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CyaPa
Quand l’habit fait le moine
Publié le 20/01/24 à 17:58J'expérimente avec cette Fuzz Jupiter V2 depuis cinq ans à travers des styles rock/indie/ambient, sur guitare Jazzmaster TVL ou Duesenberg Caribou, en groupe ou à la maison, branché sur un Laney L5-studio Lionheart (via enceinte 12’ ou au casque K7XX).
La pédale est super solide, aucune égratignure après plusieurs années d’utilisation et d’aller-retours sur le pedalboard. J’apprécie les sorties jack sur le côté, ça permet de varier les agencements. La finition est impeccable, notamment l’artwork qui symbolise bien les sonorités caractéristiques de la Fuzz.
En ce qui concerne le son, il est massif, épais, riche en harmoniques et surtout en gain ! Les power chords produisent un mur de...…
La pédale est super solide, aucune égratignure après plusieurs années d’utilisation et d’aller-retours sur le pedalboard. J’apprécie les sorties jack sur le côté, ça permet de varier les agencements. La finition est impeccable, notamment l’artwork qui symbolise bien les sonorités caractéristiques de la Fuzz.
En ce qui concerne le son, il est massif, épais, riche en harmoniques et surtout en gain ! Les power chords produisent un mur de...…
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J'expérimente avec cette Fuzz Jupiter V2 depuis cinq ans à travers des styles rock/indie/ambient, sur guitare Jazzmaster TVL ou Duesenberg Caribou, en groupe ou à la maison, branché sur un Laney L5-studio Lionheart (via enceinte 12’ ou au casque K7XX).
La pédale est super solide, aucune égratignure après plusieurs années d’utilisation et d’aller-retours sur le pedalboard. J’apprécie les sorties jack sur le côté, ça permet de varier les agencements. La finition est impeccable, notamment l’artwork qui symbolise bien les sonorités caractéristiques de la Fuzz.
En ce qui concerne le son, il est massif, épais, riche en harmoniques et surtout en gain ! Les power chords produisent un mur de son brutal qui me ravi les oreilles. En accord les notes conservent leur clarté, les harmoniques se détachent, d’autant plus si un overdrive nourrie la pédale en amont. En solo, la fuzz a du sustain à revendre, c’est certain. Il est important de noter que réduire le réglage interne de gate (bias/starve) limitera le sustain tout en introduisant un petit côté « râpeux » (vaguement velcro) surtout dans les fréquences basses. Ce trimpot me plait bien, c’est sympa pour expérimenter ! C’est d’ailleurs vraiment dommage qu’il faille ouvrir la pédale pour y accéder, il aurait dû être placé à l’extérieur, quitte à ce que ce soit sur un côté.
Le cleanup au potard de volume de la guitare n’est pas son point fort, ce qui n’est pas surprenant venant d’une fuzz qui a probablement 4 transistors, mais cela s’arrange un peu si la Jupiter est précédée d’un overdrive.
La fuzz a du volume à revendre et le réglage de tonalité permet de cibler une large plage de fréquences. Pour ma part il est souvent à 13-14h pour éclaircir la fuzz et limiter les fréquences basses. C’est d’autant plus nécessaire lorsque l’on passe du micro chevalet au micro manche : les basses prennent tout de suite beaucoup de place et augmenter le Tone aux trois quart permet de rééquilibrer le tout. Par contre rien à redire entre les micros simple ou double, la fuzz est efficace dans les deux cas.
Le switch «bass » n’a pas un effet perceptible avec la Jazzmaster et juste un peu avec la Duesenberg montée en micro double, c’est peut-être parce que la pédale a déjà beaucoup de basses à revendre. J’imagine que ça doit être intéressant lorsque l’on branche une basse électrique. A noter qu’en lui accolant une octave inférieure avec une OC-5 en amont, on entend mieux lorsque ce switch est enclenché.
Le switch « mode » permettant de sélectionner la diode d’écrêtage est le point fort de la Jupiter. Au centre c’est une fuzz chargée en médium bien épaisse (pensez Green Russian), à gauche c’est une égalisation plate et équilibrée parfaite pour les accords, tandis qu’à droite les fréquences mediums sont creusées, rappelant les sonorités scooped de la Big Muff Pi.
Difficile de trouver des informations vérifiées et précises sur l’inspiration du circuit, surtout que les sites et avis la qualifie le plus souvent de fuzz moderne avec différentes options d’écrêtage. Cependant, après comparaison avec tout ce que j’ai à disposition (Fuzzrite, Fuzztone, Fuzz Face, Superfuzz, Octavia, Tone Bender, Companion, Pi USA…), je peux définitivement affirmer que ce circuit appartient à la famille des Muff ! Et à la comparaison elle a toujours été ma préférée des Muff, notamment parce qu’elle est versatile, qu’elle propose beaucoup plus de volume sous le pied que la Pi USA de EHX et qu’elle a plus de personnalité que la Green Russian reissue de la même marque. Je n’ai jamais pu comparer cette Jupiter à des références telles que la Pharaoh, la Hoof ou la Muffuletta, cependant elle a gagné haut la main face à la Musket de Blackout Effectors qui est pourtant une Muff fantastique, et je lui trouve aussi plus de personnalité et autant de gain que la Keeley Moon (Op-Amp Muff avec du gain et des basses à revendre).
Si l’occasion se présente, n’hésitez pas à tester cette Jupiter. Cela m’amuse toujours autant de lui présenter des concurrentes… Je m’en lasse aussi régulièrement au profit de fuzz plus vintages mais elle fini invariablement par revenir sur le pedalboard.
La pédale est super solide, aucune égratignure après plusieurs années d’utilisation et d’aller-retours sur le pedalboard. J’apprécie les sorties jack sur le côté, ça permet de varier les agencements. La finition est impeccable, notamment l’artwork qui symbolise bien les sonorités caractéristiques de la Fuzz.
En ce qui concerne le son, il est massif, épais, riche en harmoniques et surtout en gain ! Les power chords produisent un mur de son brutal qui me ravi les oreilles. En accord les notes conservent leur clarté, les harmoniques se détachent, d’autant plus si un overdrive nourrie la pédale en amont. En solo, la fuzz a du sustain à revendre, c’est certain. Il est important de noter que réduire le réglage interne de gate (bias/starve) limitera le sustain tout en introduisant un petit côté « râpeux » (vaguement velcro) surtout dans les fréquences basses. Ce trimpot me plait bien, c’est sympa pour expérimenter ! C’est d’ailleurs vraiment dommage qu’il faille ouvrir la pédale pour y accéder, il aurait dû être placé à l’extérieur, quitte à ce que ce soit sur un côté.
Le cleanup au potard de volume de la guitare n’est pas son point fort, ce qui n’est pas surprenant venant d’une fuzz qui a probablement 4 transistors, mais cela s’arrange un peu si la Jupiter est précédée d’un overdrive.
La fuzz a du volume à revendre et le réglage de tonalité permet de cibler une large plage de fréquences. Pour ma part il est souvent à 13-14h pour éclaircir la fuzz et limiter les fréquences basses. C’est d’autant plus nécessaire lorsque l’on passe du micro chevalet au micro manche : les basses prennent tout de suite beaucoup de place et augmenter le Tone aux trois quart permet de rééquilibrer le tout. Par contre rien à redire entre les micros simple ou double, la fuzz est efficace dans les deux cas.
Le switch «bass » n’a pas un effet perceptible avec la Jazzmaster et juste un peu avec la Duesenberg montée en micro double, c’est peut-être parce que la pédale a déjà beaucoup de basses à revendre. J’imagine que ça doit être intéressant lorsque l’on branche une basse électrique. A noter qu’en lui accolant une octave inférieure avec une OC-5 en amont, on entend mieux lorsque ce switch est enclenché.
Le switch « mode » permettant de sélectionner la diode d’écrêtage est le point fort de la Jupiter. Au centre c’est une fuzz chargée en médium bien épaisse (pensez Green Russian), à gauche c’est une égalisation plate et équilibrée parfaite pour les accords, tandis qu’à droite les fréquences mediums sont creusées, rappelant les sonorités scooped de la Big Muff Pi.
Difficile de trouver des informations vérifiées et précises sur l’inspiration du circuit, surtout que les sites et avis la qualifie le plus souvent de fuzz moderne avec différentes options d’écrêtage. Cependant, après comparaison avec tout ce que j’ai à disposition (Fuzzrite, Fuzztone, Fuzz Face, Superfuzz, Octavia, Tone Bender, Companion, Pi USA…), je peux définitivement affirmer que ce circuit appartient à la famille des Muff ! Et à la comparaison elle a toujours été ma préférée des Muff, notamment parce qu’elle est versatile, qu’elle propose beaucoup plus de volume sous le pied que la Pi USA de EHX et qu’elle a plus de personnalité que la Green Russian reissue de la même marque. Je n’ai jamais pu comparer cette Jupiter à des références telles que la Pharaoh, la Hoof ou la Muffuletta, cependant elle a gagné haut la main face à la Musket de Blackout Effectors qui est pourtant une Muff fantastique, et je lui trouve aussi plus de personnalité et autant de gain que la Keeley Moon (Op-Amp Muff avec du gain et des basses à revendre).
Si l’occasion se présente, n’hésitez pas à tester cette Jupiter. Cela m’amuse toujours autant de lui présenter des concurrentes… Je m’en lasse aussi régulièrement au profit de fuzz plus vintages mais elle fini invariablement par revenir sur le pedalboard.
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Guitox911
What a Fuzz!!!
Publié le 29/04/22 à 09:26Utilisé en début de chaîne sur ampli Engl Ironball avec une Schecter SoloII et une Cort Kx Custom.
Produit à l'apparence solide et au design attrayant (ouais j'aime bien les tête de mort...). Alim 9v (pas de pile).
Je joue principalement du Hard et du Métal...
Pedal Fuzz à sonorités moderne je trouve, plusieurs clipping différents et un bouton pour couper les bass, les potards influent grandement sur le son, bref il y a de quoi trouver ce que l'on veux.
Un trimpot inter hyper intéressant pour baisser la valeur d'alimentation et créer un effet "pile en fin de vie". Perso je suis à la limite sur ce réglage, ça élimine le souffle et ça lui donne un vrai cachet.
Malgré des sonorités...…
Produit à l'apparence solide et au design attrayant (ouais j'aime bien les tête de mort...). Alim 9v (pas de pile).
Je joue principalement du Hard et du Métal...
Pedal Fuzz à sonorités moderne je trouve, plusieurs clipping différents et un bouton pour couper les bass, les potards influent grandement sur le son, bref il y a de quoi trouver ce que l'on veux.
Un trimpot inter hyper intéressant pour baisser la valeur d'alimentation et créer un effet "pile en fin de vie". Perso je suis à la limite sur ce réglage, ça élimine le souffle et ça lui donne un vrai cachet.
Malgré des sonorités...…
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Utilisé en début de chaîne sur ampli Engl Ironball avec une Schecter SoloII et une Cort Kx Custom.
Produit à l'apparence solide et au design attrayant (ouais j'aime bien les tête de mort...). Alim 9v (pas de pile).
Je joue principalement du Hard et du Métal...
Pedal Fuzz à sonorités moderne je trouve, plusieurs clipping différents et un bouton pour couper les bass, les potards influent grandement sur le son, bref il y a de quoi trouver ce que l'on veux.
Un trimpot inter hyper intéressant pour baisser la valeur d'alimentation et créer un effet "pile en fin de vie". Perso je suis à la limite sur ce réglage, ça élimine le souffle et ça lui donne un vrai cachet.
Malgré des sonorités assez moderne pour une Fuzz, son fonctionnement reste vintage, privilégier un placement en début de chaîne, sinon elle peut devenir incontrôlable ?.
Du coup elle reste très réactive au volume de la guitare, ou au splitage simple/double micro.
J'ai toujours été fan des grosses disto, et ben maintenant je ne me vois pas jouer sans Fuzz... Sur mon Clean, mon lead, tout dépend de mes envies...
Top produit
Produit à l'apparence solide et au design attrayant (ouais j'aime bien les tête de mort...). Alim 9v (pas de pile).
Je joue principalement du Hard et du Métal...
Pedal Fuzz à sonorités moderne je trouve, plusieurs clipping différents et un bouton pour couper les bass, les potards influent grandement sur le son, bref il y a de quoi trouver ce que l'on veux.
Un trimpot inter hyper intéressant pour baisser la valeur d'alimentation et créer un effet "pile en fin de vie". Perso je suis à la limite sur ce réglage, ça élimine le souffle et ça lui donne un vrai cachet.
Malgré des sonorités assez moderne pour une Fuzz, son fonctionnement reste vintage, privilégier un placement en début de chaîne, sinon elle peut devenir incontrôlable ?.
Du coup elle reste très réactive au volume de la guitare, ou au splitage simple/double micro.
J'ai toujours été fan des grosses disto, et ben maintenant je ne me vois pas jouer sans Fuzz... Sur mon Clean, mon lead, tout dépend de mes envies...
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Fiche technique
- Fabricant : Walrus Audio
- Modèle : Jupiter V2
- Catégorie : Fuzz guitare
- Fiche créée le : 21/03/2017
Re-skinned with both new artwork and enclosure color, the already articulate and versatile fuzz has been tweaked to become an even more powerfully agile fuzz box.
The Jupiter Fuzz v2 updates are as followed:
- Increase of gain on tap
- Adjusted volume control making it easier to dial in unity gain
- Altered tone control for improved high frequency response
- Added gate control via internal trim pot to tame noise, or to achieve the spatty “dying battery” tones
The Jupiter v2 comes in a coal sparkle finish with a burnt orange and cream ink and brushed aluminum knobs. Artwork features a lone astronaut explorer that never finished his journey. Stranded on one of Jupiter’s 67 moons, we may never know what put him there.
Source : http://walrusaudio.com/shop/jupiter/
Distribué par The Effect Factory
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Fuzz guitare concurrents
Autres catégories dans Effets à saturation pour guitare
Autres dénominations : jupiterv2, jupiter v 2