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Compos inspirées

réactions à la news Compos inspirées : saison 17 !

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Sujet de la discussion Compos inspirées : saison 17 !

Envie de créer un morceau inspiré par une image ? Parce qu'AF ne sert pas qu'à échanger autour des instruments...

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Ce thread a été créé automatiquement suite à la publication d'une news pour ce produit. N'hésitez pas à poster vos commentaires ici !

 

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151
Euh... Juste pour répondre partiellement à votre demande de formaliser les durées des saisons de compos inspirées:
1. je jongle un peu avec mes dispo aussi pour gérer tout ça, et c'est beaucoup plus simple pour moi de prévoir le rendu lors d'un weekend
2. les premières saisons duraient trois semaines environ plus une semaine pour le sondage de désignation du vainqueur, et j'ai un peu souvenir d'avoir eu des retours indiquant que c'était trop court.
Mais je vous lis, et j'essaie de tenir compte de vos demandes. Cette saison va réserver une (petite) surprise lors de sa fin, et j'essaierai de faire évoluer le truc vers ce que vous demandez.
152
Merci bassmanklm pour ta réponse aussi rapide que bienveillante !
:bravo:

"Le jugement est un outil à tous sujets, et se mêle partout... "  (Montaigne / Essais I / chap L)

http://patrickg75.blogspot.fr/

https://patrickg.bandcamp.com/

 

153
Perso, pour les délais moi ça me pose pas pbs, si je peux participer je le fais autrement j'attends la prochaine, ça dépend de la dispo de chacun et toujours un big merci à Bassman pour tenir le truc :bravo:

----------------------------

Passage en mode Multi

 

http://soundcloud.com/multiform_bdx

[ Dernière édition du message le 21/11/2017 à 13:55:51 ]

154
@multiform : ton morceau est fantastique
Déjà envie de le mettre dans mon Walkman pour aller courir

Pur son, pure pulsation, t'as un fan de plus... :aime:
155
Citation de philrud :
Excellent la Guibole chant + guitare, ça fait rêver !
Riatto : j'aime bien ton titre, le style et tout et tout même hors sujet.
Faudra que je fasse une vidéo piano aussi, ça fait longtemps que j'y pense; c'est long à préparer.


Merci La Guibole ! ;)
156
@ Patrick

Merci pour ton commentaire, celui-ci me conduit à penser que l'ambitieux schéma que je me suis imposé au départ est recevable, c'est gratifiant...

x
Hors sujet :
C’est «marrant» (je n’ai pas d’autre mot que cette approximation) dans tes propos ce soucis de la précision dans la concision, j’ai l’impression que tu cherches à tout dire sans volonté «d’étalement» par peur du dérangement.
Je me dis que parfois pareille gymnastique littéraire doit t'éssouffler...


Une chose est difficile à maitriser (sans doute pour tous) c'est gérer l'absence de recul au moment de rendre la copie publique, cette crainte d'être passé a coté d'un truc qui va sauter aux oreilles de l'auditeur et te foutre la gêne artistique pour les siècles à venir, comment savoir qu'un "truc" est suffisamment aboutit que pour être rendu public, moi perso, ça me titille...
Donc, pour ce qui est des délais 5 à 6 semaines c'est bien...

Le plus majestueux des chênes n'était autrefois rien d'autre qu'un pauvre gland...

 

transmission-soundcloud

 

[ Dernière édition du message le 21/11/2017 à 15:03:55 ]

157
Citation de Riatto_Music :
@multiform : ton morceau est fantastique
Déjà envie de le mettre dans mon Walkman pour aller courir

Pur son, pure pulsation, t'as un fan de plus... :aime:


Ca fait plez, merci :bravo:

Comme d'hab, je mettrais des commentaires à la fin de la saison

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Passage en mode Multi

 

http://soundcloud.com/multiform_bdx

158
Wow multiform la claque ton morceau!! :bravo:
Bon presque comme d'hab j'ai envie de dire :oops2:
159
Mes retours compos:

mellski44:

Woah, on entre dans un univers assez... robotique analogique dés le début. Ca va on est dans le thème. Océan de communications rythmé par un bruit de terre. Le tout étant abstrait et minimaliste. On se croirait perdu dans ces ondes qui traversent les lignes téléphoniques. Comme tu es la première compo, tu places la barrière pour moi, et tu la place assez haute. Ca m'a fait marrer la reproduction de mélodies des années 80 vers la fin. Critiques: Il ne se passe pas autant de choses qu'on pourrait le croire, c'est linéaire, et trop abstrait. Si on avait eu une image d'one ou je sais quoi j'aurais dit pourquoi pas mais là on a des humains. (Je sens que cette critique va ressurgir beaucoup de fois à travers les autres compositions ^^)


BIRAUD Frederic:

Je me demande toujours ce que je vais entendre quand je sais que c'est toi, même si je sais que c'est toi. Et là, encore quelque chose de très bref, très épuré, très simple, très... efficace. Tu as utilisé un rhode, sûrement parce que ça fait penser aux bip téléphonique.
C'est bref, comme un signal électrique. C'est bref, juste le temps qu'une standardiste vous branche au bon numéro. C'est bref, et pourtant ça délivre un message, ou plutôt ça fait le pont entre l'envoyeur et le destinataire. C'est une musique que l'on pourrait entendre (attention: comparaison à la con) lors, par exemple, de la connection d'une nintendo DS à l'internet. En tout cas ça fait bien penser à la communication, et à l'attente. Or ce sont deux phénomènes que l'on retrouve décrit par l'image.
Très imagé comme composition, mais, encore une fois, très efficace. J'approuve!


Regardz:

Au début: une flute? Pourquoi donc? Je m'attendais à plein de truc sauf à ça.
Puis arrivent les autres instruments: encore les rhodes/electric piano, et une batterie.
La flute étant (ou ayant l'air, en tout cas) la seule présence naturelle, le reste étant électronique. Ah! C'est quelque chose de nouveau par rapport aux deux morceaux précédents!
Le rythme semble présent, mais reste épart. Cependant il n'est pas aussi aléatoire qu'il puisse vouloir nous faire croire. Cette batterie représenterait-elle les impulsions électriques représentant l'information?
Quid de ce rhodes alors? Pour moi, ils représentent l'espace dans lequel se transmet l'information. Et la flûte? Le facteur humain, ou le message, je ne sais pas.
Le tout sans mélodie claire, ni grille d'accords, ce qui reste pour le moment une constante à propos de cette image. C'est intéressant! Maintenant, est-ce que la suite sera pareille, voyons voir tout de suite.
philrud
On ouvre avec des sonneries de téléphones... Bah oui puisque c'est des standardistes.
Après on continue avec...
ce qui s'apparente a un mec qui est dans les années 90 et qui essaye de faire un tube, mais avec une mélodie/suite d'accord sortie des années 60? Oulah, c'est très bizarre... le tout très "muddy", très en bazar... C'est... déconcertant.
Je l'avoue que je me suis dit au début "Ouh, c'est pas forcément plaisant à entendre...", et puis les paroles qui, comme la mélodie, sort de la pop française des années 60... Un vrai bazar.
En tout cas, cette piste a peut-être été créée avec un message, une idée en tête que tu as essayé de retranscrire en musique, mais pour moi, cela ne m'a pas touché... J'ai peut-être manqué quelque chose.


D'jé FRANC

Je clique les yeux fermés sur ta chanson, car je sais que ce sera au moins bien. Et on entre tout de suite dans le vif du sujet, avec un flux continu de synthétiseurs, des nappes d'accords qui brillent, et qui n'en finissent pas d'avoir des teintes mélancoliques, tandis que le lead essaye de temps en temps de faire surface, mais est rapidement noyé par ce flot d'information.
Alors, j'ai encore une interprétation différente pour ce morceau (farfelue? Paut-être). En effet, le lead représenterait les femmes au travail (de standardiste), tandis que les arpeggios représentent le flux ininterrompu des conversations que ces dames ne peuvent pas entendre mais dont elles savent la présence, et leur chemin: ces fils, représentés par la batterie.
Encore une fois une belle composition, FRANC.
Yoshed
Allez, à ton tour. Yoshed, j'ai souvent écouté tes compositions pour les manches précédentes, mais j'avoue ne pas avoir été conquis. Ne me demande pas pourquoi, c'est un tout qui fait que je n'accroche pas.
En tout cas on commence avec une nuée de cordes en pizzicato, un violoncelle gracieux sur fond de violons effrénés et de guitare électrique jouée en mute. Arrivent alors une batterie rock pressée, et puis ensuite la guitare électrique se déchaîne peu après qu'un piano et que des cloches aient fait leur apparition... le tout s'enchaînant très vite, on a pas le temps de souffler que tout est déjà fini. Deuxième écoute.
Le titre, rien que lui, est très bien choisi selon moi. En plus, il est ambigu: parle-t-on de la standardiste ou de celui qui appelle? La musique, par contre, étant très bien faite, suit son flot, mais sans porter de réel sens selon moi, ou en tout cas je n'en ai pas perçu. En plus, je n'ai pas réussi à faire beaucoup le rapprochement avec l'image. Pour finir, je trouve le mixage trop brouillon et avec beaucoup trop de reverb. Désolé Yoshed mais ça ne sera pas pour cette fois-ci.


Kitusai:

Je commence le morceau et direct j'entends tes fameuses cloches. Un morceau qui devient vite assez envoûtant. J'entends des sons dont je peine à définir la provenance ou encore la texture, des reflets se propagent dans l'espace, et soudain... je me retrouve projeté... où? Je ne sais pas, mais cet instrument à cordes inconnu m'a bien fait tripper. L'ambiance apportée par ledit instrument s'arrête ensuite brusquement, et fait place à quelque chose de plus sombre, plus inquiétant, avant de s'éteindre.
Deuxième écoute. Ah! C'est peut être une sonnerie qu'on entend et qui est stridente et qui revient. Et quand ça s'arrête, une standardiste aura alors pris le relais. Ah! Je vois, et du coup s'installe dans ma tête l'idée d'un train non pas infernal, mais soutenu, sous lequel travailleraient les dames, alors. Une sorte de passage ou elles devraient prendre plein d'appel en même temps. Et alors, je ne sais pas pourquoi, mais l'instrument à cordes non identifié serait là pour nous dire que telle est la vie quotidienne d'une standardiste.
Et quand la sonnerie et l'instrument s'arrête, on n'a alors plus le facteur humain et on passerait directement alors purement aux signaux électriques. Comme si on rentrait dans une de ces prises, et qu'on y sentait les ondes passer. Ah ouais, c'est quand même pas mal.
Kitusai, ce morceau est très bien, en plus de m'avoir bien fait visualiser le tableau, il crée des ambiances agréables, et on reconnait bien que c'est toi qui en est à l'origine. En bref j'ai apprécié.


patrick_g75

Un piano qui joue des notes, peu espacées, et qui ne s'arrètent pas dans leur flot et dans leur régularité. Mineur, majeur, autre accord, la deuxième main qui, plus aigue, vient s'ajouter. Aussi carrée que sa congénère au début, elle va se libérer du rythme continu imposé par la première main, va vire volter. On a alors l'apparition discrète puis omniprésente d'une flûte qui vient faire des trilles. Crescendo, decrescendo, sur des accords, de la flute qui, rapide comme l'éclair, passe de gauche à droite.
Retour du piano avec le deux mains. La main gauche qui ordonne, la main droite qui suit péniblement. Une guitare clean très rapide, et des vents qui arriVENT A TOUTE VITESSE AIE ca sature (mais ça va).
C'est fini? Ah non, ça repart mais plus doucement.
C'est fini? Derechef, ça reprend.
C'est fini? Oui.
Que dire de ce morceau? Dans un premier temps, bien qu'ayant une connaissance de la musique symphonique "moderne" limitée, je ne peux nier que le morceau (et certains passages en particulier, comme par exemple lorsque la flute fait du va-et-vient sur les accords des vents) m'a beaucoup fait penser à du Steve Reich. Et du coup, on visualise bien le flux d'information.
Après, je vais faire la même réflexion qu'a une autre composition: et nos standardistes dans tout ça? Je peine à les voir.
Ce n'est pas un morceau que j'écouterais dans la vie de tous les jours, mais il fut plaisant à écouter. En plus il m'a paru plus "abordable" que tes titres en général, Patrick.


RvBy:

Ah! Un morceau qui promet d'être un minimum plus """""""normal"""""". Une ambiance installée dès le début par un piano ostinataire.
L'instrumentation est bien mixée, bien produite, mais je ne suis pas fan de la voix.
Par contre, ce dont je suis absolument fan ce sont les paroles.
Très belles paroles! Chapeau bas. Ornementées de nombreuses figures de styles, ça nous raconte l'histoire d'un homme qui, loin des standardistes, est seul, envieux et jaloux d'elle. Cependant qu'elles sont inconscientes (indifférentes) du sort de cet homme: elles travaillent dans une ambiance assez chaleureuse (elles rient, parlent tout haut, ont des rêves et ont une vie). L'homme les voit, elles ne voient pas l'homme: lui qui est seul, jaloux, et, il l'admet lui-même, porteur d'un coeur sale. Il veut voler ce qui leur appartient: leur nuits, leur rires, leur rêves. C'est pas Jojo lapin quoi.
Oui, cette chanson m'a touché. Bravo, belles paroles encore une fois.

Voilà pour cette première session d'écoute, je reviendrai plus tard pour le reste.

quoi? musique? ah, tu as dit vie. bah, c'est pareil, non?

160
Citation de erewhon :
@ Patrick

Merci pour ton commentaire, celui-ci me conduit à penser que l'ambitieux schéma que je me suis imposé au départ est recevable, c'est gratifiant...

x
Hors sujet :
C’est «marrant» (je n’ai pas d’autre mot que cette approximation) dans tes propos ce soucis de la précision dans la concision, j’ai l’impression que tu cherches à tout dire sans volonté «d’étalement» par peur du dérangement.
Je me dis que parfois pareille gymnastique littéraire doit t'éssouffler...


Une chose est difficile à maitriser (sans doute pour tous) c'est gérer l'absence de recul au moment de rendre la copie publique, cette crainte d'être passé a coté d'un truc qui va sauter aux oreilles de l'auditeur et te foutre la gêne artistique pour les siècles à venir, comment savoir qu'un "truc" est suffisamment aboutit que pour être rendu public, moi perso, ça me titille...
Donc, pour ce qui est des délais 5 à 6 semaines c'est bien...



Ben, pour moi, en dehors du bénéfice tout personnel que je peux retirer de ces exercices de commentaires, si en plus ça peut encourager le commenté dans ce qui m'a semblé être le "bon" sens... C'est la cerise sur le gâteau.
:D:

Selon mon expérience, à chaque fois que l'on tente quelque chose d'un peu nouveau, d'un peu inédit pour soi, on manque toujours de ce recul dont tu parles.
Mais je ne crois pas qu'il faille vraiment regretter son absence : en général, si on se trouve un peu sûr de publier quelque chose d'abouti, c'est surtout parce que l'on a déjà éprouvé la recette ; on est sur le chemin du radotage..., ou bien du retour sur investissement ?
Chacun en juge selon ses besoins.

x
Hors sujet :
Souci de la précision dans la concision ? Ben... oui, en général, j'essaye souvent de faire plus avec moins. Mais, rassure-toi, ce n'est pas du tout essoufflant !
Au contraire...
;)

"Le jugement est un outil à tous sujets, et se mêle partout... "  (Montaigne / Essais I / chap L)

http://patrickg75.blogspot.fr/

https://patrickg.bandcamp.com/