réactions à la news Compos inspirées : saison 15 !
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Anonyme
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BeÑat
Bonsoir les amis. Mon petit morceau solo :
Toujours ce sens de la mélodie accrocheuse et évidente. Bravo Yosh !
"L'imagination est plus importante que le savoir" A. Einstein
"Et non, Platon n'a pas joué n°10 à la Juventus de Turin, non !"
philrud
Mon soundcloud Good times !
THOMAS charette
Anonyme
Du bon YOSHED !!! : Oui, Mais il y a TOUJOURS des choses à dire quand même du point de vue construction,materiel,inspiration... n'ayant pas la plus belle plume pour exprimer ces arrangements -> je me contenterais bien d'une simple Master-Class, expliqué par l’intéressé lui-même (par exemple....).
Merci
A+
patrick_g75
... En attendant peut-être un jour de ré-actualiser des sons, j'ai utilisé de vieux plugins qui fleurent bon la naphtaline du siècle dernier (je vous avais préviendu !). Mais bon, il y a encore de vraies grattes, basse et boyaux vocaux. Partant toujours de détails tirés de l'image, j'ai imaginé une historiette de souvenirs entre soeurs.
Milesker à Mélissa pour avoir prêté sa voix à cette version.
https://soundcloud.com/gibson64-1/undeuxtroisfenetre
Te souviens-tu soeurette
De ces années-là
Les poudres d'escampette
Qui brûlaient sous nos pas
Aux frontières du couchant
Nos yeux s'allumaient
Un éclat de lune dedans
Et toi tout bas tu disais
Un, deux, trois, Fenêtre
On poussait tout doucement
La bibliothèque
On enjambait prudemment
Le rebord de nos fêtes
Tu disais: La nuit tous les chats sont gris
Je disais: Tous les chaussons noirs
On faisait claquer nos claquettes
Pirouette, cacahuète
Barricader les choupettes
Papa, c'est quoi ça?!
A midi, les midinettes
Ont retrouvé leur joie
Un, deux, trois, Fenêtre
Un, deux, trois, Fenêtre
Un, deux, trois, Fenêtre
Après écoutes multiples…, je me suis formé un avis tout aussi multiple ; je veux dire « partagé ».
Pour simplifier cette multiplicité, je vais dire que, pour tout ce qui ‘musique’, c’est : Yes !
La ligne mélodique, les ruptures de rythmes, la construction du morceau, l'introduction en valse et l'épilogue en "boîte à musique", c'est parfait ! Comme construit comme un opéra miniature. Et, pour ce qui me concerne, cela me plaît beaucoup : et que ce soit construit, et que ce soit sur le modèle de l’opéra.
(Tous ceux qui « font de la chanson » pourraient allez faire un tour – ou plusieurs – du côté de l’opéra, de Monteverdi et Mozart, jusqu’à Wagner et Puccini, pour observer l’interaction parole/musique)
Il semble que, pour certains, les sons aient un côté « naphtaliné » qui gênerait ?
Bof… Moi je les trouve très bien comme ils sont, ces sons.
C’est-à-dire : adaptés au discours tel qu’il est. On sait que ce n’est pas la qualité des sons qui compte (synthétiques ou bien faits à la main, tout nouveaux tout beaux, ou bien un peu usagés), mais la façon dont ils sont mis en relation…
Je trouve le texte superbe. Subtilement « psychologique », bien évocateur, et tout et tout. A la fois profond et léger… A la lecture.
Parce que, c’est là où ça me coince : la voix !
La voix, en elle-même, « instrumentalement » parlant, est de bonne qualité : juste, bien placée, etc. Mais, ce n’est pas parce que le « personnage » censé parler est une fillette qu’il faut oublier que celui qui dit (la situation poétique) est un homme adulte : ‘Papa’ ? Si l’on veut. Et le papa dit les choses (poétiquement) à sa manière d’homme adulte. Il ne dit pas les choses comme pourrait les dire une fillette.
Bref, je trouve que la voix, ici, cherche trop à "faire genre", qu’elle fait trop de « manières » dans le genre "minette". Le problème est cela nuit à la bonne compréhension du texte. Que la 'diction' n'est pas irréprochable, quoi !
Dommage, je trouve…
Voilà, voilà…
"Le jugement est un outil à tous sujets, et se mêle partout... " (Montaigne / Essais I / chap L)
http://patrickg75.blogspot.fr/
https://patrickg.bandcamp.com/
[ Dernière édition du message le 25/08/2017 à 18:24:25 ]
BeÑat
Hé bé, ça fait du bien !
"L'imagination est plus importante que le savoir" A. Einstein
"Et non, Platon n'a pas joué n°10 à la Juventus de Turin, non !"
Anonyme
Merci pour ton retour ! Les accords sont un Gb Maj 7, C7 et F avec des enrichissements,un peu comme des agrégats.
J'aurais pu développer ou moduler à la fin (le truc qui a toujours son effet), c'est vrai. "Aloungé" sur son transat, voilà !
La couleur, c'est ce qui m'a interpellé...
[ Dernière édition du message le 26/08/2017 à 10:49:35 ]
BeÑat
Ma réponse sur cette remarque:
Parce que, c’est là où ça me coince : la voix !
La voix, en elle-même, « instrumentalement » parlant, est de bonne qualité : juste, bien placée, etc. Mais, ce n’est pas parce que le « personnage » censé parler est une fillette qu’il faut oublier que celui qui dit (la situation poétique) est un homme adulte : ‘Papa’ ? Si l’on veut. Et le papa dit les choses (poétiquement) à sa manière d’homme adulte. Il ne dit pas les choses comme pourrait les dire une fillette.
Bref, je trouve que la voix, ici, cherche trop à "faire genre", qu’elle fait trop de « manières » dans le genre "minette". Le problème est cela nuit à la bonne compréhension du texte. Que la 'diction' n'est pas irréprochable, quoi !
Dommage, je trouve…
J'ai d'abord enregistré ma voix (que je suis parfois las d'entendre). Je la trouvais un peu trop mélancolique. J'ai eu la chance d'obtenir la participation de Mélissa afin de comparer l'effet sur ce morceau écrit à la première personne du féminin et se tenant avec un recul de quelques années passées (j'avais vu la deuxième photo où elle sont plus âgées). Et rien n'empêche de les imaginer aussi adultes plus tard. Pour moi, il n'y avait pas photo sur le résultat, de part la tessiture/texte justement.
L'image n'est pour moi qu'un support à l'imaginaire. Si on doit s'en tenir à décrire ce qu'il y a sur cette image, je crois que cela resterait restrictif. En ce sens, quand on n'écrit pas de texte, je crois qu'on prend un peu moins de risque d'être "à côté" de la plaque mais aussi plus à être "incompris" dans ce qu'on veut transmettre. Ce qui guidera notre ressenti seront les tessitures des instruments, les mélodies, etc.
Ici donc, j'imagine donc principalement une des deux soeurs regarder la photo et écrire ou parler à l'autre.
Quand à Mélissa, sa tessiture était un peu à la limite en hauteur pour un chant qui ne mérite pas beaucoup de puissance (donc limite en voix de tête). Ce n'est pas quelqu'un qui fait genre ou manière, sur ou hors scène. En fait, elle fait même presque impassible. Elle n'est pas habituée à chanter ce style, en français. Elle tient le chant/guitare rythmique dans le groupe, de compos originales, "Blastwave" de Bayonne, dans la veine AC/DC. Dernièrement elle a formé un duo acoustique en de reprises en anglais pour viser le statut d'intermittent. Elle doit avoir dans les 22/23 ans max. Enfin, comme pour les miennes, les petites imperfections ne me gênent pas. Je trouve, au contraire, que cela rend les choses plus humaines, plus proches et que cela abolie la distance avec le public, s'il n'est pas trop connaisseur et/ou spécialiste. Et puis, je vais pas en faire tout un disque non ?!
Voilà pour quelques détails sur cette compote.
Béñat
"L'imagination est plus importante que le savoir" A. Einstein
"Et non, Platon n'a pas joué n°10 à la Juventus de Turin, non !"
[ Dernière édition du message le 26/08/2017 à 14:59:51 ]
Monsieur.O
In extremis ! Voici ma participation.
Le titre est très peu compressé, alors augmentez le volume de votre carte son
Un morceau orchestral, plutôt une berceuse, quelque chose qui évoque la nostalgie de l'enfance...
Vivement qu'on puisse écouter tout les titres ensemble !
Bravo à tous
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