Qques Questions:
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Anonyme
818
Sujet de la discussion Posté le 23/10/2007 à 10:24:49Qques Questions:
Je viens d'acquerir une belle FW 1884 mais j'ai quelques questions :
Je l'utilise pour piloter Logic Studio depuis un mac pro.
Comment dois je configurer ma tascam dans le manager, je la laisse en protocol native ???
J'ai pris sur le site tascam 1 fichier appellé :
Logic OSX Control Surface V1.10.sit
L'utilisez vous ???
En mode computer pourquoi faut il repasser par le mode mon mix pour regler le gains des entrées analogiques de la table ???
On peut pas le faire directement par le bouton trim ???
Je l'utilise pour piloter Logic Studio depuis un mac pro.
Comment dois je configurer ma tascam dans le manager, je la laisse en protocol native ???
J'ai pris sur le site tascam 1 fichier appellé :
Logic OSX Control Surface V1.10.sit
L'utilisez vous ???
En mode computer pourquoi faut il repasser par le mode mon mix pour regler le gains des entrées analogiques de la table ???
On peut pas le faire directement par le bouton trim ???
loicm
806
Posteur·euse AFfolé·e
Membre depuis 21 ans
11 Posté le 24/10/2007 à 13:00:01
LES NIVEAUX AUDIO
Nous recevons régulièrement des titres à mixer ou à masteriser qui ne possèdent pas des niveaux corrects. Il semble nécessaire de rappeler quelques règles simples permettant à chacun d'améliorer sa technique et la qualité de son travail.
L' ENREGISTREMENT
Pour enregistrer en numérique, on peut résumer de manière simple ce qui est nécessaire : un micro, un préampli et un convertisseur analogique/numérique. Le micro capte la source, le préampli amplifie cette source (souvent de manière importante, de l'ordre de 1 pour 1000) et le convertisseur encode les signal reçu en données numériques. Généralement en 24 bit à l'heure actuelle (oubliez le 16 bit, c'est dépassé).
En analogique, les choses étaient simples : les Vu-mètre du préampli et de l'enregistreur indiquaient la même chose. En numérique, c'est quelque peu différent. Votre station de travail numérique ne possède pas un Vu-mètre, mais un crêtemètre (Peakmeter en anglais). Et celui ci vous donne le « niveau maximum acceptable » pour l'enregistrement numérique, et son échelle n'est pas la même que le Vu-mètre analogique.
Si vous en avez la possibilité, réalisez le test suivant : envoyez un signal stable dans votre préampli, de manière à ce que son Vu-mètre mentionne « 0 dB ». Regardez maintenant votre crêtemètre sur votre station de travail (votre logiciel d'enregistrement par exemple). Qu'indique-t-il ? - 14 dBFS (FS voulant dire : « Full Scale »). Cela veut donc dire que lorsque vous enregistrez avec votre crêtemètre indiquant « 0 dBFS » votre préampli analogique est lui à + 14 dB, soit en surcharge. Si les préamplis haut de gamme acceptent de « passer dans le rouge » sans broncher (voire même parfois avec un son intéressant), les préamplis plus « moyen de gamme » comme ceux qu'on trouve habituellement en home studio permettent rarement d'entrer dans le rouge sans dégradation sonore.
Or, travailler à –14 dBFS en 24 bit ne pose aucun problème. Pourquoi ? Chaque bit représente une dynamique théorique de 6 dB. Donc à –12 dBFS nous sommes en 22 bit, soit encore bien assez pour obtenir une excellente qualité sonore. Le 20 bit étant suffisant pour obtenir une qualité idéale, les 4 bit supplémentaires constituent une réserve. Travailler à –14 dBFS permettra donc surtout de garder un signal exempt de distorsion. Car une erreur multipliée par le nombre de pistes que compte votre enregistrement risque de faire ressembler votre création à quelque chose de peu agréable à écouter, pour le dire gentiment.
LE MIXAGE
Ici aussi il y a des règles idéales à respecter. Première erreur courante : croire que le master fader peut résoudre tous les problèmes. Imaginons une table de mixage avec le « Master Fader » à « 0 dB » (genre aux ¾ de sa course). Quand on regarde le peakmètre de cette piste, on constate qu'on est au-dessus du 0dBFS et donc que le son est distordu. Le premier réflexe serait de baisser le fader master. Erreur fatale ! En effet, ce qui entre dans votre piste « master » est toujours en surcharge, mais vous avez simplement baissé le niveau de sortie. Alors que la distorsion était présente à l'entrée. La solution dans ce cas aurait été de laisser le fader master sur « 0 dB » et de baisser les pistes individuelles.
En effet, pour obtenir une lecture fiable de votre peakmètre « master » le fader correspondant doit obligatoirement être placé sur « 0 dB ». Là, vous saurez exactement ce qui entre dans votre piste « master ». Ceci est aussi valable pour les sous groupes : pour contrôler ce qui entre dans votre sous groupe, placez votre fader sur "0 dB".
Et si vous souhaitez effectuer un mastering de votre mixage, vous ne devriez idéalement pas moduler plus haut que –12 dBFS sur votre peakmètre « master ». Moduler de temps à autre jusque – 6 dBFS sera sans conséquence.
Pourquoi est-il nécessaire de prévoir une telle réserve ? Simplement parce qu'il est possible que le mastering se fasse en tout ou en partie à l'aide d'appareils analogiques (toutes les maisons de mastering sérieuses utilisent encore quotidiennement des machines analogiques genre Manley, GML, Summit Audio, Focusrite, etc.). Dans ce cas si votre mix numérique sonne à « 0 dBFS », vous risquez, comme on l'a vu plus haut de saturer à l'entrée de ces machines.
A supposer que le mastering se fasse entièrement en numérique et que pour telle ou telle bonne raison il soit nécessaire d'amplifier une fréquence de quelques dB. Si votre mix module à 0dBFS, cela ne sera pas possible, sous peine de distorsion numérique ( c'est TRES laid !). Alors que si vous aviez laissé de la marge comme expliqué plus haut, cette opération ne poserait aucun problème.
Bien entendu, il sera possible de baisser le niveau de la piste stéréo que vous avez envoyée. Mais s'il y a moyen de ne pas effectuer cette opération, ce sera encore mieux. Chaque opération numérique engendre un calcul susceptible de dégrader la qualité sonore, la règle « less is more » est d'application. Baisser le niveau pour le monter ensuite n'est sans doute pas l'idéal, vous en conviendrez.
Au final, le niveau de votre CD masterisé sonnera aussi fort, que vous fournissiez une piste audio à masteriser qui module à –12 dBFS ou à 0 dBFS. Donc autant ne pas prendre de risques et fournir directement le travail le plus efficace. En effet, il sera dès lors possible pour le mastering de réaliser un travail de meilleure qualité. Imaginons un mix où chaque piste enregistrée rend un son légèrement dégradé par la faute d'écrêtage du préampli. Lorsqu'on va écouter le mixage, il risque de sonner agressif et peu défini. Le mastering va monter le niveau sonore, et aussi les petits défauts du mix, qui deviendront grands. Il ne sera dès lors sans doute pas possible de faire sonner aussi fort un mix légèrement distordu qu'un enregistrement/mixage correctement réalisé.
En effet, un mastering est toujours un compromis : on fait sonner plus fort, au prix d'une légère dégradation sonore et dynamique. Plus votre mix sonnera clair et pur, plus il sera possible de faire sonner fort sans dégradation notable. C'est aussi pour cela qu'il vaut mieux fournir un mix aéré et sans compression plutôt qu'un mix surcompressé. Mais ceci est une autre histoire…qui fera sans doute l'objet d'un autre article.
RROLAND
Nous recevons régulièrement des titres à mixer ou à masteriser qui ne possèdent pas des niveaux corrects. Il semble nécessaire de rappeler quelques règles simples permettant à chacun d'améliorer sa technique et la qualité de son travail.
L' ENREGISTREMENT
Pour enregistrer en numérique, on peut résumer de manière simple ce qui est nécessaire : un micro, un préampli et un convertisseur analogique/numérique. Le micro capte la source, le préampli amplifie cette source (souvent de manière importante, de l'ordre de 1 pour 1000) et le convertisseur encode les signal reçu en données numériques. Généralement en 24 bit à l'heure actuelle (oubliez le 16 bit, c'est dépassé).
En analogique, les choses étaient simples : les Vu-mètre du préampli et de l'enregistreur indiquaient la même chose. En numérique, c'est quelque peu différent. Votre station de travail numérique ne possède pas un Vu-mètre, mais un crêtemètre (Peakmeter en anglais). Et celui ci vous donne le « niveau maximum acceptable » pour l'enregistrement numérique, et son échelle n'est pas la même que le Vu-mètre analogique.
Si vous en avez la possibilité, réalisez le test suivant : envoyez un signal stable dans votre préampli, de manière à ce que son Vu-mètre mentionne « 0 dB ». Regardez maintenant votre crêtemètre sur votre station de travail (votre logiciel d'enregistrement par exemple). Qu'indique-t-il ? - 14 dBFS (FS voulant dire : « Full Scale »). Cela veut donc dire que lorsque vous enregistrez avec votre crêtemètre indiquant « 0 dBFS » votre préampli analogique est lui à + 14 dB, soit en surcharge. Si les préamplis haut de gamme acceptent de « passer dans le rouge » sans broncher (voire même parfois avec un son intéressant), les préamplis plus « moyen de gamme » comme ceux qu'on trouve habituellement en home studio permettent rarement d'entrer dans le rouge sans dégradation sonore.
Or, travailler à –14 dBFS en 24 bit ne pose aucun problème. Pourquoi ? Chaque bit représente une dynamique théorique de 6 dB. Donc à –12 dBFS nous sommes en 22 bit, soit encore bien assez pour obtenir une excellente qualité sonore. Le 20 bit étant suffisant pour obtenir une qualité idéale, les 4 bit supplémentaires constituent une réserve. Travailler à –14 dBFS permettra donc surtout de garder un signal exempt de distorsion. Car une erreur multipliée par le nombre de pistes que compte votre enregistrement risque de faire ressembler votre création à quelque chose de peu agréable à écouter, pour le dire gentiment.
LE MIXAGE
Ici aussi il y a des règles idéales à respecter. Première erreur courante : croire que le master fader peut résoudre tous les problèmes. Imaginons une table de mixage avec le « Master Fader » à « 0 dB » (genre aux ¾ de sa course). Quand on regarde le peakmètre de cette piste, on constate qu'on est au-dessus du 0dBFS et donc que le son est distordu. Le premier réflexe serait de baisser le fader master. Erreur fatale ! En effet, ce qui entre dans votre piste « master » est toujours en surcharge, mais vous avez simplement baissé le niveau de sortie. Alors que la distorsion était présente à l'entrée. La solution dans ce cas aurait été de laisser le fader master sur « 0 dB » et de baisser les pistes individuelles.
En effet, pour obtenir une lecture fiable de votre peakmètre « master » le fader correspondant doit obligatoirement être placé sur « 0 dB ». Là, vous saurez exactement ce qui entre dans votre piste « master ». Ceci est aussi valable pour les sous groupes : pour contrôler ce qui entre dans votre sous groupe, placez votre fader sur "0 dB".
Et si vous souhaitez effectuer un mastering de votre mixage, vous ne devriez idéalement pas moduler plus haut que –12 dBFS sur votre peakmètre « master ». Moduler de temps à autre jusque – 6 dBFS sera sans conséquence.
Pourquoi est-il nécessaire de prévoir une telle réserve ? Simplement parce qu'il est possible que le mastering se fasse en tout ou en partie à l'aide d'appareils analogiques (toutes les maisons de mastering sérieuses utilisent encore quotidiennement des machines analogiques genre Manley, GML, Summit Audio, Focusrite, etc.). Dans ce cas si votre mix numérique sonne à « 0 dBFS », vous risquez, comme on l'a vu plus haut de saturer à l'entrée de ces machines.
A supposer que le mastering se fasse entièrement en numérique et que pour telle ou telle bonne raison il soit nécessaire d'amplifier une fréquence de quelques dB. Si votre mix module à 0dBFS, cela ne sera pas possible, sous peine de distorsion numérique ( c'est TRES laid !). Alors que si vous aviez laissé de la marge comme expliqué plus haut, cette opération ne poserait aucun problème.
Bien entendu, il sera possible de baisser le niveau de la piste stéréo que vous avez envoyée. Mais s'il y a moyen de ne pas effectuer cette opération, ce sera encore mieux. Chaque opération numérique engendre un calcul susceptible de dégrader la qualité sonore, la règle « less is more » est d'application. Baisser le niveau pour le monter ensuite n'est sans doute pas l'idéal, vous en conviendrez.
Au final, le niveau de votre CD masterisé sonnera aussi fort, que vous fournissiez une piste audio à masteriser qui module à –12 dBFS ou à 0 dBFS. Donc autant ne pas prendre de risques et fournir directement le travail le plus efficace. En effet, il sera dès lors possible pour le mastering de réaliser un travail de meilleure qualité. Imaginons un mix où chaque piste enregistrée rend un son légèrement dégradé par la faute d'écrêtage du préampli. Lorsqu'on va écouter le mixage, il risque de sonner agressif et peu défini. Le mastering va monter le niveau sonore, et aussi les petits défauts du mix, qui deviendront grands. Il ne sera dès lors sans doute pas possible de faire sonner aussi fort un mix légèrement distordu qu'un enregistrement/mixage correctement réalisé.
En effet, un mastering est toujours un compromis : on fait sonner plus fort, au prix d'une légère dégradation sonore et dynamique. Plus votre mix sonnera clair et pur, plus il sera possible de faire sonner fort sans dégradation notable. C'est aussi pour cela qu'il vaut mieux fournir un mix aéré et sans compression plutôt qu'un mix surcompressé. Mais ceci est une autre histoire…qui fera sans doute l'objet d'un autre article.
RROLAND
Anonyme
818
12 Posté le 24/10/2007 à 13:07:18
Merci beaucoup Loic pour tes explications, exemples, etc
Si j'ai bien compris je met l'overload à 0 dB, je verifie que tout est en 24 Bit...
A ce moment la je devrais avoir une correspondance entre entrée et sortie, il me faudra par contre regler mes Vu metre pour obtenir la meme mesure de volume que celle donnée par l'overload de la tascam ???
Sur protools ca fonctionnait jaimerai bien retrouver ca sur Logic...
Si j'ai bien compris je met l'overload à 0 dB, je verifie que tout est en 24 Bit...
A ce moment la je devrais avoir une correspondance entre entrée et sortie, il me faudra par contre regler mes Vu metre pour obtenir la meme mesure de volume que celle donnée par l'overload de la tascam ???
Sur protools ca fonctionnait jaimerai bien retrouver ca sur Logic...
Anonyme
3670
13 Posté le 24/10/2007 à 13:09:31
0dB analogiques ( = +4 dBu ) correspondent a - 14 dBfs ( numerique )
pour moi, les preamplis de la tascam , au vu de ce que tu dis , sont analogiques ....donc leur 0 dB est a l echelle analogique et les peaks metres de logic sont en dBfs ( je n ai pas vu logic depuis au moins 4 ans ) a voir si dans logic y a pas moyen de changer ca et que tout le monde soit au meme 0 ce qui serai plus comfortable
en tous cas en l etat actuel c est sur que tu as largement de quoi faire saturer tes preamps et /ou degrader ton signal ce qui est l erreure que bcp de gens font sans forcement s en rendre compte ;) ( calibrer ( et conserver ) un bon niveau d ecoute est indispensable )
++
pour moi, les preamplis de la tascam , au vu de ce que tu dis , sont analogiques ....donc leur 0 dB est a l echelle analogique et les peaks metres de logic sont en dBfs ( je n ai pas vu logic depuis au moins 4 ans ) a voir si dans logic y a pas moyen de changer ca et que tout le monde soit au meme 0 ce qui serai plus comfortable
en tous cas en l etat actuel c est sur que tu as largement de quoi faire saturer tes preamps et /ou degrader ton signal ce qui est l erreure que bcp de gens font sans forcement s en rendre compte ;) ( calibrer ( et conserver ) un bon niveau d ecoute est indispensable )
++
loicm
806
Posteur·euse AFfolé·e
Membre depuis 21 ans
14 Posté le 24/10/2007 à 13:11:52
Bon je regarde ce soir car je suis au taf là ...
Moi j'ai cubase et un 0 dB tascam = -14 dBFs dans cubase sur les peakmetres.
En 24 bits.
Ca marche très bien comme ça.
Je comprends pas trop ton blocage là. Ce qui compte c'est de ne pas saturer les convertos et d'être au max du signal sur bruit. Aucun peak metre est assez rapide pour vérifier un coup de caisse claire.
Enregistre un peu et regarde la forme d'onde. Par exemple chez moi la CC module à 40 % en moyenne et sur un coup fort monte à 100 % (sans compression ...).
Et la led n'a pas le temps de s'allumer ...
@+
Loïc
Moi j'ai cubase et un 0 dB tascam = -14 dBFs dans cubase sur les peakmetres.
En 24 bits.
Ca marche très bien comme ça.
Je comprends pas trop ton blocage là. Ce qui compte c'est de ne pas saturer les convertos et d'être au max du signal sur bruit. Aucun peak metre est assez rapide pour vérifier un coup de caisse claire.
Enregistre un peu et regarde la forme d'onde. Par exemple chez moi la CC module à 40 % en moyenne et sur un coup fort monte à 100 % (sans compression ...).
Et la led n'a pas le temps de s'allumer ...
@+
Loïc
Anonyme
818
15 Posté le 24/10/2007 à 13:19:38
Bah ce que j'aimerai c'est trouver un reglage ou mon vu metre logic ( en pre fader ) m'affiche la meme chose que si javais un vu metre sur ma tascam qui m'indiquait l'entrée du signal.
C'est comme ca que je bossais sous protools...
Je boostais mon synthé puis je baissais les gain de ma carte son, jutilisais donc le meilleur signal bruit...
Quand je sors un son de basse avec de longues notes par exemple j'aime pouvoir visualiser direct dans Logic le niveau du signal en entrée avec comme reference que si ca passe au rouge faut que je baisse le gain d'entrée de ma carte son...
Je peux pas etre plus clair
C'est comme ca que je bossais sous protools...
Je boostais mon synthé puis je baissais les gain de ma carte son, jutilisais donc le meilleur signal bruit...
Quand je sors un son de basse avec de longues notes par exemple j'aime pouvoir visualiser direct dans Logic le niveau du signal en entrée avec comme reference que si ca passe au rouge faut que je baisse le gain d'entrée de ma carte son...
Je peux pas etre plus clair
loicm
806
Posteur·euse AFfolé·e
Membre depuis 21 ans
16 Posté le 24/10/2007 à 14:13:55
Ben si tu mets la carte en mode both et que tu fais un pfl sur ta piste en solo tu verras sur la partie analogique de ta tascam le signal dans son vu metre et c'est pas mal.
Regarde quand même si ton NL3 a un signal sur bruit au top quand il est a fond. C'est pas forcement vrai avec les étages de sortie à fond.
Regarde quand même si ton NL3 a un signal sur bruit au top quand il est a fond. C'est pas forcement vrai avec les étages de sortie à fond.
Anonyme
818
17 Posté le 24/10/2007 à 14:25:23
J'ai essayé de me renseigner mais pas reussi à avir l'info, j'aimerai trouver un compromis entre tous ces etages ;)
Anonyme
3670
18 Posté le 24/10/2007 à 14:34:17
Hors sujet : Citation : avec les étages de sortie à fond.
Anonyme
818
20 Posté le 29/10/2007 à 09:50:46
Loic encore merci pour tes reponse, je suis repassé à -2,5 dbfs pour l'overload, ca permet d'avoir une marge pour eviter de taper dans le rouge aussi bien dans la console que sur mon synthé
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