

On notera qu’en France où tout se doit d’être inscrit dans la loi, cette dernière ne reconnaît que la paternité biologique et ignore totalement ces notions, tant en termes de droits (du père) que d’obligations. Il semblerait qu’en 2005, personne dans ce pays ne sache réellement ce qu’est la paternité !!

Pour votre gouverne, la pulsion qui s’appelle « porter un enfant » chez une femme (et qui n’existe pas chez un homme) est l’exacte correspondance de la pulsion « tirer un coup » chez un homme (et qui n’existe pas chez une femme). Ceci n’est ni bien, ni mal, cela est ainsi.


Si la paternité biologique était un fait avéré, 80% des pères ne seraient pas absents dans la vie de leurs enfants au bout de dix ans de séparation comme c’est le cas aujourd’hui.

C)L’éducation :
Il convient ici de rappeler la racine étymologique de ce terme (e ducere) qui ,en latin, signifie « conduire hors de ». L’éducation consiste donc à conduire un enfant hors de l’enfance. Donc, une femme élève les enfants et un homme les éduque (ceci n’est pas non plus reconnu par la loi française) ; ceci se voit fort bien dans les comportements extrêmement divergents qu’ont les parents face à un enfant en position d’échec devant une situation donnée : la mère fera à sa place alors que le père l’encouragera à faire ou refaire par lui-même, l’aidant ainsi à se dépasser pour devenir autonome, ce que généralement une femme ne sait pas faire. On appelle cela la transcendance et c’est le propre du sexe masculin comme l’immanence est le propre du sexe féminin.
On notera également qu’élever un enfant est un vrai métier dont on démissionné les féministes (il n’y a qu’à constater la multiplication des cas d’enfants de classes aisées « abandonnées » à du personnel de garde). On a un peu vite oublié que « le deuxième sexe » n’est que le reflet de l’opinion d’une femme qui a, toute sa vie, refusé d’assumer la famille et les enfants. Par contre, elle n’a pas eu la malhonnêteté de vouloir faire assumer sa part de responsabilité par quelqu’un d’autre.
Xavier LACROIX, dans son ouvrage « passeurs de vie », a bien résumé la situation actuelle de notre société : « l’excès de maternage conduit à l’infantilisation. » ce qui explique le film TANGUY directement issu d’une fine observation de nos mœurs et d’un constat social plus qu’inquiétant.

Il faut rappeler ici que l’Education Nationale n’a pas pour vocation ontologique d’éduquer les enfants mais de les instruire, c’est à dire d’opérer un acte de transmission du savoir.


5)LA VIOLENCE :

La présentation féministe des faits est partielle, partiale et volontairement orientée à charge comme le sont toutes les publications et parutions féministes. La violence féminine est à minima égale à celle de l’homme comme vous l’auraient indiqué les statistiques des services sociaux de l’ensemble des pays occidentaux :

65 à 70% des meurtres d’enfants sont le fait des femmes ainsi que 65% des mauvais traitements sur enfants.

Une information que se gardent bien de nous transmettre les féministes et encore ceci ne concerne que la violence physique ; il est à noter que les femmes savent se servir d’autres formes de violence (morale, mentale, psychologique, économique, etc…) dans lesquelles elles sont au moins aussi expertes que les hommes.
Par ailleurs, des études canadiennes (cf Yvon Dallaire, psychologue québécois) ont largement démontré que la violence était supérieure dans les couples lesbiens d’où sont naturellement absents les hommes.

La bonne question à poser serait plutôt : Qui fait souffrir qui ?

La première violence, c’est l’absence d’écoute.
La seconde violence, c’est l’absence de reconnaissance.
Le reste n’est que conséquences logiques.

6)L’I.V.G. :

Alors que nous vivons une époque où nous sommes plus qu’informés sur les dangers d’une sexualité non protégée, on s’aperçoit que, chaque année, le nombre et le taux d’IVG pratiquées sont en augmentation alors qu’à l’origine, le législateur avait promulgué cette loi pour résoudre les problèmes rencontrés par quelques milliers de filles-mères. Personne ne veut aborder le problème de la déresponsabilisation des femmes dans l’usage de leur propre corps de la même manière que personne ne veut reconnaître ce que porte en elle une femme ayant avorté (et ce, même si elle l’a entreposé dans cet espace de refoulement qu’on appelle plus communément l’inconscient) : le meurtre d’un enfant. Aujourd’hui, plus de 250 000 femmes sont concernées chaque année par ce problème, uniquement dans ce pays.

7)LES DIFFERENCES COMPORTEMENTALES :

En termes comportementaux, l’homme et la femme se situent aux antipodes l’un de l’autre comme vous le démontreront les quelques exemples (liste non-exhaustive) ci-dessous :
Une femme aime se sentir désirée / un homme aime se sentir reconnu.
L’approche par le détail / l’approche par le global.
La peur de la femme correspond à la colère de l’homme.
Un homme vit, tourné vers sa femme (s’il s’en détourne, voir le chapitre « reconnaissance »)/ une femme vit, centrée sur elle-même.
Etc…




Ces faits sont-ils représentatifs d’une société dite « adulte » ou ce silence consacre-t-il la mainmise féministe sur le secteur « société » de nos médias ?
« Tous les secteurs « société » des médias sont confiés à des femmes socialement, politiquement et idéologiquement très proches des associations féministes…et participent à une « chape de plomb » informationnelle.. » E. Badinter, l’Arche, Novembre 2003



La guerre des sexes, plus communément appelée féminisme, a été ouverte et est entretenue exclusivement par des femmes embourgeoisées et privilégiées, avides, lâches et vaniteuses, dont le but réel est de récolter un peu plus de gloire, richesse (en termes de classe moyenne, elle s’appelle le confort) ou pouvoir et, en aucun cas, d’établir un dialogue constructif. Il est d’ailleurs intéressant de constater que, dès qu’un homme émet la moindre critique, il est forcément misogyne ou phallocrate, un très bel exemple d’ouverture au dialogue !


Donc, vous répondrez à ce courrier si vous ne correspondez pas à ce portrait. Dans le cas contraire, vous serez une illustration vivante des lignes qui précèdent et du portait de la féministe-type. Le silence et l’absence de réponse sont parfois beaucoup plus éloquents qu’une réponse quelle qu’elle soit.


Si vous êtes une prosélyte de la « pédagogie anti-sexiste », commencez par balayer devant votre porte :

-Expliquez-moi les motivations qui poussent une femme à accoler son nom de jeune fille à celui de son époux et expliquez le moi sous l’angle de la non-reconnaissance.

-Expliquez-moi le silence des femmes depuis la nuit des temps dans le phénomène de transmission et ce, malgré leur accès au langage et leurs capacités supérieures de communication.

-Expliquez-moi la non-reconnaissance de responsabilité.

-Expliquez-moi la négation de l’autre et de sa contribution.

-Expliquez-moi pourquoi certaines n’assument pas leur propre nature de femme.

-Expliquez-moi l’inconscience, l’irresponsabilité et l’insatisfaction chronique.





Il y aurait encore beaucoup à dire et notamment sur ce qu’on qualifie de « valeurs » et qui ne sont que des mots creux à usage démagogique. Si vous prétendez le contraire, n’hésitez pas à m’expliquer pourquoi l’autre pays des droits de l’homme est allé en Irak.





A vous lire,



Gilles-Marie CHENOT
2 Avenue de la croisette
08110 BLAGNY
06 12 80 55 58

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:pong: :lol:
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_HouSeTraXx_