Je me (re)lance dans la réalisation d'un album
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Captainjo
73
Posteur·euse AFfranchi·e
Membre depuis 18 ans
La critique de Samy 
:
"Le visage buriné par le soleil des Cyclades, CaptainJo décrit sans concessions les travers de notre temps :
C'est qu'il vient d'une autre époque, celle où l'on pouvait conduire fièrement sa BX et où on s'occupait des femmes avec doigté, plutôt qu'en cliquant sur un "like".
L'album commence donc par "Drone", un vieux Rock sur le thème actuel de la femme virtuelle.
"Samy" une fête éphémère et superficielle nous euphorise un peu mais "Nansen", évocation d'un humaniste utopiste, nous tireras bientôt quelques larmes.
Nous partons en voyage avec divers moyens de locomotion aussi inattendus qu'une trirème ou une BX ("Accélération").
Grisés par la vitesse et un bon remix, notre esprit divague et nous croyons maintenant apercevoir une mystérieuse "Woman in Yellow".
Mais tout ceci n'est qu'illusion, la réalité cruelle de ce monde s'impose à nous avec "Edward Snowden".
C'est "Si loin ailleurs" que nous poursuivrons notre route, peu importe vers où, le voyage est surtout dans notre tête."
:"Le visage buriné par le soleil des Cyclades, CaptainJo décrit sans concessions les travers de notre temps :
C'est qu'il vient d'une autre époque, celle où l'on pouvait conduire fièrement sa BX et où on s'occupait des femmes avec doigté, plutôt qu'en cliquant sur un "like".
L'album commence donc par "Drone", un vieux Rock sur le thème actuel de la femme virtuelle.
"Samy" une fête éphémère et superficielle nous euphorise un peu mais "Nansen", évocation d'un humaniste utopiste, nous tireras bientôt quelques larmes.
Nous partons en voyage avec divers moyens de locomotion aussi inattendus qu'une trirème ou une BX ("Accélération").
Grisés par la vitesse et un bon remix, notre esprit divague et nous croyons maintenant apercevoir une mystérieuse "Woman in Yellow".
Mais tout ceci n'est qu'illusion, la réalité cruelle de ce monde s'impose à nous avec "Edward Snowden".
C'est "Si loin ailleurs" que nous poursuivrons notre route, peu importe vers où, le voyage est surtout dans notre tête."
On s’est lassé des vinyles
Juste gardé les compils
wire2
438
Posteur·euse AFfamé·e
Membre depuis 20 ans
Anonyme
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