Des amateurs de Yes?
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En même temps, si on ne jouait plus Bach, Verdi, Armstrong ... depuis qu'ils sont morts, ce serait un peu vide.
pontchartrain
2873
Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 16 ans
Citation de Anaon :
Oh bien sûr ni Rick Wakeman mais j'évoquais surtout le décès de Chris Squire...
Yes sans Wakeman, ni Anderson, ni Squire, ça commence à faire beaucoup...
En même temps, si on ne jouait plus Bach, Verdi, Armstrong ... depuis qu'ils sont morts, ce serait un peu vide.
Fink Ployd
3261
Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 11 ans
Anaon
11486
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 22 ans
Ouais c'est un peu ça, j'ai rien contre dans l'absolu (je suis bien allé voir en concert The Musical Box et franchement, je ne pense pas que le groupe original puisse faire aussi bien sur les vieux titres 
) mais le truc c'est que je ne suis pas fan de la voix de Jon Davison malheureusement, là où Anderson monte dans les aigus, chez Davison je trouve ça agaçant 
(c'est très perso, je crois qu'il a plutôt la cote comme remplaçant)
Birkenhead
115
Posteur·euse AFfiné·e
Membre depuis 20 ans
Fink Ployd
3261
Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 11 ans
Peaveycroquette
4688
Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 20 ans
Après un déterrage de 8 ans, je redéterre ce thread de seulement 4 ans.
Ayant eu 10 ans dans les années 80, j'ai découvert Yes avec "Owner of a lonely heart", titre qui a calmé tout le monde! Ce son..... Inouï à l'époque. Trevor Horn était un vrai génie.
Evidemment, ça n'a pas grand chose à voir avec la grande période (les 70's) de Yes, mais ce titre (et l'album), sorti du contexte, est tout de même une grosse réussite.
Puis, quelques années plus tard, sur la foi d'un article dans Best de Hervé Picart (dont je buvais toutes les chroniques comme du petit lait), j'achète Tales, album qui m'a longtemps laissé dans l'expectative, tout en me fascinant par sa complexité. Bien qu'ardu, il est traversé de moments que je qualifierai de sublimes, qui valent de se laisser découvrir dans la longueur (extrême) des quatre morceaux.
Puis, j'ai laissé tomber, accaparé par d'autres courants musicaux.
Dans un deuxième temps, dans les années 2000, j'ai acheté, presque par désœuvrement, quelques CDs de Yes: Fragile, Relayer et Going For The One. Je dois dire que ces albums m'ont alors laissé complètement froid. Je les ai écouté d'une oreille, sans entrer ni dans le son, alors aux antipodes de ce que j'aimais, ni dans les compos, qui me fatiguaient la tête. Sot que j'étais.
Fin du deuxième temps.
...
Y'a un troisième temps, vous vous doutez bien, mais je l'écrirai une autre fois, là c'est l'heure d'aller au dodo
Ayant eu 10 ans dans les années 80, j'ai découvert Yes avec "Owner of a lonely heart", titre qui a calmé tout le monde! Ce son..... Inouï à l'époque. Trevor Horn était un vrai génie.
Evidemment, ça n'a pas grand chose à voir avec la grande période (les 70's) de Yes, mais ce titre (et l'album), sorti du contexte, est tout de même une grosse réussite.
Puis, quelques années plus tard, sur la foi d'un article dans Best de Hervé Picart (dont je buvais toutes les chroniques comme du petit lait), j'achète Tales, album qui m'a longtemps laissé dans l'expectative, tout en me fascinant par sa complexité. Bien qu'ardu, il est traversé de moments que je qualifierai de sublimes, qui valent de se laisser découvrir dans la longueur (extrême) des quatre morceaux.
Puis, j'ai laissé tomber, accaparé par d'autres courants musicaux.
Dans un deuxième temps, dans les années 2000, j'ai acheté, presque par désœuvrement, quelques CDs de Yes: Fragile, Relayer et Going For The One. Je dois dire que ces albums m'ont alors laissé complètement froid. Je les ai écouté d'une oreille, sans entrer ni dans le son, alors aux antipodes de ce que j'aimais, ni dans les compos, qui me fatiguaient la tête. Sot que j'étais.
Fin du deuxième temps.
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Y'a un troisième temps, vous vous doutez bien, mais je l'écrirai une autre fois, là c'est l'heure d'aller au dodo
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