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Le Pub d'AutoProd & Business (Ex - marché du disque c'est la cata!)

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Sujet de la discussion Le Pub d'AutoProd & Business (Ex - marché du disque c'est la cata!)
:8) j'ai surfer un peu ce matin sur le net pour me renseigner sur l'actualité du disque en france
l'heure est grave pour les maisons de disques ! beaucoup d'artistes se font viré , les signature de nouveaux talent sont casi rare et le personnel est licencié peu a peu

LA CAUSE PRINCIPAL SELON 80% DES PRODS = le peer to peer et téléchargements


plus personne ne bouffe , ni les producteurs , ni les distributeurs , ni les maison de disques , et encore moins les artistes auteur compositeur <img src=(" />
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Citation : dés que c'est différent tu trouve ca naze



vous etes malades ici, a faire dire au gens ce que vous voudriez qu'ils disent pour pouvoir les agresser.

Man ou es tu aller chercher une connerie pareil ? C'est genetique ?
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Citation : C'est genetique ?


tu parle de ma famille mantenant? :8O:
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Citation : j'espere quand meme que tu prend pas tout ca au premier degre, on est sur un forum , pas sur un plateau tele!!!



Ho que non loool mais bon tu modères sacrément tes paroles avec tes derniers posts enchainés !!

Riens que ça >

Citation : je m'en fout perso qu'il raconte nimp ce qui me gene c'est qu'il le fait mal ...



C'est déjà plus "il raconte des trucs qu'il vit pas" comme reproche, c'est devenu "il le raconte mal". Mais bref on s'en branle en effet ; )

Sinon, j'ai pas changé d'un poil de couille, hein :volatil:
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Citation : Pour ton lien effectivement les beat son cool.
Les MC ben c'est pas mal banal. C'est un peu ca quime gene dans le hip hop francais : les MC posent tous pareil. Apres des producteur qui dechire il y en a, heureusement presque



Ouais le lien myspace le mc j'aime pas non plus, mais je sais que le son te parlerait, il est vraiment bon ! Pour des mcs que j'aime c'est sur ma signature plutot, les pages artistes, ils ont un son en ecoute sur leurs pages respectives.
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Dans les classiques hip hop faut pas oublier
Step in the arena de Gangstarr aussi
Le bizarre ride II de pharcyde est un OVNI
Pete Rock et CL Smooth the main ingredient
Black Moon Enta da Stage

Enfin, jen passe...

A part ca vous etes des bons malades de vous etriper sur booba
7386

Citation :
si tu me lisais .... J'ai laché le Rap FRANCAIS depuis 10 ans. Serieux pour un pote de Lartizan t es bien relou.



:bravo2: Des fois, c'est rigolo le net.
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.....2 petits trucs :

Company Flow et Beatnuts sont de NY

renouveau français : je vote pour Klub des Loosers !
textes de ouf...

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Ah uais juste un truc parce que j'veux pas passer trop pour un guedin non plus: j'ai laissé passer parce que le quiproquo m'a bien fait marrer, mais quand j'ai dit : "J'te l'dis comme ça, hein...mais j'pense intimement être à un level dont t'as pas conscience dans cette zic, vu ce que tu dis. J'dis pas ça pour me la péter, hein, juste essayer de te faire réaliser que tu ne sais pas trop de quoi tu parles, tes exemples avec skyrock la banlieue tout ça c'est hyper éculé de là où je vois les choses.", je parlais pas d'un niveau dont t'avais pas conscience, mais je te disais juste que tu parlais à qq'un qui n'était pas au niveau d'écoute que tu croyais (je te rapelle que tu me décrivais auditeur de skyrock de base fan de rap francais décerebré qui connait rien a rien pret a mourir pour son idole loool, je ne faisait que répondre).

Après j'ai vu que ça prétait à confusion, que tu plongeais dedans et que du coup oui ça devenait une phrase hyper pédante, et ça m'a fait marrer. A la re-réflexion, j'préfère qu'y ai pas d'autre interprétation que la bonne possible, hein.


Citation :
Company Flow et Beatnuts sont de NY



Yep, mais si on commençait à relever toutes ses approximations/contresens...on repart pour la journée, et puis tu sais, nous on est pas très cophérents, on a un discours contradictoire etc...ahahah
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Pour recentrer un peu le debat,


Citation : Industrie de la musique : les majors ne connaissent plus la crise
Publié le 11 mars 2005 15:42:23

La crise du disque est toujours d'actualité. Le marché américain n'a progressé que de 1 % en 2004 et est en recul depuis le début de l'année. Le marché français a baissé de 14,3 % l'an dernier, le marché allemand de 3,6 %, le marché australien de 6 %... A l'exception notable de la France - qui a malgré tout connu une légère progression des ventes sur les deux derniers mois de l'année -, c'est moins catastrophique que les années précédentes. Mais même si certains indicateurs semblent vouloir passer au vert - on assiste dans le meilleur des cas à une stabilisation du marché, dans le pire des cas à une baisse de la baisse des ventes -, il est un peu prématuré de parler de reprise, en tout cas pour ce qui concerne le disque, ni d'une compensation éventuelle de la baisse des ventes physiques par les ventes dématérialisées. On peut considérer cependant que les majors du secteur, elles, sont sorties de la crise. En témoignent leurs résultats d'exploitation.

Ainsi on apprenait hier qu'Universal Music a enregistré des résultats exceptionnels en 2004, à mettre sur le compte de restructurations massives, d'une baisse des dépenses marketing et d'une diversification des sources de revenus. A taux de change constant, son chiffre d'affaires a progressé de 5 % sur l'année, à 4,9 milliards d'euros, et de 8 % sur le seul dernier trimestre. Plus significatif encore, son résultat d'exploitation a été multiplié par cinq, à 338 millions d'euros, contre 70 millions en 2003. Et sa marge d'exploitation atteint 7 % du chiffre d'affaires, contre 1 % l'année précédente. De quoi contribuer largement aux performances de sa maison mère, Vivendi Universal, qui a posté son premier bénéfice net depuis quatre ans, à hauteur de 754 millions d'euros, contre une perte de 1,1 milliard d'euros en 2003.

Autre constat, l’entité Sony BMG, issue de la fusion entre BMG et Sony Music International et dont 50% des bénéfices ou pertes nettes sont comptabilisées par Sony, a contribué au résultat net du groupe japonais à hauteur de 1,1 milliard de yens (env. 11 millions de dollars) au cours du 3ième trimestre de son exercice fiscal, clos le 31 décembre dernier. Selon les chiffres publiés par Sony, les ventes de Sony BMG se sont élevées à 1,5 milliard de dollars sur le trimestre, pour un bénéfice net de 21 millions de dollars, ce malgré des charges de restructuration de 168 millions de dollars, ce qui est plutôt un bon résultat. Par ailleurs, Sony Music Japan, qui a été exclue de la fusion et reste sous la coupe de Sony Corp., a affiché une progression de ses ventes trimestrielles de 10,5% sur un an.

Une activité rentable, à défaut de dégager des bénéfices nets

De son côté, Warner Music Group, qui vient de reverser pas moins de 21 millions de dollars de bonus à ses cinq principaux dirigeants, a vu son chiffre d'affaires progresser de 2 % au cours de son dernier exercice fiscal (qui s'étalait sur dix mois, de décembre 2003 à septembre 2004, sa clôture ayant été avancée de 2 mois après le rachat à Time Warner) et a enregistré un résultat opérationnel de 7 millions de dollars sur la période, contre une perte opérationnelle de 197 millions de dollars un an auparavant. Certes, la compagnie poste une perte nette de 136 millions de dollars sur les dix mois. Mais cette dernière est nettement moins élevée que l'année précédente, où elle atteignait 239 millions de dollars. Son résultat d'exploitation montre qu'elle est redevenue rentable, et après avoir été racheté 2,6 milliards de dollars à Time Warner, elle espère être valorisée entre 4 et 5 milliards de dollars lors d'une introduction en bourse prévue pour la fin du semestre.

Reste à jeter un oeil sur les résultats d'EMI. La maison de disques britannique a vu son chiffre d'affaires reculer de 11,4 % sur le premier semestre de son exercice fiscal, à 851 millions de livres (1,2 milliard d'euros), mais à taux de change constant, elle a posté un résultat d'exploitation en progression de 8,1 % sur la période, à 80,1 millions de livres, et de 18,1 % pour la seule activité disques - celle d'EMI Music, par opposition à EMI Publishing (édition) -, à 30, 9 millions de livres. Le groupe a posté une perte nette de 400 000 livres sur la période (contre un bénéfice de de 9,2 millions de livres un an plus tôt), mais table sur de meilleures performances sur le second semestre. Ses ventes étaient en progression sur les mois d'octobre et novembre derniers et elle prévoit de dégager un bénéfice avant impôts, amortissements et charges exceptionnelles de 138 millions de livres sur l'ensemble de son exercice 2004-2005, qui se termine à la fin du mois.

Toutes les majors de l'industrie ne dégagent pas des bénéfices nets, mais leur résultat d'exploitation est positif, sans aucune exception. Ce qui veut dire qu'à ce jour leur activité est redevenue rentable, et qu'elles ne connaissent plus la crise.



donc a relativiser, on est pas pret de voir les majors mettre la clé sous la porte, d'autant qu'elle tire benefice directement des taxes et des supports numeriques pour les contrefaçons et les telechargements légaux...

Inquiétant en revanche pour les distributeurs, qui eux ont beaucoup de mal a tirer leur épingle du jeu, et les indés qui voient leur autonomie de distribution restreinte. On en revient toujours au même, le monopole de ceux qui ont la capacité de se diversifiés (tot ou tard...) et qui servent leurs intérêt bien avant ceux de la culture...
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Hors sujet : recentrez le débat si vous voulez ...

jviens de me tapper vos 10 pages de testoteronnes aigries,

le marché du disque c'est la cata <=> les zikos sur ce topic c'est la cata,

vous faites un concours de glands ou quoi sur ce topic (a la con) ?

c'est a qui sera le plus neuneu ?

pitoyable, immature : un vrai bonheur :ptdr: