Bookmarkez un article, une news ou un tuto et retrouvez-le dans votre section "Mes signets" du menu membre.
6 nouveaux annuaires
Luthiers, Réparateurs, Cours de musique, Studios d’enregistrement, de mastering et de répétition... Suggérez l’ajout d’une entreprise, inscrivez la vôtre ou déposez un avis.
Alertes disponibilité et baisse de prix
Ces nouvelles fonctionnalités vous permettent d'être informé·e dès qu'un produit est disponible ou que son prix a baissé.
Tentatives d'arnaque dans les petites annonces
Nous faisons face depuis quelques mois à une recrudescence de tentatives d'arnaques dans les petites annonces. Suivez nos recommandations >
Payez en 3 ou 4 fois vos achats d'occasion
Achetez plus facilement les produits dont vous rêvez grâce au paiement en 3 ou 4x dans les petites annonces.
Notez AF !
Dites-nous ce que vous pensez d'AF sur notre page Trustpilot ! Nous lisons et répondons à tous les avis.
Sujet de la discussionPosté le 31/01/2013 à 06:56:19Déclaration d'un (pas vraiment) cover ?
Bonjour,
je bosse actuellement sur un morceau librement inspiré d'une chanson déjà existante. Ma version n'a plus rien à voir avec l'original (structure harmonique et mélodique, arrangements). J'ai gardé deux phrases du texte original et réécrit le reste. J'ai gardé aussi quelques vagues notes de la mélodie. Ma question :
Peut-on parler d'une reprise ? Ou plutôt d'une citation ?
Dans le cadre d'une exploitation du titre (ce qui n'est pas à priori pas mon but), faudrait-il le déclarer comme une reprise avec demande d'autorisation d'exploitation aux ayants droits ?
En vous remerciant
[ Dernière édition du message le 31/01/2013 à 06:59:51 ]
Je suis d'accord, mais ainsi que je l'ai dis, sur mon premier post, je voulais simplifier.
En revanche je suis plutôt en désaccord sur la motivation nécessaire pour le droit moral. Si l'auteur ne veut pas d'une oeuvre dérivée, c'est précisément son droit, qui est discrétionnaire (quoique l'abus de droit peut se discuter).
Petit édit : si d'ailleurs, l'opposition se fait a posteriori, c'est risqué, il vaut mieux, à mon sens, demander le droit avant d'exploiter.
0
[ Dernière édition du message le 24/06/2013 à 14:16:37 ]
#Houba
6572
Membre d’honneur
Membre depuis 16 ans
22Posté le 24/06/2013 à 19:04:47
Le droit moral est tout de même assez limité, en tous cas si les titres sont déposés sacem. Si l’œuvre n'est pas modifiée il est difficile d'invoquer le droit moral, sauf cas très particulier, genre utilisation dans un clip du FN pour un artiste qui se revendique de gauche par exemple.
0
Ex-producteur retraité de la musique en 2016
Forsaken
809
Posteur·euse AFfolé·e
Membre depuis 18 ans
23Posté le 24/06/2013 à 19:56:34
Citation de EPE_be :
Le droit moral est tout de même assez limité, en tous cas si les titres sont déposés sacem. Si l’œuvre n'est pas modifiée il est difficile d'invoquer le droit moral, sauf cas très particulier, genre utilisation dans un clip du FN pour un artiste qui se revendique de gauche par exemple.
En fait la SACEM n'est là que pour un rôle financier, un artiste ne renonce pas à son droit moral parce qu'il y entre. D'ailleurs, un renoncement généralisé sur son droit moral (en droit français du moins), ne vaut rien et il n'est pas si difficile de l'invoquer à l'encontre d'une reprise. J'en veux pour exemple la chanson "On va fluncher" (mais il s'agit là d'une atteinte assez importante au droit moral). Mais on pourrait en discuter je crois, des heures durant, et on finirait par s'éloigner du sujet initial.
0
Rage is Walrus
994
Posteur·euse AFfolé·e
Membre depuis 13 ans
24Posté le 24/06/2013 à 22:42:39
ou "babababababybel"
0
thetempletonpeck
552
Posteur·euse AFfolé·e
Membre depuis 23 ans
25Posté le 26/06/2013 à 16:03:26
Citation :
un artiste ne renonce pas à son droit moral parce qu'il y entre
exact.
La Sacem ne gère que la partie "patrimoniale".
Il est de la responsabilité de l'auteur de défendre (ou pas) son droit moral.
Mais les cas où les démarches des auteurs aboutissent sont très rares, en particulier lorsqu'ils sont édités, le job de l'éditeur étant de "faire vivre l'oeuvre", de trouver des opportunités pour justement générer des droits, alors si l'auteur commence à faire la "fine bouche"...sauf évidemment dans des cas extrêmes.
Dans tous les cas cela se règle devant les tribunaux.