Même si ce genre de produit m'intéresse pas mal : espérons que ce sera parfaitement compatible avec d'autres logiciels que Studio One. Après avoir visionné le test de la v3... ben je suis très content de mon Ableton Live SUITE... et j'espère que je pourrai utiliser ce Pressons AR12 pour enregistrer dans Live.
Pour la p'tite histoire, j'adore Live et son mode session... qui me permet de composer mes morceaux... et ensuite j'enregistre de manière plus classique en mode arrangement... Attendons de voir...
Est il possible d'enregistrer chaque piste séparément lors d'une session de groupe ou seulement en stéréo ? Veuillez excuser mon ignorance, j'ai toujours enregistré en solo et là ne nage...
C'est pas mal mais aurait pu mieux faire. En particulier en ce qui concerne la question des Send / Return ultra-sensible lorsqu'on possède un cheptel d'FX de qualité supérieure ... Pour moi, la Behringer UFX-6104 reste bien devant ces nouvelles PreSonus en termes de fonctionnalités et de possibilités de connections.
Ne fallait-il pas sacrifier Dieu lui-même et, par cruauté vis-à-vis de soi-même, adorer la pierre, la bêtise, la lourdeur, le destin, le néant ? F. Nietzsche
Krapod
15697
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Membre depuis 14 ans
18Posté le 09/06/2016 à 10:35:47
Oui, la connectique et les fonctionnalités sont minimalistes sur ces Presonus : pas de Return, pas d'inserts saufs sur les deux premières voies des AR12 et 16, pas de sous groupe.
Reste la dernière tranche bien fournie : RCA, mini-jack stéréo, USB, SD-Card et Bluetooth.
L'UFX possède une fonction d'enregistrement sur clef USB ainsi qu'une fonction "Player" toujours à partir de cette clef USB. Clef USB qui peut aussi être un disque dur de type SSD, plus véloce et plus capacitif. La chose vraiment sympathique de cette série PreSonus est l'implémentation du BlueTooth en tant que source de signal, idéal lorsqu'on utilise un iBidule en tant que générateur de sons ....
Ne fallait-il pas sacrifier Dieu lui-même et, par cruauté vis-à-vis de soi-même, adorer la pierre, la bêtise, la lourdeur, le destin, le néant ? F. Nietzsche