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Code ISRC/ISWC

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Sujet de la discussion Code ISRC/ISWC
Comment obtenir ce fameux code que les presseurs demandent ?
C'est cher ou pas ?
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41
Non, non, certain!
ISRC code unique d'un enregistrement
ISWC code unique d'une compo
mais tu peux avoir plusieurs enregistrements d'une même compo.

Sur un CD Audio seul l'ISRC est inscrit (dans le sous-code, au moment du mastering)

Exemple extrait d'un contrat de licence avec sous édition :

Citation :

Royalty rate:

* Single / Album sales: XX%

* In-house compilations: XX% pro rata

* Club-sales, premiums, mid/low-price and sell-off: XX% (royalty to be calculated on net invoiced price) and pro rated when applicable

* TV advertised sales: XX% royalty reduction

* 3rd party income (compilations, ringtones, digital downloads, …) and neighbouring rights: XX-XX split on income in Licensee’s favour.

Recoupable advance on royalties: € XXXX + XXX €  Video Contribution

Sub-Publishing: [country], XX-XX split on publisher’s share in Licensee’s favour


 



Ex-producteur retraité de la musique en 2016


42
Ok lol, donc c'est bien ce que je dis : tu peux pas avoir plusieurs ISWC d'un même compo, donc un éditeur ne va pas demander son propre ISWC 

mais

son PROPRE ISRC

ce qui soit dit en passant est pas toujours fait avec grande classe.
43
Mais noooooooonnn !!!!!!

Une compo, Un ISWC, ça c'est juste. ISWC qui réfère à un éditeur original (EO)  Editeur original qui peut négocier des sous-éditions avec d'autres éditeurs dans d'autres pays (sans que cela change quoi que ce soit à aucun code)

L'éditeur n'a rien à voir avec l'ISRC, qui est tout aussi unique pour un enregistrement que l'ISWC est unique pour une compo. Tu cèdes une licence d'un titre de ton album pour figurer sur une compilation en Thailande, il garde le même ISRC et le même ISWC, qu'il y ait sous-édition ou pas!

Ex-producteur retraité de la musique en 2016


44
Loooooool 
Merci Epebe. Bon au final je ne sais même plus quelle était ma question au départ.
Il me semblait déjà que toutt était comme tu dis .

Ah si, la SACEM. Donc pour résumer, on peut s'incrire à la SACEM en tant qu'éditeur (ou artiste évidemment).
LA SPPF et la SCPP c'est pour les producteurs.

Je crois que ma question de départ était : comment les éditeurs sont ils "codés" et référencés par la SACEM ?
Du coup c'est clair : par les ISWC.
  • J'imagine que les interprètes, ca va par exemple être via ISRC.
  • Les auteurs via ISWC.
  • Les compositeurs via ISWC.
  • Les producteurs via ISRC... dans l'idée.

En revanche j'ai essayé de faire une demande ISWC, j'ai pas abouti, pas de réponse.


[ Dernière édition du message le 15/08/2009 à 16:12:24 ]

45
Ouiiiiiiiiiiii! On y arrive!

Editeurs, auteurs, compositeurs, arrangeurs, adaptateurs --> identifiés par l'ISWC du morceau

Mais je ne crois pas que tu puisses obtenir un n° ISWC sans passer par la sacem puisque
c'est la Confédération Internationale des Sociétés d'Auteurs et Compositeurs (CISAC) qui est à l'origine de cette norme. 

Le producteur et l'artiste principal (nom du groupe ou de l'artiste) sont identifiés par l'ISRC du morceau

Par contre à ma connaissance il n'existe pas de norme d'identification des oeuvres pour les interprètes. Mais je suppose que les sociétés d'interprètes (adami, spedidam) croisent leurs données avec la base de donnée ISRC

Ex-producteur retraité de la musique en 2016


46
Merci.

C'est très probable que la SACEM soit seule interlocuteur en France.

Hors sujet :
décidemment, la condition des musicien électro au sens très lagre, qui passent directement de la compo sans réelle écriture au gravage, a pas super changée.
On les appelera toujours producteur ? ou auteur-compositeur-interprète-producteur ?
Et dans ce cas on aura toujours un ISRC unique ?

C'est super délicat je trouve, surtout vis a vis des contrats, un zikos arrive chez toi avec un enregistrement... tu vas quand même repasser derrière mais t'es pas le producteur... juste un licensié ?
Louche quand même non ?
Alors que la plupart du temps les zikos n'ont pas d'ISRC sur leur galette... bref. C'est bruité.

Comment faites-vous dans vos structures ?

[ Dernière édition du message le 15/08/2009 à 20:16:17 ]

47
C'est super délicat je trouve, surtout vis a vis des contrats, un zikos arrive chez toi avec un enregistrement... tu vas quand même repasser derrière mais t'es pas le producteur... juste un licensié ?
Louche quand même non ?
Alors que la plupart du temps les zikos n'ont pas d'ISRC sur leur galette... bref. C'est bruité                                                                                                                                                     re salut !

Au bout du compte je comprends plus tres bien ce qui t'echappes ? Et  quelle role tu tiens dans ton projet?
Quoi qu'il en soit et comme l'a deja dit epebe ISRC est en quelque sorte le numero de reference d'un enregistrement déposé et "produit".
L'ISWC est la reference (a la sacem)d'une oeuvre cette ref est la meme pour chacuns des ayants droit de la dite oeuvre .Le contrat est en generale un contrat d'artiste (dont les termes sont definis entre les differentes parties)et les repartitions (sacem entre autres) sont faites sur les declarations de l'oeuvre et pour etre licencié c'est en generale au niveau de la distribution que ca ce joue quand tu es prod,par ailleur tes zikos qui n'ont pas d'isrc bah c'est toujours le cas avant qu'un titre ne soit pressé et declaré a la sppf,sdrm etc..
En gros le zikos viens chez toi "vierge"tu signes un contrat artiste/prod en % ,declaration sacem pour les parts auteur /compo/ arrangeur/ editeur toujours en % Bon tous ca un peu en vrac mais tant que ton projet ne sort pas de la cave tout ca n'a pas vraiment de sens en gros...
J'espere avoir bien compris ce qui te chagrine et surtout t'avoir aider a avancer dans tes demarches!


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Et notre deezer : Le cercle d'Amy sur deezer

48
ce qui me chagrine, c'est le bouquin de l'IRMA "les contrats de la musique" pour qui un contrat d'artiste est affilié à un contrat de travail, et ne peut pas être - d'après eux - rémunéré sur calcul de redevances...

L'alternative, c'est de clairement annoncer la couleur : contrat de license.
Auquel cas tu n'es  plus considéré comme producteur ... bizarre, alors que tu vas assurer un artwork, etc. Ce cas est flou typiquement pour l'électro et la distrib net : pas de pressage, pas d'enregistrement. T'es entre deux eaux : tout est produit en terme de son, rien n'est déclaré ni exploitable sur le moment. C'était clair à l'époque des bandes, aujourdhui ca n'a plus de sens tant que tu te fais refiler du CDR ou du wav. Enfin bon, je tatillonne.

Personnellement, j'ai toujours fait comme tu dis Emka : un %, une attribution ISRC, etc.
Mais à la lecture de ce bouquin, j'avais le sentiment que la pratique était mauvaise...

[ Dernière édition du message le 18/08/2009 à 14:30:24 ]

49
Je ne connais pas ton ouvrage toujours est -il que nous on a signé un contrat d'artiste ,sur lequel on s'engage a assurer l'interpretation des titres et le prod a enregistrer  les chansons,et toujours les decla sacem,je pense que la demarche est la meme avec du numerique !
Mais effectivement le contrat d'artiste n'est pas calculé sur les redevances ,contrairement aux auteurs compositeurs,nous on a signé contre remuneration zero ,car on fait auusi partit du label,mais on prend sur les lives (cachets)en artistes,puis a la sacem en auteur compo ,et yess aussi sur l'edition comme on a des parts dans le label.
De toute facon pas grand chose au bout du compte lol,et tout ca ne change rien a nos histoire d'isrc et iscw !

voila pour nous ;-)

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50
ok, c'est clair, le label ne vous rémunère pas (ou zéro) par contre  vous pouvez l'être via la SACEM et autres, l'idée est pas mauvaise... pour le domaine associatif en tous cas. Après je ne sais pas si vous êtes en asso ou pas...

Chez nous, les artistes sont rémunérés en contrat de cession, mais ne font donc pas partie du label.
Mais bon, en général on préfère investir dans une bonne prod (tous les frais annexe) qu'espérer du bénéf.
C'est comme ca qu'une de nos releases voit les bénéf partagés entre le zikos et la graphiste.

Avec les contrats de cession, on fait généralité, quelque soit le média, mais je ne sais pas si c'est tangible légalement.
En tous cas nous nous sentons très clair vis a vis du CPI.
Mais on est ni en contrat d'artiste, ni en license.
La license, on la signe nous avec les agrégateurs.