Gibson M Series
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Ca a l'air très, très fort ce que vous prenez cher ami menestrel...Z'en resterions pas un boc?
.
greg lefonctionnaire
11410
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 20 ans
Heureusement qu'il y a des modérateurs intéressées, pour jouer leur role de gentleman... 
Je suis Charlie
Pm.
16433
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 22 ans
claudiobar
5
Nouvel·le AFfilié·e
Membre depuis 18 ans
Hello,
Merci pour ton aide. Voila la photo montage.
Pour l'anecdote, puisqu'il est intéressant de fournir une petite anecdote, ma guitare a été fabriquée en Octobre 1991. Le premier propriétaire l'a acquise la même année à Rouen, puis il a déménagé pour Montpellier.
Lors de l’achat, cette guitare a fait l'objet d'une importation par Gaffarel Musiques à Pontoise (à 1 heure de Rouen) dans le Val d’Oise. Je possède le document. Il a été signé par un luthier que je connais depuis quelques temps qui œuvre toujours aujourd'hui prés de Pontoise à L'Isle Adam. Il est le seul luthier agréé Fender en France (ou peut être qu'il y en a un deuxième à Lyon je crois) mais il fait bien évidemment toutes les marques. Je l'ai rencontré il y a quelques années car il travaillait dans le même atelier que mon luthier de violon (eh oui du violon aussi) à Pontoise. Mais lui était spécialisé en guitares et basses. Aujourd'hui, la guitare se retrouve chez moi à nouveau dans le Val d'Oise. Le monde est petit quand même !
Ce n’est pas une belle histoire çà ?
Comment vous la trouvez ?
Merci pour ton aide. Voila la photo montage.
Pour l'anecdote, puisqu'il est intéressant de fournir une petite anecdote, ma guitare a été fabriquée en Octobre 1991. Le premier propriétaire l'a acquise la même année à Rouen, puis il a déménagé pour Montpellier.
Lors de l’achat, cette guitare a fait l'objet d'une importation par Gaffarel Musiques à Pontoise (à 1 heure de Rouen) dans le Val d’Oise. Je possède le document. Il a été signé par un luthier que je connais depuis quelques temps qui œuvre toujours aujourd'hui prés de Pontoise à L'Isle Adam. Il est le seul luthier agréé Fender en France (ou peut être qu'il y en a un deuxième à Lyon je crois) mais il fait bien évidemment toutes les marques. Je l'ai rencontré il y a quelques années car il travaillait dans le même atelier que mon luthier de violon (eh oui du violon aussi) à Pontoise. Mais lui était spécialisé en guitares et basses. Aujourd'hui, la guitare se retrouve chez moi à nouveau dans le Val d'Oise. Le monde est petit quand même !
Ce n’est pas une belle histoire çà ?
Comment vous la trouvez ?
claudiobar
5
Nouvel·le AFfilié·e
Membre depuis 18 ans
benosiris
165
Posteur·euse AFfiné·e
Membre depuis 20 ans
Perso j'adore 
Pm.
16433
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 22 ans
greg lefonctionnaire
11410
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 20 ans
claudiobar
5
Nouvel·le AFfilié·e
Membre depuis 18 ans
Hello,
Autre anecdote au sujet de cette guitare.
Ce fut lors d'une escapade au temps jadis, sur mon fidèle destrier compagnon de croisades mystiques hélas aujourd'hui confié aux mains des Dieux, m'en allant visiter au fin fond de la contrée Pontoisienne, dans une sorte de foire dite moderne, un négociant pour ménestrels, à la recherche de quelques fins ingrédients pour mon luth. Le négociant était réputé avare…
Il avait en sa possession un luth, parmi les nombreux exhibés et enchainés comme des jambons, aux formes plus ou moins suggestives où les deux pointes saillantes faisaient soupçonner la présence d’un esprit malveillant tant il semblait être façonné par un luthier inspiré par le diable. Sans doute est-ce pour cela que ces luths portaient des chaines…
Du premier regard, comme atteint par le regard légendaire de Méduse, mon corps se figea pour n’obéir qu’à l’appel des maléfiques formes de cet étrange luth. Ne pouvant que m’approcher, happé et contraint par une force diabolique, mais tentant de fuir du regard l’éclat de ses bois tel Jason, en vain.
Mais c’est alors que ma curiosité prit le pas sur la peur (sans doute étais-je déjà possédé), contemplant avec émerveillement cette rareté au bois semblant vêtu d’une peau de tigresse recouvert d’un verni translucide du plus bel éclat.
La touche extérieure au manche était décorée de pointes acérées incrustées dans le bois tel la fourche du démon transperçant la peau de ses âmes prisonnières.
L’instrument semblait bestial, tant ses mécaniques dorés en une envoutante harmonie avec le bois tigré et dont le cordier pouvant être activé par une sorte de petite manivelle mobile, désaccordant diaboliquement ainsi l’instrument et le réaccordant comme par magie !
Mais qui en était l’auteur ? La tête d’une forme non conventionnelle en ces temps laissait apparaître une inscription incrustée dans le bois, tel un tatouage sur la peau d’esclaves indigènes, sans doute le nom de l’artisan, un certain EPIPHONE. Ce nom me disait quelque chose… On pouvait y lire également une inscription sur une petite plaque située au dessus du sillet d’où les cordes semblaient être emprisonnées. L’inscription était REBEL !
J’en conclu en la présence d’un être maléfique que ma modeste magie ne pouvait résorber. Ces nombreux indices laissaient nul doute penser quand à la provenance de ce luth, sorti tout droit des abysses de l’enfer. La rébellion était alors en marche. L’Armageddon !
Je retourne, empressé, au château afin que Merlin, mon maître, m’aide à trouver les réponses. Ne pouvant me répondre, impuissant par tant d’interrogations et partis lui-même se rendre compte de l’étendue du désastre, j’entrepris seul les investigations. Je pris mon grimoire optique afin de consulter les rares récits sur les pages écrites par quelques initiés à ce sujet occultant petit à petit ma naïveté de jeune apprenti. Je fis part à mon maître des découvertes que j’ai fait à ce sujet dés son retour.
Certains mages des contrées dites aujourd’hui américaines parlant un dialecte étranger mais dont je savais déchiffrer, ont écrit qu’EPIPHONE était un fils adoptif du grand Maître GIBSON, luthier légendaire qui vivait dans les Amériques et dont la qualité de ses œuvres fait encore référence pour de nombreux luthiers. Je me souviens !
Mais en fait, après quelques jours de recherches j’ai lu que ce luth qui a envenimé mon sommeil des jours durant et condamné au bûché son receleur, n’était qu’une copie d’un luth du grand Maître GIBSON au nom étrange et pour le moins futuriste de M3.
Aujourd’hui, le négociant n’est donc plus. Brûlé le jour même de ma découverte pour avoir recelé les objets du diable afin de tirer deniers mais aussi pour avoir rependu les mauvais esprits en chacun de nous, alors qu’il n’en était rien.
Amen
Autre anecdote au sujet de cette guitare.
Ce fut lors d'une escapade au temps jadis, sur mon fidèle destrier compagnon de croisades mystiques hélas aujourd'hui confié aux mains des Dieux, m'en allant visiter au fin fond de la contrée Pontoisienne, dans une sorte de foire dite moderne, un négociant pour ménestrels, à la recherche de quelques fins ingrédients pour mon luth. Le négociant était réputé avare…
Il avait en sa possession un luth, parmi les nombreux exhibés et enchainés comme des jambons, aux formes plus ou moins suggestives où les deux pointes saillantes faisaient soupçonner la présence d’un esprit malveillant tant il semblait être façonné par un luthier inspiré par le diable. Sans doute est-ce pour cela que ces luths portaient des chaines…
Du premier regard, comme atteint par le regard légendaire de Méduse, mon corps se figea pour n’obéir qu’à l’appel des maléfiques formes de cet étrange luth. Ne pouvant que m’approcher, happé et contraint par une force diabolique, mais tentant de fuir du regard l’éclat de ses bois tel Jason, en vain.
Mais c’est alors que ma curiosité prit le pas sur la peur (sans doute étais-je déjà possédé), contemplant avec émerveillement cette rareté au bois semblant vêtu d’une peau de tigresse recouvert d’un verni translucide du plus bel éclat.
La touche extérieure au manche était décorée de pointes acérées incrustées dans le bois tel la fourche du démon transperçant la peau de ses âmes prisonnières.
L’instrument semblait bestial, tant ses mécaniques dorés en une envoutante harmonie avec le bois tigré et dont le cordier pouvant être activé par une sorte de petite manivelle mobile, désaccordant diaboliquement ainsi l’instrument et le réaccordant comme par magie !
Mais qui en était l’auteur ? La tête d’une forme non conventionnelle en ces temps laissait apparaître une inscription incrustée dans le bois, tel un tatouage sur la peau d’esclaves indigènes, sans doute le nom de l’artisan, un certain EPIPHONE. Ce nom me disait quelque chose… On pouvait y lire également une inscription sur une petite plaque située au dessus du sillet d’où les cordes semblaient être emprisonnées. L’inscription était REBEL !
J’en conclu en la présence d’un être maléfique que ma modeste magie ne pouvait résorber. Ces nombreux indices laissaient nul doute penser quand à la provenance de ce luth, sorti tout droit des abysses de l’enfer. La rébellion était alors en marche. L’Armageddon !
Je retourne, empressé, au château afin que Merlin, mon maître, m’aide à trouver les réponses. Ne pouvant me répondre, impuissant par tant d’interrogations et partis lui-même se rendre compte de l’étendue du désastre, j’entrepris seul les investigations. Je pris mon grimoire optique afin de consulter les rares récits sur les pages écrites par quelques initiés à ce sujet occultant petit à petit ma naïveté de jeune apprenti. Je fis part à mon maître des découvertes que j’ai fait à ce sujet dés son retour.
Certains mages des contrées dites aujourd’hui américaines parlant un dialecte étranger mais dont je savais déchiffrer, ont écrit qu’EPIPHONE était un fils adoptif du grand Maître GIBSON, luthier légendaire qui vivait dans les Amériques et dont la qualité de ses œuvres fait encore référence pour de nombreux luthiers. Je me souviens !
Mais en fait, après quelques jours de recherches j’ai lu que ce luth qui a envenimé mon sommeil des jours durant et condamné au bûché son receleur, n’était qu’une copie d’un luth du grand Maître GIBSON au nom étrange et pour le moins futuriste de M3.
Aujourd’hui, le négociant n’est donc plus. Brûlé le jour même de ma découverte pour avoir recelé les objets du diable afin de tirer deniers mais aussi pour avoir rependu les mauvais esprits en chacun de nous, alors qu’il n’en était rien.
Amen
twartagl
762
Posteur·euse AFfolé·e
Membre depuis 20 ans
Citation : Aujourd’hui, le négociant n’est donc plus. Brûlé le jour même de ma découverte pour avoir recelé les objets du diable afin de tirer deniers mais aussi pour avoir rependu les mauvais esprits en chacun de nous, alors qu’il n’en était rien.
Amen
Ca a l'air très, très fort ce que vous prenez cher ami menestrel...Z'en resterions pas un boc?
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ric83
49
Nouvel·le AFfilié·e
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