Se connecter
Se connecter

ou
Créer un compte

ou
FR
EN
Native Instruments Rise & Hit
(1)
Déposer un avis
Où acheter Rise & Hit ?
Moins
Aucun revendeur ne propose ce produit pour le moment.
Alerte disponibilité
Il n’y a pas de petite annonce pour ce produit.
Alerte nouvelle annonce

Commentaires sur le test : Entrez dans le Who’s Woooosh

  • 38 réponses
  • 17 participants
  • 6 008 vues
  • 19 followers
Sujet de la discussion Commentaires sur le test : Entrez dans le Who’s Woooosh
Entrez dans le Who’s Woooosh
Nouveau produit de Native Instruments, Rise & Hit est spécialisé dans les transitions et ponctuations dont raffolent les producteurs de l’audiovisuel. En quoi cette bibliothèque répond-elle au cahier des charges ?

Lire l'article
 


Ce thread a été créé automatiquement suite à la publication d'un article. N'hésitez pas à poster vos commentaires ici !
Afficher le sujet de la discussion
26
nous sommes d'accords, mon but ici est de discuter des alternatives et d'autres pistes que propose chacun, a l'utilité d'acheter ce produits ou non, suivant les projets et le budget que l'on souhaite allouer a cela, 150eur c'est plus cher qu'une appli telephone,et c'est un rapport qualite prix tres bon, dans sa categorie.
maintenant celui qui veux approfondir ses recherches dans ce domaine, est il en train de perdre une partie de son budget pour un outils plus conforme a ses attentes, j'entend par la, pas convaincu comme je l'ai ete.
car on le sait sur ce forum, c'est pas forcement les pros les mieux equipés, ou qui passe le plus de temps sur un projet pour le bichonner. attention, je ne remet pas en cause les competences des uns et des autres et ne souhaite blesser personne, mais simplement dresser un constat qui reste une realite dans pas mal de projets culturels et passionants.
une autre piste par exemple:

27
Citation de luscus :
j'ai clairement jouer la provocation.
je repondrais a darkmoonn, ce n'est pas le sample que je critique,
c'est le synth editing et la maniere d'interprete l'utilisation de l'outil.
de plus, il ne me semble pas que les sampleurs soient equipés a la base de sons, mais qu'il faut se sortir les doigts pour les faire, et les mettre dedans.
certains compositeurs de musiques electroniques, a force de bosser avec des banques toutes faites,
n'ont plus d'interets d'en faire.
je denonce surtout l'uniformisation du son ,les banques sound designer tool kit utilisées a une epoque pour faire des effets woosh, splash et autres. ..etaient devenu systematiques, et du coup, on les entendait partout.
la, je retrouve les memes symptomes. omnisphere ou rise hit meme combat, pour faire de la maquette je veux bien,
mais pour du produit fini. ca ne me semble pas sonner aboutit.
et pour repondre a scotty, ce que j'appel "les sons pouet pouet", ce sont les sons sans vigueurs, anemiques, et restreints.
on puise et on finalise dans la banque, l'inspiration, sans se rendre compte qu'elle a ses limites evidentes.
quant on veut faire du piano preparé, on tourne pas le bouton aleatoire, on dose sa frappe de touche,
on entend et on ecoute les objets bouger dans le piano on s'habitue et on interagit,
on se surprend. en bref, on utilise sa tete et son corps pour jouer.
quant aux samples de hautbois dans prelude a l'apres midi d'un faune,c'est vrai que dj debussy avait des putains de sampleurs pour composer,
des E-mu ou des akai ? je sais plus.
scotty, il me semble que tu as malgre toi contribué a completer et appuyer mon propos.
morricone, il a composé pour harmonica,
il a fait appel a une personne pour le jouer, qui elle meme va donner une contribution de son vecu, dans son choix d'harmonica et la facon de le jouer.

il en va de son ego d'artiste de creer ses sources et renforcer l'envie de les faire ecouter,
les artistes et leurs propres intruments, le son qui en ressort est forcement plus expressif.

ce qui est contraire au mode actuels de compositions mao, ou se generalise le cle en main, l'appli qui fait tout. onse laisse prendre au jeu.
et je rejoins encore moka, une lassitude s'installe, a vouloir tout controler et d'avoir un resultat immediat sans effort de pratique.
je me permet pour valoriser ce propos un extrait


trazom merci de prendre ma defense. tres en vogue en post prod sonore a une epoque, mais demandant une pratique et une comprehension consequente de l'outil,
le kima de symbolic sound(usa), une base de renfort et de synthese sonore, assez parallele a certaines recherches de l'ircam (france).
perso, trop usine a gaz. mais pour les temeraires qui ont peur de s'ennuyer avec le pouet pouet de chez native.





+1

Tout à fait.
Il y a tellement de moyens de créer des sons de types sound design, c´est la manière à privilégier, même pour les musiciens purs. Et pourquoi pas, agrémenter ses sons avec une bibliothèque de ce type. Je déplore aussi l´uniformisation à tout va, qui pourrait devenir une vraie plaie dans le domaine de l´audio... Je trouve par ailleurs que ces types d´effets sont beaucoup trop utilisés dans les productions modernes.

C´est à cet emplacement que je devrais mettre une citation intelligente 

28
Citation de dreamstar :

Je déplore aussi l´uniformisation à tout va, qui pourrait devenir une vraie plaie dans le domaine de l´audio... Je trouve par ailleurs que ces types d´effets sont beaucoup trop utilisés dans les productions modernes.

Ça je suis bien d'accord. :bravo:
Maintenant faut surtout l'expliquer aux réalisateurs et producteurs...
29
@luscus Tu fais un peu semblant de ne pas me comprendre : je dis simplement que tu peux faire quelque chose de splendide ou bien très moche avec un harmonica ou un hautbois, tout comme avec ce plug ou Omnisphère, qui proposent une tonne de variations possibles, et dont on ne peut pas dire qu'ils sonnent "pouet pouet" sauf si on est incapable d'en tirer quelque chose d'intéressant, comme un type qui soufflerait bêtement dans un instrument réel avant de le jeter en déclarant qu'il n'en voit pas l'intérêt ... Alors qu'il ne sait simplement pas en jouer.
Personnellement, comme beaucoup, j'apprécie Debussy ET Pink Floyd, par exemple, et si la plupart des compositeurs classiques et jusqu'à 1960 avaient eu à disposition l'arsenal de moyens électroniques et informatiques qui nous entoure aujourd'hui, ils se seraient probablement régalés, et certains nous auraient un peu moins gonflés avec des pianos préparés ou autres tentatives pénibles de compenser l'inspiration mélodique et le talent pur par une recherche intellectuelle plus ou moins stérile et élitiste.
Maintenant, si tu nous expliques qu'avec un orchestre symphonique, un choeur de niveau international et un big band on peut faire des choses intéressantes, je crois que nous serons tous d'accord.
D'accord aussi sur le fait qu'utiliser des sons "tout faits" est facile, lénifiant, et conduit à une uniformisation, que les "whooshes and hits", et l'arsenal des sound designers en général, sont utilisés à tort et à travers jusque dans les jeux télévisés et émissions à sensations plus ou moins débiles, mais je crois simplement que tu as mal choisi tes cibles avec Omnisphère et Native.
30
scotty , faire sonner un instrument virtuel est une chose, ca peu prendre du temps, mais je prefere prendre du temps, des micros et des objets, trouver une base et par la suite effectuer du renfort de differentes manieres.
je prefere m'eclater plus a ecouter les intruments quand on les touche, que quand,
on les regarde sur un ecran, a force, on ne prend plus le temps de s'interroger sur l'origine.
c'est mon choix. D'autre part je critique l'outil et ses limites d'exploitations qui restreint de par la meme la creativite de son utilisateur, je ne critique pas comme toi les artistes.
31
Ok, sauf que si tu vas par là, tout instrument a ses limites, qu'il soit réel ou virtuel. Ton raisonnement vaut donc pour tous les "outils". Et par ailleurs, Omnisphère est infiniment plus riche en timbre qu'un clavecin. Evidemment, la perception acoustique du claveciniste en train de jouer est inégalable, mais dès qu'on l'enregistre, ou qu'on le sonorise, le virtuel n'a pas grand chose à lui envier, bien au contraire. Et comme la plupart des gens ne jouent pas de clavecin mais l'entendent (éventuellement) sonorisé ou enregistré, la question du "pouet pouet" lui revient à lui aussi. Si tu écoutes ces instruments virtuels avec une excellente chaîne audio et en sachant les trifouiller et les jouer avec les contrôleurs adaptés, ta perception changera, peut-être.
32
scotty as tu deja utilise de la synthese modulaire analogique ou un synthe analogique ? ainsi pour rester sur une comparaison hard/ virtuel avec le rise, notamment sur la reactivite des commandes, je ne ferai pas encore etat du relief sonore.
pour revenir sur ce que tu dis sur la prise de son, qui n'a rien a envier sur le virtuel, faudrais quand meme developper un peu plus s'il te plait, car la, je n'ai effectivement pas compris ou tu voulais en venir.
cela pourrais devenir un terrain sensible.

[ Dernière édition du message le 08/05/2014 à 13:08:42 ]

33
Citation :
[...] dans des délais courts et pour des productions à petits budgets (passer du temps sur un son, ça coûte, enfin, normalement...), la bibliothèque sera l’outil idéal [...]
Je pense que les bandes sons des "productions à petits budgets" ne seront pas les seules bénéficiaires de cette banque. Même les grosses productions ont des contraintes de temps très serrées. Il est (souvent) plus rapide d'adapter un son qui remplit la plupart des caractéristiques attendues que d'en imaginer et enregistrer un nouveau.

Citation :
surtout qu'on doit souvent caler le son pour qu'il commence a tel endroit et finisse à tel autre. Tout ça prends pas mal de temps alors que là c'est fait en un rien de temps!

Citation :
certains compositeurs de musiques electroniques, a force de bosser avec des banques toutes faites,
n'ont plus d'interets d'en faire. il en va de son ego d'artiste de creer ses sources et renforcer l'envie de les faire ecouter

Citation :
a vouloir tout controler et d'avoir un resultat immediat sans effort de pratique.

Citation :
omnisphere ou rise hit meme combat, pour faire de la maquette je veux bien,
mais pour du produit fini. ca ne me semble pas sonner aboutit.

Citation :
on puise et on finalise dans la banque, l'inspiration, sans se rendre compte qu'elle a ses limites evidentes.
Citation :
Omnisphère "pouet pouet" ? Si tu ne supportes pas les sons non-naturels, c'est une chose, mais Omnisphère est brillant en terme de textures, et génial comme la plupart de ce qu'à produit Eric Persing. Et ce plug de Native me semble également brillant. Parce qu'il sonne et qu'il permet des éditions subtiles et infinies qui, pour le coup, ne sont pas évidentes. Par ailleurs, un son est rarement inintéressant. C'est ce que tu en fais qui compte. Si évidemment tu ne modifies pas les pré-sélections et les intègre directement, tu passes à côté de beaucoup de choses.

Citation :
Or les banques et ce genre d'outil sont une bonne aide pour woosher et impacter rapidement. Ça n'empêche pas d'utiliser d'autres sources (enregistrements persos...) pour compléter et de travailler ces matières avec soin.

Citation :
Il y a tellement de moyens de créer des sons de types sound design, c´est la manière à privilégier, même pour les musiciens purs. Et pourquoi pas, agrémenter ses sons avec une bibliothèque de ce type. Je déplore aussi l´uniformisation à tout va, qui pourrait devenir une vraie plaie dans le domaine de l´audio... Je trouve par ailleurs que ces types d´effets sont beaucoup trop utilisés dans les productions modernes.

Citation :
faire sonner un instrument virtuel est une chose, ca peu prendre du temps, mais je prefere prendre du temps, des micros et des objets, trouver une base et par la suite effectuer du renfort de differentes manieres.
je prefere m'eclater plus a ecouter les intruments quand on les touche, que quand,
on les regarde sur un ecran, a force, on ne prend plus le temps de s'interroger sur l'origine.
c'est mon choix. D'autre part je critique l'outil et ses limites d'exploitations qui restreint de par la meme la creativite de son utilisateur

[ Dernière édition du message le 10/09/2014 à 08:45:27 ]

34
C' est vrai que les effets communs à Rise and Hits et autres logiciels parsèment les productions cinématographiques et télévisuelles actuelles. Mais il s' agit d' une mode qui, comme toutes, finira par passer. Dans les années 70, les grooves de blaxploitation et sections de brass funky envahissaient les écrans, pendant au moins une décennie. Plus tard, les arpeggiateurs des synthétiseurs et leurs effets spécifiques prenaient le pas. On se souvient également du fameux son de piano M1 de Korg, présent sur moult titres de Dance sitôt sa sortie, façonnant un style, à l' instar de Robin s, qui démocratisa l' orgue de jazz dans le genre. Il est à noter, que chaque recette, innovation popularisée, provoque un engouement commercial.
Mais conjointement aux idées, le développement technologique permet aussi l' évolution musicale, par de nouvelles manières de procéder.

En général, un musicien aime à montrer sa personnalité, ce qu' il sait faire, avoir une griffe à son nom, comme un coup de patte magique laissant une emprunte. A ce titre, un gros synthé d' explorations sonores comme Omnisphere, puissant, demande que l' on s' y attarde. Il octroie bien des manipulations, permettant de ne pas sonner comme le voisin, de sortir du lot, à condition, de ne rester à l' orée des choses. En sound design, les plugins cités (pratiques mais dont l' utilisation peut être détournée de leur fonction première) peuvent être considérer au coeur d' un système plus large. Par exemple, rien n' empêche, pour affiner sa sonorité et éviter les presets, d' enregistrer sa propre guitare, de la doubler en sous mix avec un instrument virtuel du même type, préalablement travaillé via le logiciel, puis de sampler le tout dans une Machinedrum Uw pour tirer avantage de son grain particulier, et de ses effets; en quête d' originalité, pourquoi ne pas jumeler un woosh-boom de Native avec le "bruit" d' un micro dynamique frappé dans la paume de la main, d' y ajouter une reverb, de pitcher avec un S3000, d' inverser la lecture... On ne sait jamais ce que cela peut donner, l' important étant de trouver une méthode plaisante, propre à chacun, rompant avec la monotonie, en combinant workflow et efficacité créatrice. Car dans un milieu audio visuel où tout le monde est pressé, les contraintes de temps sont en effet légion et on ne s' y lance pas comme compositeur sans un travail important réalisé en amont, une préparation à la hauteur, ou une bonne connaissance de son environnement.

Nous évoluons au sein d' une époque formidable pour fabriquer de la musique, bénéficiant des outils les plus modernes, où toute nouveauté se veut une opportunité promouvant de nouvelles bases de recherche. Par ailleurs, aucun produit passé n 'est laissé au placard, pas plus que les solutions d' enregistrement, sachant qu' hardware, software et acoustique, se combinent à souhait.

Faire du son à l' image signifie flexibilité en relation avec un réalisateur et les désidératas que son projet impose, mais pas absence de liberté. Loin d' être un ordi, le réalisateur représente un auditeur qui considère la bande originale comme un exhausteur de goût au service de son oeuvre. Le musicien est choisi pour sa valeur ajoutée et son savoir-faire. Son rôle est de surprendre, de toucher par la foi en son attractive composition. Tout n' est pain perdu.

[ Dernière édition du message le 13/09/2014 à 19:56:22 ]

35
Citation :
il ne me semble pas que les sampleurs soient equipés a la base de sons, mais qu'il faut se sortir les doigts pour les faire, et les mettre dedans.

A la luscus

Lui, il va carrément à la casse.

[ Dernière édition du message le 14/09/2014 à 00:16:05 ]

36
Vidéo géniale, merci.
Au passage, une petite erreur de sous-titrage qui change le sens du propos à 6:00:
"dans le rock, il y a eu de grandes chansons avec une bonne musique et un mauvais texte, mais jamais l'inverse."

[ Dernière édition du message le 12/09/2014 à 22:56:58 ]

37
A regarder. C' est le making of de pouet-pouet.
38
spectrasonics a fait et fait beaucoup pour le sound design, pour ceux qui trouve ca encore un peu figé et qui souhaite allez plus loin, je leur conseil d'ecouter les precurseurs, avec entre autre les young gods et einsturzende neubauten dont voici un extrait https://www.youtube.com/watch?v=JZ4Q9_bDwLY

et il y a notamment un concert des suisses au paleo festival 2001 sur le tube.
et si vous chercher vous trouverez encore d'autres pepites
39
Je suis sûr que cet article concernant l' évolution de la musique de film va vous intéresser.
https://callcine.wordpress.com/2014/11/26/dossier-hans-zimmer/